9. Le système nerveux. Cerveau.
Centres nerveux et nerfs permettant de coordonner et de
commander l’ensemble des appareils (ensemble d’organes qui remplissent une
fonction,au sens large du terme) de l’organisme, mais également la réception
des messages liés à la sensation, à la cognition (moyen intellectuel par
lequel on acquiert une connaissance) et au psychisme. Le système nerveux en tant que tel est
constitué, dans sa définition anatomique, du système nerveux périphérique et
du système nerveux central.Le système nerveux central (névraxe) comprend
plusieurs milliards de neurones (cellules nerveuses) noyés dans un tissu de
soutien : la névroglie. Les neurones communiquent entre eux par
l’intermédiaire de synapses permettant le passage de l’influx nerveux
(ordres, sensations). La transmission se fait grâce à des neurotransmetteurs
(adrénaline, acétylcholine, noradrénaline, etc.) qui sont des hormones
d’origine neurobiologique ayant des capacités excitatrices ou freinatrices. Le système nerveux central est constitué de l’encéphale
(cerveau, cervelet et tronc cérébral) dont protection à l’intérieur du crâne
se fait grâce à des méninges : ·
La dure-mère (membrane
externe) ·
L’arachnoïde (membrane centrale) ·
La pie-mère (membrane
interne, contre la substance nerveuse) Le cerveau est posé sur la moelle épinière (constituée d’un long cordon blanc), qui
est également protégée par des méninges, puis par la colonne vertébrale
constituée par l’empilement des vertèbres. La moelle épinière mesure environ
45 centimètres de long et s’étend de la base du cerveau jusqu’au bassin. Son
diamètre est de La moelle épinière (comme le cerveau) est constituée de
deux types de tissu nerveux : la substance blanche en périphérie, et la
substance grise au centre (l’inverse dans le cerveau). En coupe, elle apparaît sous la forme d’un papillon
avec deux cornes, 2 vers l’avant (antérieures) et 2 vers l’arrière
(postérieures). En son centre se trouve l’épendyme, canal permettant la
circulation du liquide céphalo-rachidien entre les ventricules du
cerveau et la moelle épinière. À travers la substance grise et la substance
blanche transitent 2 types d’informations : sensitives et motrices. Les
racines dorsales (postérieures) comportent des nerfs sensitifs, les racines
ventrales (antérieures) des nerfs moteurs. Le système nerveux périphérique
est constitué de l’ensemble des nerfs rattachés au système nerveux central.
Il existe deux types de nerfs périphériques, les nerfs crâniens et les nerfs
rachidiens (31 paires). Fonctionnement On distingue deux types de systèmes nerveux : le
système nerveux somatique et le système nerveux végétatif (autonome). ·
Le système nerveux somatique correspond au système nerveux moteur et sensitif. Il
est responsable du maintien des attitudes, des mouvements volontaires et
involontaires, mais également des sensations tactiles douloureuses et
thermiques après réception des messages par l’intermédiaire des récepteurs
situés dans la peau. Le système nerveux végétatif, appelé
également système nerveux autonome, permet de réguler différentes fonctions
automatiques de l’organisme (digestion, respiration, circulation artérielle
et veineuse, pression artérielle, sécrétion et excrétion). Les centres
régulateurs du système nerveux végétatif sont situés dans la moelle épinière,
le cerveau et le tronc cérébral (zone localisée entre le cerveau et la moelle
épinière). Ce système nerveux végétatif comprend : ·
le système nerveux
parasympathique
(ralentissement général des organes, stimulation du système digestif). Il est
associé à un neurotransmetteur : l’acétylcholine. ·
le système nerveux
sympathique, ou
orthosympathique, correspondant à la mise en état d’alerte de l’organisme et
à la préparation à l’activité physique et intellectuelle. Il est associé à
l’activité de 2 neurotransmetteurs : la noradrénaline et l’adrénaline
(dilatation des bronches, accélération de l’activité cardiaque et
respiratoire, dilatation des pupilles, augmentation de la sécrétion de la
sueur, augmentation de la tension artérielle, diminution de l’activité
digestive). |
Le système nerveux est
un système en réseau formé des organes des sens, des nerfs, du cerveau, de la moelle épinière, etc. Il coordonne les mouvements musculaires, contrôle
le fonctionnement des organes, véhicule les informations sensorielles et
motrices vers les effecteurs, et, chez les animaux dotés d'un cerveau limbique, régule les émotions, et ceux dotés d'un cerveau cognitif, régule l'intellect.
Chez les vertébrés on distingue traditionnellement le système
nerveux central (encéphale et moelle spinale (moelle épinière dans l'ancienne nomenclature anatomique)) du système
nerveux périphérique
(nerfs crâniens sensori-moteurs, nerfs rachidiens et système entérique).
Le système nerveux central est composé de cellules
nerveuses hautement spécialisées appelées neurones. Les cellules nerveuses établissent entre elles des
connexions, les synapses. Des milliards de ces synapses contribuent au traitement d'un seul stimulus. Ceux-ci sont acheminés par des fibres afférentes de la moelle épinière jusqu'au cerveau, les axones qui les constituent sont généralement
entourés d'une substance blanche appelée gaine de myéline. Cette gaine est générée par les cellules de
Schwann dans le système
nerveux périphérique et par les oligodendrocytes dans le système nerveux central.
Le système nerveux est responsable du bon fonctionnement
des activités végétatives et motrices. Au niveau de la moelle épinière, une
série de cellules sensitives en T ramènent le message
nerveux de nature
végétative ou motrice transmis par les capteurs
sensoriels sensibles à
la pression, à la température, au toucher, à la douleur ou à l'étirement
(fuseau neuromusculaire), le corps cellulaire de cette cellule nerveuse étant exceptionnellement
dans le ganglion spinal de la racine postérieure de la moelle, jusqu'à la
moelle pour constituer la principale afférence de stimuli sensoriels. Ces
stimuli peuvent informer le cerveau de façon consciente de ce qui se passe dans
le corps ou dans notre environnement en vue d'une image conceptuelle, d'une mémorisation,
d'un jugement ou d'une réponse volontaire ou en attente d'une régulation
réflexe adéquate en parcourant des voies ascendantes dont les voies
intéroceptives, proprioceptives consciente et inconsciente et extéroceptives.
Ceux-ci subissent ensuite le rétrocontrôle du système nerveux par l'intermédiaire d'interneurones
et des voies pyramidales ou extrapyramidales descendantes pour ensuite partir
des cornes antérieures de la moelle épinière sous forme de fibres efférentes afin d'innerver les organes vitaux ou les muscles. Finalement le système nerveux agit souvent
conjointement avec le système hormonal et est cartographiable avec une très grande plasticité non pas selon la phrénologie mais selon les types de fibres afférentes associatives
en aires sensorielles et motrices.
VIDEO
Il était une fois la vie - Le Cerveau
Encéphale
MORPHOLOGIE GENERALE
1. Pole frontal
2. Fissure longitudinale du cerveau (Faux du cerveau)
3. Lobe
frontal
4. Radiations du corps calleux (Genou du
corps calleux)
5. Cornes frontales des ventricules latéraux
6. Colonne du Fornix (Trigone)
7. Tête du noyau caudé
8. Noyau lenticulaire
8'. médial (interne) : gobulus pallidus
(pallidum)
8''. latéral (externe) : putamen
9. Claustrum ou Avant-mur
10. Capsule interne
10'. ventral (antérieur) : bras antérieur
10''. genou : faisceau géniculé
10'''. dorsal (postérieur) : bras postérieur
11. Thalamus
12. Capsule extrême
13. Capsule externe
14. Insula
15. Sillon latéral ou Scissure de sylvius
16. IIIe ventricule
17. Pilier postérieur du Fornix (trigone)
18. Queue du noyau caudé
19. Cornes
occipitales des ventricules latéraux
20. Bourrelet du corps calleux (splénium)
21. Pole
occipital
22. Septum
pellucidum
TELENCEPHALE
Néocortex - face
latérale externe
1.
Sillon central (Scissure de
Rolando)
2. Sillon pré-central (pré-rolandique)
3. Sillon post-central (post-rolandique ou inter-pariétal)
4. Sillon frontal supérieur
5. Sillon frontal inférieur
6. Sillon intra-pariétal
7. Sillon pariéto-occipital (perpendiculaire externe)
8. Sillon latéral (Scissure de Sylvius)
9. Sillon temporal supérieur
10. Sillon temporal inférieur
11. Gyrus orbitaire
12. Opercule rolandique
13. Opercule
pariétal
14. Gyrus supra-marginal
15. Gyrus angulaire (Pli courbe)
16. Pole frontal
17. Pole temporal
18. Pole occipital
Aires de la
motricité
Aire somato-motrice (cortex moteur primaire) : 4
Elle est localisée au niveau de la frontale ascendante (gyrus
pré-central).
Elle est le siège d'une somatotopie (homoculus moteur).
Il existe des groupes fonctionnels (fléchisseurs, extenseurs...) et au sein
de ces groupes, chaque muscle est représenté dans un territoire cortical
précis. Elle est à l'origine du faisceau cortico-spinal (pyramidal) et cortico-nucléaire (géniculé). Elle est responsable du contrôle de la
composante distale, fine du mouvement volontaire. Sa destruction provoque
une paralysie controlatérale qui reste distale aux membres.
Aires extra-pyramidales frontales -
prémotrices : 6,8
Elles sont localisées en avant de la frontale ascendante, au niveau de la
partie postérieure du gyrus frontal supérieur et moyen.
La face latérale de l'aire 6 correspond à l'aire prémotrice proprement
dite, tandis que la face dorso-ventrale de l'aire 6 correspond à l'aire
motrice supplémentaire. Elle sont responsables de l'élaboration des
programmes moteurs en collaboration avec les ganglions de la base et le néo-cervelet. L'aire motrice supplémentaire semble plus impliquée
dans la préparation et les mouvements de manipulation et de préhension (elle
reçoit des afférences de l'aire 5) alors que l'aire prémotrice semble plus impliquée dans
les mouvements visuo-guidés (elle reçoit des afférences de l'aire 7).
L'aire 8 est responsable de la motricité conjuguée de la tête et des
yeux volontaire. L'aire 8 gauche est dextrogyre alors que la droite est
lévogyre. L'ordre oculo-céphalogyre est véhiculé par le faisceau
cortico-nucléaire (faisceau géniculé) jusqu'au noyau du VI controlatéral. Ce noyau commande le III homolatéral par la voie d'association que constitue le faisceau longitudinal médian (bandelette longitudinale postérieure).
A titre d'information, les aires de la motricité réflexe des
mouvements conjugués de la tête et des yeux sont situées au voisinage des centres visuels (orientation de la vision maculaire vers un objet entré
dans le champ visuel) et des centres auditifs (orientation du regard vers un stimulus auditif).
Aires extra-pyramidales de la coordination du mouvement
volontaire
Frontales : 6,8 (4 y participe)
Pariétales : 5,7 localisées au niveau du gyrus pariétal supérieur (1,2,3 y participent).
Temporale : 22 localisée au niveau du gyrus temporal supérieur, en dessous des aires auditives.
Leurs afférences proviennent du néo-cérébellum (pour l'aire 5) et du cortex visuel (pour l'aire 7). Leurs efférences sont destinées aux
aires extra-pyramidales frontales et aux centres sous-corticaux
extra-pyramidaux : striatum, noyau rouge et noyaux du pont par l'intermédiaire, chez ces derniers, des faisceaux fronto-pontin,
pariéto-pontin et temporo-pontin (faisceau de Turk-Meynert). Ces noyaux du pont sont un
relai vers le néo-cérébellum par l'intermédiaire de fibres ponto-cérébelleuses
empruntant les pédoncules cérébelleux moyens. Ainsi est formé, le circuit
cortico-cérébello-cortical responsable de la coordination du mouvement.
Aires associatives de la motricité - Aires préfrontales : 9,10,11,12,46,47
Elles représentent les 2/3 antérieurs de la convexité du lobe frontal. Ce
sont les aires de la stratégie des activités motrices. Elles sont aussi
responsables du contrôle et de l'inhibition des activités motrices réflexes
archaïques. La destruction de ces aires est responsable du comportement de
préhension, du grasping réflexe, des persévérations motrices et des échecs dans
l'exécution des séquences gestuelles ou graphiques de Luria.
Aires associatives pariétales :
7,39,40
Il s'agit des aires des praxies (gestes). Leur lésion est responsable d'une apraxie idéomotrice, d'une apraxie idéatoire à gauche, d'une apraxie constructive à droite.
Aire somato-sensitive
(cortex somesthésique primaire) : 3
Elle est localisée au niveau de la pariétale ascendante (gyrus
post-central).
Elle est le siège d'une somatotopie (homonculus sensitif ).
Il s'agit de
l'aire de réception simple des informations somesthésiques et sa
destruction provoque une anesthésie controlatérale
Aires somato-gnosiques de perception :
1,2,40
Les aires 1,2 sont localisées au niveau de la pariétale ascendante en arrière de l'aire somato-sensitive. L'aire 40 est
située au niveau du gyrus pariétal inférieur. Ces aires de perception réalisent une première
intégration des informations somesthésiques. La destruction des aires 1,2
provoque une agnosie perceptive controlatérale. Le malade ne peut plus percevoir la
consistance, taille, poids et forme d'un objet alors que le testing du tact
simple est normal. La destruction de l'aire 40 gauche est responsable d'un syndrome de Gerstmann.
Aires somato-gnosiques de reconnaissance :
5
Elle est localisée au niveau de la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur, en arrière
des aires somato-gnosiques de perception. Cette aire est responsable de la reconnaissance
tactile des objets à partir des données perceptives des aires
somato-gnosiques de perception (stéréognosie) et de la représentation psychique
du schéma corporel (somatognosie). Elle est aussi impliquée dans la préparation
des mouvements volontaires de manipulation par l'intermédiaire de ses
connexions avec l'aire motrice supplémentaire et le néo-cervelet. Sa destruction est responsable d'une astéréognosie controlatérale et d'une hémi-asomatognosie gauche
lors d'une lésion droite.
Aire auditivo-sensorielle
(cortex auditif primaire) : 41
Elle est localisée au niveau du gyrus temporal supérieur à proximité de la scissure de sylvius. Elle est
responsable de la réception simple des informations acoustiques, elle
enregistre les bruits et les sons sans les interpréter. A chaque portion de la
cochlée correspond une zone corticale. Ainsi, les sons aigus sont codés au
niveau de la lèvre postérieure du sillon latéral (scissure de Sylvius) et les
sons graves au niveau de la partie superficielle latérale de l'aire. Sa
destruction bilatérale provoque une surdité dite corticale, alors qu'une
destruction unilatérale ne provoque qu'une perte modérée de l'acuité auditive.
Elle est localisée au niveau du gyrus temporal supérieur, en dessous de l'aire auditivo-sensorielle. Elle est
responsable de la perception et de la reconnaissance des sons du langage
(phonèmes - mots) au niveau de l'hémisphère gauche et des sons musicaux au
niveau de l'hémisphère droit (mélodie etc...). Sa destruction provoque une agnosie auditive. Une surdité verbale à gauche et une agnosie musicale à
droite.
Aire auditive associative du langage
de Wernicke :
22
Aire visuo-sensorielle
(cortex visuel primaire) : 17 - aire striée
Elle est localisée au niveau des deux lèvres de la scissure calcarine et d'une partie de la face latérale du lobe occipital. Elle est responsable de la réception simple des
informations visuelles. A chaque zone de la rétine correspond une zone
corticale. La lèvre calcarine inférieure correspond à la moitié inférieure de
la rétine (champ visuel supérieur) et inversement. La macula correspond à
l'extrémité postérieure du sillon calcarin et au pole occipital. Sa destruction
unilatérale provoque une hémianopsie latérale homonyme controlatérale. Si elle
est bilatérale, elle donne une cécité dite corticale.
Aire visuo-gnosique :
18 - aire péri-striée,19 - aire para-striée
Elles entourent l'aire visuo-sensorielle et occupent la
majorité du cortex occipital latéral. Elles sont responsables de la perception
et de la reconnaissance visuelle des objets. Leur destruction provoque une agnosie visuelle.
Aire visuelle associative :
39
Elle est localisée au niveau gyrus angulaire. Il s'agit de l'aire de reconnaissance des mots
écrits. Sa destruction provoque une alexie agnosique (cécité "verbale").
Elle est localisée au niveau du pieds de la pariétale ascendante. Elle reçoit les projections des noyaux gustatifs du VII, IX et X véhiculées par le lemnisque médian.
Aire olfactive
(cortex olfactif primaire) : 34 - uncus
21,22 : elles sont localisées au niveau du gyrus temporal supérieur en arrière des zones auditives. Elles sont responsables
du contrôle du système vestibulaire
46,47 : elles sont localisées dans la région préfrontales.
Elles sont responsables de la notion de position. Leur destruction
détermine une apraxie de la marche.
Centre du langage
articulé - Broca : 44,45 - partie postérieure du gyrus frontal inférieur.
Centre de la vocalisation : 6,4- opercule rolandique, a proximité des centres moteurs
linguo-pharyngo-laryngés (4).
Centre du langage
écrit : 8- partie postérieure du gyrus frontal moyen, en avant des centres moteurs contrôlant les doigts (4).
Centre de la compréhension
des mots écrits : 39 - gyrus angulaire, à proximité des aires para et péri-striées (18,19).
Centre de la compréhension
des mots entendus - Wernicke : 22, à proximité de l'aire auditivo-gnosique (42).
Le faisceau arqué qui contourne le sillon latéral
(scissure de sylvius) permet de faire communiquer les centres postérieurs et
antérieurs du langage.
GANGLIONS DE LA BASE
Le putamen et le noyau caudé forment une unité fonctionnelle qui correspond au
striatum.
Voies afférentes :
- Corticales, à partir de la quasi-totalité du cortex.
Les afférences du cortex sensori-moteur sont destinées au putamen alors que les
afférences des aires associatives temporo-pariéto-occipitales sont plutôt
destinées au noyau caudé. Elles apportent au putamen des informations praxiques
(cortex associatif pariétal) nécessaires à l'élaboration du programme moteur
ainsi que des informations sensitivo-sensorielles nécessaires à l'adaptation du
programme moteur à l'environnement (cortex associatif temporo-occipital).
- Thalamiques, à partir du noyau ventro-latéral-postérieur. Elles apportent au putamen des informations
proprioceptives inconscientes nécessaires à l'adaptation du programme moteur en
fonction de la situation des membres dans l'espace.
- Substance noire, par l'intermédiaire de la voie
nigro-striée.
Voies efférentes :
- Le pallidum qu'il inhibe (neurones GABAergiques)
Le striatum est donc un centre intégrateur qui permet
d'élaborer la composante spatiale du programme moteur. Sa lésion est
responsable d'une libération du pallidum. En conséquence, on observe une
libération des mouvements automatiques (mouvements choréo-athétosiques uni ou
bilatéraux selon que la lésion est uni ou bilatérale ainsi qu'une hypotonie).
Voies afférentes :
- Putamen et noyau caudé, qui transmettent au
pallidum le programme moteur
- Noyaux sous-thalamiques (corps de Luys)
Voies efférentes :
Elles forment le faisceau lenticulaire pallidal avec
trois contingents pour :
- Le thalamus, vers le noyau extra-pyramidal ventro-latéral-antérieur qui se projette à son tour sur le cortex prémoteur frontal. Par ce biais, le programme moteur est transmis au
cortex prémoteur.
Il inhibe la formation réticulée et donc inhibe les
réflexes médullaires de posture. En conséquence, il à une action modératrice du
tonus. Le pallidum est donc le centre effecteur qui communique au cortex
prémoteur le programme moteur élaboré un niveau du striatum. Il enrichi,
ce programme de la composante semi-automatique proximale qui accompagne tout
geste volontaire. Par ailleurs, il modère le tonus des muscles concernés
pour qu'ils puissent participer au geste. En effet, il contrôle les voies
extra-pyramidales impliquées dans le tonus (réticulo-spinale et rubro-spinale)
par l'intermédiaire de ses efférences destinées à la formation réticulée et au
noyau rouge. Une lésion du pallidum est responsable d'un syndrome parkinsonien
: akinésie (perte des mouvements automatiques), hypertonie (libération de la
formation réticulée).
Noyaux
sous-thalamiques ou corps de Luys
Voie afférente : le pallidum qui l'inhibe
Voie efférente : le pallidum qu'il stimule (boucle de rétrocontrôle)
Une lésion des noyaux sous-thalamiques sera responsable
d'une inhibition du pallidum qui se traduira par des mouvements anormaux
balliques.
Organisation
fonctionnelle des ganglions de la base
Le pallidum est en fait constitué de deux unités
fonctionnelles distinctes le globus pallidus externe (GPe) et interne (GPi).
On décrit une voie directe : striatum - GPi et une
voie indirecte : striatum - GPe - Luys - GPi. Au niveau du striatum, les
neurones GABAergiques de la voie directe sont activés par la dopamine
(récepteur D1), alors que les neurones GABAergiques de la voie indirecte sont
inhibés par la dopamine (récepteur D2).
Le GPi constitue la structure de sortie des ganglions de
la base dont les neurones GABAergiques font relai avec le thalamus au niveau du noyau ventro-latéral
antérieur. Le GPi
inhibe donc le thalamus qui est excitateur du cortex préfrontal. Si le GPi est
inhibé, le thalamus est libéré et le cortex est activé (activation du
mouvement) et inversement. La voie directe inhibe le GPi, elle est donc une
voie activatrice du cortex et du mouvement. La voie indirecte active le GPi,
elle est donc une voie inhibitrice du cortex et du mouvement.
Les conclusions physiopathologiques de ce circuit sont
les suivantes :
Une lésion globale du pallidum (GPi compris), activatrice
du cortex, sera responsable de mouvements anormaux (choréo-athétosiques)
contro-latéraux. Une lésion des corps de Luys (de la voie indirecte),
activatrice du cortex, sera responsable de mouvements anormaux (balliques)
contro-latéraux. Une lésion du striatum, inhibitrice du cortex, sera
responsable d'une akinésie contro-latérale. Une lésion du thalamus (noyau
ventro-latéral antérieur), inhibitrice du cortex, sera responsable d'une
akinésie contro-latérale.
Substance blanche
C'est une structure enroulée autour du diencéphale. On décrit, d'avant en
arrière, le rostrum (bec), le genou et le splénium. Il est constitué de
fibres inter-hémisphériques qui unissent des points symétriques du cortex des
deux hémisphères. Ces faisceaux de fibres d'association constituent les
radiations du corps calleux : les radiations antérieures (forceps antérieur dit
minor) et les radiations postérieures (forceps postérieur dit major).
C'est une structure enroulée autour du diencéphale. On
décrit, un corps et quatre piliers (colonnes). Les piliers antérieurs qui se
terminent dans les corps mammillaires et les piliers postérieurs qui se terminent dans l'uncus et l'hippocampe. Il s'agit de la principale voie d'association du
système limbique et il fait partie du circuit de Papez.
Il correspond à la substance blanche sous-corticale. Il
est constitué de fibres de projection, fibres d'association
inter-hémisphériques et de fibres d'association intra-hémisphériques. Au
sein des fibres d'association intra-hémisphériques, on décrit le faisceau
longitudinal inférieur (association temporo-occipitale), le faisceau
longitudinal supérieur (association fronto-pariéto-occipitale), le faisceau
unciné (association fronto-temporale), le cingulum (association
fronto-temporale).
Par ailleurs, il existe des fibres d'association directement
sous-corticales qui connectent les neurones séparés par un sillon, il s'agit
des fibres en U, d'autres qui connectent les neurones séparés par plusieurs
sillons, il s'agit des fibres arquées.
1. faisceau fronto-pontin d'Arnold
2. bras antérieur de la capsule interne
3. genou de la capsule interne
4. faisceau thalamo-pariétal
5. radiations du corps calleux
6. radiations optiques
7. fibres d'association intra-hémisphériques
8. segment rétro-lenticulaire de la capsule interne
9. bras postérieur de la capsule interne
10. faisceau cortico-spinal
11. faisceau géniculé
1.
faisceau cortico-spinal
2. radiations du corps calleux
3. faisceau thalamo-pariétal
4. capsule interne
5. fibres d'association intra-hémisphériques
6. faisceau temporo-pontin de
Turk-Meynert
7. radiations auditives
8. faisceau géniculé
La capsule extrême est constituée de fibres d'association
intra-hémisphériques.
La capsule externe est constituée de fibres d'association
intra-hémisphériques.
La capsule interne :
- Le bras antérieur contient le faisceau fronto-pontin d'Arnold
(fibres extra-pyramidales), le faisceau
fronto-thalamique et thalamo-frontal.
- Le genou contient le faisceau
cortico-nucléaire (géniculé).
- Le bras postérieur contient en dehors le faisceau
cortico-spinal, en dedans le faisceau thalamo-pariétal.
- Le segment sous-lenticulaire contient le faisceau temporo-pontin de
Turk-Meynert, pariéto-pontin et occipito-pontin (fibres extra-pyramidales).
- Le segment rétro-lenticulaire contient les radiations optiques et auditives.
Diencéphale - Thalamus
Le noyau antérieur reçoit ses afférences des corps
mammillaires par l'intermédiaire du faisceau mammillo-thalamique de Vicq d'azyr
et ses efférences sont destinées au cingulum par l'intermédiaire du faisceau
thalamo-frontal. Ce noyau est un relai du circuit de Papez et a donc une fonction
limbique (circuit de l'émotion et de la mémoire). Sa lésion est responsable
de troubles du comportement frontaux (désintérêt etc...).
Le noyau médio-dorsal reçoit ses afférences de
l'hypothalamus et de l'amygdale et ses efférences sont destinées au cortex
préfrontal par l'intermédiaire du faisceau thalamo-frontal. Ce noyau a aussi
une fonction limbique.
Le noyau médio-ventral reçoit la sensibilité intéroceptive
qui chemine de proche en proche dans la substance grise végétative de la
moelle épinière
et dans la formation réticulée du tronc cérébral.
Les noyaux intra-laminaires (dont le centro-médian) reçoivent des
afférences des autres noyaux thalamiques, de l'hypothalamus, de la formation
réticulée, du cervelet, du pallidum et du cortex moteur. Leurs efférences sont
destinées au striatum et à l'ensemble du cortex cérébral.
Projections corticales
Petit lexique de termes médicaux
Les termes
soulignés et en italique (tous les liens de la première colonne du tableau et
une partie de ceux de la 2ème colonne) renvoient à un document de la BIAM
Termes |
Signification |
·
amas de pus qui se développe dans les tissus de l'organisme (peau ou
organes : foie, poumons, cerveau, etc.) ·
à ne pas confondre avec les furoncles, simples amas de pus formés autour d'un poil, donc
externes |
|
ventre |
|
qui s'écarte
de la normale |
|
1)
enlèvement par grattage - 2) usure par frottement |
|
fruit aux
vertus fortifiantes |
|
1) abstinence
(pop) - 2) continence |
|
incapacité à
rester assis |
|
·
lésion du cerveau due à une hémorragie ou à l'obstruction brutale d'une artère ·
entraоne
malaise, paralysie, coma |
|
·
mécanisme de l'oeil permettant de règler la vision des objets plus ou
moins distants ·
utilise
le cristallin ·
les troubles de l'accomodation sont essentiellement la myopie, la
presbytie, l'hypermétropie |
|
haleine à
odeur de pomme reinette, peut faire soupçonner la présence d'un diabète chez l'adulte |
|
substance
chimique renfermant une fonction acide et une fonction amine ( idem aminoacide) |
|
éléments des
corps gras, présents dans les aliments et dans les organismes humains, et
comprenant du carbone, de l'hydrogène et de l'oxygène |
|
·
déchet du métabolisme, normalement évacué par les reins, dont l'accumulation
peut provoquer la goutte ·
il peut également être la cause de calculs urinaires |
|
sentiment de
brыlure et d'irritation dans l'estomac à la suite d'une sécrétion trop acide
de la muqueuse |
|
·
accumulation dan le sang de substances acides ·
apparaоt notamment après le jeыne chez l'enfant
ou en cas de complication du diabète sucré |
|
excès
d'acidité |
|
·
accumulation d'acide lactique provoquant notamment des crampes musculaires, des
troubles digestifs ou de la fatigue ·
complication souvent liée à l'utilisation des antidiabétiques biguanides ou à une insuffisance rénale ou hépatique, des boissons alcooliques, un jeыne |
|
acné propre
à la puberté, à la jeunesse |
|
affection de
la peau liée à une rétention de sébum formant des comédons, oщ prolifèrent les bactéries et qui forment des pustules |
|
sensation
auditive anormale |
|
bleuissement
des mains et des pieds |
|
finesse de
perception de l'oeil/de l'oreille |
|
substance
ajoutée aux aliments |
|
enflement
des ganglions lymphatiques, qui deviennent rouges et douloureux à l'occasion
d'une infection |
|
inflammation des ganglions lymphatiques |
|
augmentation
du volume de la prostate, bénigne
|
|
tumeur bénigne qui parasite une glande |
|
traitement
auxiliaire, complémentaire |
|
·
hormone sécrétée par la glande médullo-surrénale (voir surrénale), dont l'action physiologique est comparable à l'excitation du système nerveux
orthosympathique ·
son effet : accélération du coeur, augmentation de la force des
battements, contraction de certains vaisseaux, dilatation des coronaires, dilatation de la pupille, relâchement de certaines fibres
musculaires |
|
·
qui agit par l'intermédiaire de l'adrénaline
·
nerfs adrénergiques : nerfs du système sympathique ·
récepteurs adrénergiques : cellules commandées par le système sympathique |
|
qui agit par
libération d'adrénaline
|
|
qui supprime
les effets de l'adrénaline
|
|
adhésion
superficielle |
|
micro-organisme ayant besoin d'oxygène pour vivre |
|
déglution
bruyante avec salivation exagérée, sensation de gonflement à l'estomac,
soulaée par renvoi des gaz par la bouche ou le gros intestin (aérocolie) |
|
brouillard
de fines particules destinées à être inhalées dans les voies respiratoires |
|
absence de
lait |
|
absence de
lait |
|
absence /
insuffisance de gammaglobulines plasmatiques |
|
trouble du
comportement alliant excitation mentale et motrice |
|
muscle
exerçant l'action principalev |
|
diminution
importante ou disparition de certains globules blancs |
|
plante stimulant cardiaque, régulateur de tension artérielle, favorise
la digestion, empêche la prolifération de certains microbes, a un effet contre la fièvre et les parasites intestinaux |
|
impossibilité/difficulté
d'exécuter certains mouvements |
|
1) qui a les
propriétés d'une base - 2) antiacide
|
|
substance
chimique à caractère alcalin, d'origine végétale |
|
excès de
substances alcalines |
|
substance
qui empêche la division des cellules cancéreuses |
|
·
douleur voisine de la migraine, mais très vive et brève ·
se produit parfois après un larmoiement ou une congestion nasale |
|
maladie
caractérisée par une douleur ou un oedème persistants, qui suivent souvant un traumatisme |
|
bains
médicinaux constitués d'algues et de leurs composants, auparavant réduits en
matière pulvérulente afin d'assurer la dissolution totale dans l'eau chaude
(à ne pas confondre avec la thalassothérapie qui comprend l'ensemble de la cure marine) |
|
substance
susceptible d'entraîner une réaction allergique |
|
·
réaction cutanée ou malaise général faisant suite au contact avec une
substance ou l'utilisation d'un substance, ou l'ingestion d'un aliment ·
parmi les allergies : l'asthme, l'eczéma, l'urticaire, l'oedème de Quincke, le choc
anaphylactique |
|
modification
des réactions de l'organisme à un agent pathogène lorsque cet organisme a été l'objet d'atteintees
antérieures par le même agent |
|
chute
(temporaire, partielle ou générale) des poils ou des cheveux |
|
substance
qui bloque les récepteurs alpha, et provoque une dilatation des vaisseaux par relachement des fibres musculaires
des parois (exemple : ergotamine) |
|
inflammation des cavités dentaires/-pulmonaires |
|
affaiblissement
de la vue, (sans cause organique apparente) |
|
embolie généralement dыe à un caillot
formé dans une veine qui remonte vers le coeur et vient obstruer une artère
pulmonaire |
|
absence de
règles d'origine chez une femme |
|
arrêt des
règles chez la femme |
|
absence de
règles (en dehors de la grossesse et de la ménopause) pouvant avoir des causes physiologiques
(malformations) ou fonctionnelles ( fièvre) ou accidentelles |
|
parasite qui
touche surtout l'intestin, et est transmis par l'eau non potable et les
aliments souillés |
|
infections
par les amibes, avec troubles digestifs |
|
substance
organique basique |
|
substance
chimique renfermant une fonction acide et une fonction amine ( idem acide aminé) |
|
famille d'antibiotiques actifs sur les staphylocoques, mais susceptibles
d'être toxiques pour le rein ou l'oreille interne |
|
famille d'antiseptiques, généralement bien supportés, mais pouvant donner lieu
à des allergies occasionnellement |
|
perte
(partielle ou totale) de la mémoire |
|
substance
excitante qui accroоt les capacités physiques et psychiques (dopage) mais dont l'emploi entraоne des dangers, notamment une accoutumance |
|
inflammation des amygdales |
|
substance
qui stimule la croissance des tissus, notamment des muscles |
|
micro-organisme ne pouvant vivre qu'en l'absence d'oxygène |
|
antidouleur |
|
renseignements
fournis par le malade (sur sa maladie, sur son passé) |
|
fruit
utilisé comme adjuvant pour le traitement de l'artériosclérose et de la goutte |
|
communication
entre deux cavités de l'organisme |
|
·
forme neutralisée de certaines toxines sécrétées par des bactéries
pathogènes (diphtérie, tétanos) ·
utilisée
dans des vaccins |
|
1) qui
provoque l'apparition des caractères sexuels masculins - 2) hormone sexuelle mâle |
|
anémie due à une insuffisance cellulaire de la moëlle osseuse
(idem anémie aplastique) |
|
anémie due à une insuffisance cellulaire de la moëlle osseuse
(idem anémie anaplasique) |
|
forme d'anémie due à une disparition des globules rouges |
|
·
absence de globules rouges ou de fer dans le sang ·
se détecte par l'analyse sanguine, et par une paleur anormale de la face |
|
absence ou
disparition de l'allergie |
|
suppression de
la sensibilité |
|
substance
qui provoque une anesthésie
|
|
dilatation d'une artère due à la pression du sang (sur une paroi
moins résistante) |
|
inflammation des vaisseaux sanguins ou lymphatiques |
|
douleur
oppressante, liée à une obstruction partielle des artères coronaires, et qui peut se manifester dans la poitrine, le bras
gauche, la mâchoire |
|
relatif à l'angine |
|
maladie qui
se manifeste par une déglution difficile et douloureuse, apparition de
ganglions sous-maxilliaires, brыlure et
picotement des amygdales, fièvre |
|
inflammation des voies biliaires |
|
manifestation
allergique caractérisée par un gonflement du visage (angio-oedème) |
|
manifestation
allergique caractérisée par un gonflement du visage (oedème) |
|
anxiété,
angoisse |
|
qui ne
contient pas d'eau |
|
concernant
(ou comportant) un ion à charge éléctrique négative |
|
plante qui
favorise la digestion |
|
inflammation des annexes de l'utérus |
|
qui concerne
l'anus et les organes génitaux externes |
|
qui concerne
l'anus et le rectum |
|
·
refus systématique de la nourriture, provoqué par des conflits psychiques
·
atteint plus particulièrement les jeunes filles |
|
perte
d'appétit |
|
·
substance capable de réduire la sensation de faim ·
souvent en parenté avec les amphétamines |
|
perte de
l'odorat |
|
inégalité de
diamètre des deux pupilles |
|
qui n'est
pas accompagné d'ovulation
|
|
suppression
de l'apport d'oxygène au niveau des cellules et des tissus |
|
muscle dont
l'action s'oppose à celle d'un autre |
|
substances
destinés à lutter contre la douleur, en agissant sur le système nerveux |
|
affection
guérie ou non qu'une personne a déjà eu dans son existence |
|
tout fait
qui (pour un individu donné) précède son état actuel |
|
se
rapportant à des faits survenus à partir d'un moment donné |
|
vermifuge |
|
·
maladie contagieuse caractérisée par une série de furoncles avec du pus, de la fièvre et des troubles digestifs,
une peau localement rouge tuméfiée et douloureuse ·
tumeur inflammatoire (accumulation de bourbillon) due au staphylocoque, et qui affecte le tissu cellulaire sous-cutané et les glandes sébacées ·
souvent
révélateur de diabète |
|
1) substance
qui bloque la sécrétion des glandes gastriques ou bien neutralise l'acidité
des sécrétions gastriques 2) contre l'acidité |
|
substance
qui empêche les plaquettes de s'agglutiner et de former des caillots (exemple
: l'aspirine) |
|
propre à l'allergie |
|
contre l'angine |
|
qui combat
l'irrégularité du rythme cardiaque |
|
substance
qui lutte contre la fatigue |
|
qui combat l'asthme |
|
analyse
permettant de déterminer l'action des antibiotiques sur des bactéries |
|
traitement par
les antibiotiques |
|
·
substance capable de tuer certaines bactéries ·
ne tue
pas les virus ·
principales familles d'antibiotiques : pénicillines, céphalosporines,
macrolides, tétracyclines, sulfamides, aminosides, lincosanides, phénicolés, polymyxines, quinolones,
imidazolés |
|
antibiotique |
|
groupe de
médicaments utilisés pour bloquer etc. |
|
·
substance qui empêche le sang de coaguler ou retarde sa coagulation
·
on distingue : 1) l'héparine et ses dérivés injectables 2) les anticoagulants oraux |
|
·
substances utilisées contre les convulsions et l'épilepsie ·
on peut distinguer les barbituriques et les non-barbituriques |
|
(médicament)
contre les convulsions |
|
substance
spécifique et défensive, de nature protéique, engendrée dans l'organisme par
l'introduction d'un antigène, avec lequel elle se combine pour en neutraliser l'effet toxique |
|
·
substances destinées à lutter contre la dépression, parfois utilisées contre certaines douleurs, l'énurésie ·
divisés en diverses familles : les IMAO, les imipraminiques, et les
autres |
|
·
substance destinée à lutter contre le diabète
·
on distingue l'insuline ( utilisée en injection) et les antidiabétiques oraux : sulfamides
hypoglycémiants, biguanides, autres |
|
qui diminue
la sécrétion urinaire
|
|
contre les
effets de la dopamine
|
|
contrepoison |
|
substance
destinée à lutter contre les vomissements |
|
antivomitif |
|
qui combat
le suintement d'un liquide organique (à travers les parois de son réservoir
naturel) |
|
qui empêche
la dégradation et la dissolution de la fibrine
|
|
substance
capable de détruire les champignons microscopiques, notamment présents sur la
peau et les muqueuses |
|
1) qui
détruit les champignons - 2) qui empêche le développelent des - |
|
substance
qui peut engendrer des anticorps |
|
substance
qui s'oppose aux effets de l'histamine |
|
antihistaminique antiallergique, dont certaines variétés sont des sédatifs |
|
antihistaminique antiulcéreux gastrique |
|
·
antiallergique, antihistaminique ·
qui
combat l'histamine |
|
·
substance qui lutte contre l'excès de tension artérielle ·
on distingue notamment les bêtabloquants, les inhibiteurs calciques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion et les vasodilatateurs |
|
antihypertenseur qui agit sur les centres cérébraux de régulation |
|
qui réduit
l'augmentation de la tension |
|
qui combat l'infection |
|
·
substance destinée à la lutte contre l'inflammation
|
|
famille de
substances anti-inflammatoires non dérivés de la cortisone (
stéroïde), comprenant l'aspirine
|
|
qui combat l'inflammation |
|
qui détruit
les micro-organismes
|
|
qui empêche
la division des cellules |
|
1) qui
détruit les champignons microscopiques - 2) qui empêche le développement des-
|
|
anticancéreux |
|
substance
qui s'oppose à la formation d'oedèmes |
|
qui combat l'inflammation |
|
qui empêche
la prolifération, la multiplication |
|
qui combat les
démangeaisons |
|
médicament
utilisé dans le traitement des pyschoses |
|
substance
qui fait baisser la fièvre |
|
qui combat
la fièvre, fébrifuge |
|
·
substance qui exerce une action de destruction des bactéries, ou
d'entrave à leur prolifération ·
certains antiseptiques ont une action antifongique ou antivirale |
|
(produit)
détruisant les germes |
|
désinfectant, antiseptique |
|
·
substance qui permet de lutter contre les spasmes ·
agit généralement en empêchant la contraction des fibres musculaires de
l'intestin et des voies urinaires |
|
contre les
spasmes, les convulsions |
|
contre la thrombose |
|
substance
qui s'oppose à la formation ou à l'action des hormones thyroïdiennes |
|
substance
qui neutralise une toxine |
|
qui combat une
tumeur |
|
·
substance destinée à lutter contre la toux ·
les plus puissantes substances de cette classe sont la codéine et la codéthyline |
|
qui combat la
toux |
|
substance
capable de lutter contre les virus |
|
qui combat les
virus |
|
·
anticoagulants oraux qui bloquent l'action de la vitamine K nécessaire à la formation des caillots ·
le sang est fluidifié par l'abaissement du taux de prothrombine |
|
arrêt de la
production d'urine par les reins, ou présence d'un obstacle entre le rein et
la vessie |
|
orifice
pratiqueé sur l'intestin permettant une dérivation des matières |
|
orifice du
rectum qui donne passage aux matières fécales |
|
substance
tranquillisante |
|
contre les
angoisses |
|
apathie/indifférence
affective |
|
perte totale
ou partielle de la fonction de la parole |
|
affection
avec apparition de vésicules arrondies et transparentes localisées à la
bouche ou à la vulve, qui laissent une petite plaie souvent douloureuse,
parfois avec du pus |
|
destruction
de la moelle osseuse, qui ne peut plus fabriquer les globules et les
plaquettes du sang |
|
croissance
(incomplète ou insuffisante) d'un tissu ou d'un organe |
|
suspension
plus ou moins prolongée de la respiration |
|
molécule
protéique détruite par la chaleur |
|
maladie
caractérisée par une douleur brutale et violente siégeant à l'abdomen au dessus de l'aine droite et s'accompagnant de
nausées et vomissements, troubles digestifs et fièvre |
|
provoquant
l'irrégularité du rythme cardiaque |
|
·
artère
irriguant le myocarde ·
le rétrécissement des coronaires provoque l'angine de poitrine, voire l'infarctus du myocarde |
|
examen
radiologique des artères |
|
qui se
rapporte à une petite artère |
|
·
épaississement des parois des artères, survenant en général avec l'âge,
favorisé par une mauvaise hygiène de vie ·
révélé par l'amaigrissement, la paleur de teint, la somnolence diurne, la perte de mémoire, l'essoufflement, l'envie
fréquente d'uriner, les crampes |
|
etat pathologique lié à un épaississement de la tunique interne et un
durcissement progressif des artères |
|
qui concerne
à la fois les artères et les veines |
|
maladie des
artères, due le plus souvent à l'athérosclérose |
|
douleur articulaire |
|
·
inflammation aigüe d'une articulation, pouvant la détruire
totalement ·
causes principales : dépôt d'acide urique ( goutte), dépôt de calcium (chondrocalcinose), infections |
|
·
pathologie révélée par une douleur vive et aigüe d'une ou plusieurs
articulations enflammées ·
localisée le plus souvent au cou (arthrite cervicale) ou dans la région lombaire ( arthrite lombaire) |
|
affection articulaire d'origine inflammatoire |
|
maladie des
articulations |
|
usure du
cartilage, très douloureuse |
|
dégénérescence
des surfaces articulaires, surtout au cou, à la hanche, au genou, aux mains
et au pied, avec douleurs vives dans les articulations atteintes et
déformation visible de ces articulations |
|
inflammation chronique des articulations |
|
légume dont
tige et feuille ont une action contre des troubles hépatiques, reinaux, circulatoires
|
|
des
articulations |
|
irrégularité
du rythme cardiaque |
|
trouble des
battements du coeur : 1) tachycardie ( battements trop rapides), 2) bradycardie ( battements trop lents) |
|
accumulation
de liquide dans le péritoine |
|
liquide
parfois abondant, présent dans la cavité abdominale lors de certaines maladies |
|
1) ence de micro-organismes dans un milieu déterminé - 2) - création de cette
absence |
|
légume très diurétique |
|
aider, être
présent |
|
fatigue
générale sans maladie précise décelable |
|
·
faiblesse
et inaptitude à l'effort ·
perte de force et d'énergie |
|
·
allergie caractérisée par un essoufflement intense survenant
par accès et se terminant par une expectoration de crachats fluides ·
suffocation parfois nocturne et respiration sifflante et ralentie |
|
qui resserre
les tissus |
|
sans symptômes
|
|
mauvaise coordination des mouvements |
|
maladie
artérielle due à des athéromes étendus |
|
plaque
jaunâtre, déposée sur la paroi d'une artère, essentiellement constituée de cholestérol qui peut se calcifier (athérosclérose) ou se détacher et obstruer un vaisseau (embolie) |
|
vieillissement
et rétrécissement des artères, dus à des dépôts de cholestérol et de calcium |
|
trouble du
système nerveux (caractérisé par des mouvements involontaires, lents, des extremités) |
|
·
lésion cutanée, prédominant entre les orteils, à la plante ou sur le bord
interne des pieds, chez des sujets présentant une sudation importante ·
dы à des mycoses souvent surinfectées |
|
diminution
des contractions de l'intestin et du transit |
|
perte
complète du tonus musculaire |
|
relatif à l'atopie |
|
qui n'est pas toxique |
|
qui a
rapport aux oreillettes et aux ventricules |
|
oreillette du
coeur |
|
défaut de
nutririon d'un organe ou d'un tissu, qui se manifeste par une diminution de
son poids ou de son volume |
|
substance
extraite de la belladone |
|
·
substance dont les effets sont proches de ceux de l'atropine ( extraite de la belladone) ·
utilisée contre les spasmes, la diarrhée
·
nombreux
effets indésirables |
|
qui diffère
du type normal |
|
signe
avant-coureur d'une attaque, d'une crise d'épilepsie
|
|
qui a
rapport aux oreillettes et aux auricules du coeur |
|
se dit de
maladies où l'organisme produit des anticorps nuisibles à ses propres tissus |
|
1) I. V. G.
- 2) fausse couche |
|
absence de
spermatozoïdes dans le sperme |
|
quantité
d'azote du sang |
|
agent de la coqueluche |
|
microbe du
groupe des bactéries en bâtonnet |
|
(substance)
qui détruit les bactéries |
|
présence de
bactéries dans la circulation sanguine |
|
qui se
rapporte à la bactériologie |
|
qui empêche
la multiplication des micro-organismes
|
|
type de
bactérie (s) |
|
mode
d'utilisation d'un médicament, laissé au contact de lésions de la bouche ou
des gencives, puis recraché |
|
inflammation de la muqueuse du gland de la verge |
|
immersion du
corps humain dans un milieu d'eau douce chaude ou froide ou encore son
exposition aux rayons solaires, au grand air ou enfin à la vapeur |
|
famille de
substances sédatives (comme le phénobarbital) ayant notamment un effet anticonvulsivant et tranquillisant |
|
plante qui
apaise migraines, aérophagie, insomnies, flatulences |
|
plante riche
en substances atropiniques |
|
non malin, sans gravité excessive |
|
·
famille de substances tranquillisantes, sédatives, anticonvulsivantes ·
relaxants
musculaires ·
peuvent
entraоner une dépendance ·
l'arrêt brutal peut provoquer le syndrome de sevrage |
|
substances
utilisées en cardiologie, pour bloquer l'action de l'adrénaline et d'autres hormones ( action sympatholytique ou adrénolytique), notamment pour soigner l'angine de poitrine, la tachycardie, l'hypertension artérielle |
|
médicament
utilisé dans le traitement de l'hypertension
|
|
famille d'antibiotiques, comprenant pénicillines et céphalosporines |
|
qui a le
même effet qu'un bêtabloquant
|
|
qui a deux
côtés/se rapporte à - |
|
qui se
rapporte à la bile
|
|
qui se
rapporte à la biochimie |
|
dégradation
de certaines substances par des organismes vivants |
|
efficacité
biologique d'un produit pour l'organe cible |
|
disposant de
la même efficacité |
|
prélèvement
d'un fragment de tissu sur une personne vivante, en vue d'un examen |
|
formation
par les organismes vivants de molécules chimiques |
|
concernant
deux courants monophasés |
|
·
infection d'origine vénérienne, provoquée par un gonocoque
·
provoque un écoulement douloureux au niveau des muqueuses atteintes ·
peut provoquer la stérilité si non soignée rapidement |
|
·
inflammation du bord des paupières ·
origine infectieuse locale, ou agents polluants |
|
·
ralentissement ou blocage de la transmission de l'influx nerveux entre oreillettes et ventricules
du coeur ·
peut provoquer la perte de connaissance par ralentissement excessif du
coeur |
|
gargouillement
|
|
masse
filamenteuse blanchâtre de tissu gangréné, au centre d'un furoncle
|
|
·
bruit auriculaire gênant se produisant sans cause extérieure ·
peut refléter l'hypertension artérielle, le mal des altitudes, la sclérose du tympan |
|
·
battements
trop lents du coeur ·
rythme
cardiaque anormalement lent |
|
lenteur
anormale des mouvements |
|
respiration
anormalement lente |
|
dilatation ( pathologique) des bronches |
|
chacun des
deux conduits cartilagineux qui vont de la trachée artère aux poumons |
|
ramification
des bronches |
|
forme de bronchite, touchant surtout les nourrissons, due à un virus qui
enflamme les bronchioles |
|
qui se
rapporte aux bronches |
|
inflammation de la muqueuse des bronches |
|
maladie des
bronches, souvent due au tabac, avec toux, gêne respiratoire |
|
rétrécissement
des bronches |
|
dilatation des bronches |
|
·
contraction anormale des bronches avec respiration difficile et souvent
sifflante ·
c'est un des facteurs responsables de l'asthme |
|
contraction spasmodique des bronches |
|
qui se
rapporte à la bouche |
|
se
rapportant à la bouche et au pharynx |
|
qui se
rapporte à un bulbe |
|
qui se
rapporte à une ampoule, une cloque |
|
inflammation des bourses séreuses des articulations |
|
maigreur
extrême |
|
os du tarse qui forme le talon |
|
taux de
calcium dans le sang |
|
1) formation
des os - 2) durcissement d'une artère, d'une articulation |
|
taux de
calcium dans l'urine |
|
concrétion
pierreuse formée par des matières normalement dissoutes dans l'organisme |
|
canal qui
évacue les sécrétions oculaires vers le nez |
|
prolifération anormale, maligne, des cellules |
|
qui peut
provoquer un cancer
|
|
·
prolifération d'un champignon microscopique, intervenant comme complication de traitements antibiotiques ·
symptômes : troubles digestifs, langue brune, muguet, démangeaisons de la vulve et du gland |
|
infection causée par un champignon (candida) |
|
plante
aphrodisiaque, utilisée contre rhume et toux |
|
tube creux
que l'on adapte notamment à l'extrémité d'une seringue |
|
vitalité |
|
1) qui se
rapporte aux cheveux, qui se rapporte à la capillarité - 2) vaisseau sanguin
très fin, petite veine |
|
qui a trait
au coeur |
|
augmentation
du volume du coeur |
|
maladie du
muscle cardiaque |
|
cardiomyopathie dans laquelle l'épaississement du muscle cardiaque
gêne l'écoulement du sang |
|
maladie de
coeur |
|
qui se
rapporte au coeur et aux poumons |
|
qui se
rapporte au coeur et à la fonction respiratoire des poumons |
|
qui agit
davantage sur le coeur que sur d'autres tissus |
|
(médicament)
qui augmente la tonicité du muscle cardiaque |
|
qui exerce
une action toxique sur le coeur |
|
qui se
rapporte au coeur et aux vaisseaux sanguins |
|
carie
(dentaire) |
|
légume
utilisé pour la vue, le teint, la bonne humeur (effet sur les glandes endocrines), la vessie |
|
lame
fibreuse placée dans l'épaisseur du bord libre de la paupière et qui la
maintient tendue |
|
suppression
des glandes génitales (homme / femme), stérilisation |
|
phénomènes
de dégradation du métabolisme |
|
accélérer
une réaction chimique sous l'effet d'une substance |
|
traitement
local par application d'une pâte sur la peau |
|
cataplasme par application d'une pâte qui comporte de la graine
de moutarde
|
|
1) opacité
du cristallin (= congénital) - 2) opacification du cristallin (= sénile), due au
vieillissement, à un accident, à une maladie, ou à l'utilisation de certaines
substances (corticoïdes) |
|
affection
responsable d'une sensation d'oreille bouchée par obstruction de la trompe
d'Eustache |
|
inflammation des voies respiratoires, accompagnée de sécrétions
abondantes |
|
fin tuyau
souple destiné à être placé en permanence dans une veine pour réaliser des
injections ou perfusions |
|
introduction
d'un cathéter dans l'organisme |
|
tige creuse ou
pleine |
|
qui se
rapporte à la partie terminale d'un organe |
|
qui concerne
la cause |
|
(substance)
qui a une action corrosive sur les tissus |
|
partie
creuse d'un organe, excavation d'un organe |
|
inflammation, ou gonflement, du tissu conjonctif |
|
douleur
continue du crâne, s'aggravant par accès, différente de la migraine (
pas d'état nauséeux) |
|
famille d'antibiotiques voisins de la pénicilline |
|
qui se
rapporte au cervelet |
|
qui se
rapporte au cerveau |
|
relatif au
cerveau et à la moelle épinière |
|
relatif aux
vaisseaux sanguins du cerveau |
|
plante utile
pour le foie et l'estomac, et contre la cellulite
|
|
fruit aux
vertus diurétiques |
|
cérumen
(matière onctueuse et jaune sécrétée dans le conduit de l'oreille externe),
bouchon de cire |
|
qui se
rapporte au cou, à la nuque / -au col d'un organe |
|
excès
d'acidité dans le sang |
|
substance
qui se lie à une autre substance présente dans une solution, et qui la rend
insoluble |
|
utilisation
d'un chélateur |
|
cicatrice
volumineuse et inesthétique, ou bourrelet de la peau au niveau de la
cicatrice, survenant de façon imprévisible notamment après une opération
chirurgicale |
|
(organe ou région du corps) sensible aux excitants chimiques |
|
relatif à la chimiothérapie |
|
traitement
par des substances chimiques, notamment du cancer |
|
masque de
grossesse |
|
·
choc allergique, malaise brutal et grave, avec chute de la tension
artérielle, à la suite d'une dilatation des vaisseaux sanguins, après un contact avec une
substance allergisante (aliment, médicament, piqыre) ·
les membres de la personne en état de choc anaphylactique sont colorés et
chauds |
|
substance
qui facilite l'évacuation de la bile de la vésicule biliaire vers l'intestin |
|
radiographie
du foie |
|
inflammation de la vésicule biliaire
|
|
présence de calculs |
|
substance
qui stimule la sécrétion de bile par le foie
|
|
arrêt de
l'écoulement de la bile
|
|
substance
grasse (stérol) qui se trouve dans les cellules du sang et de la bile |
|
matière
azotée, apparentée à la vitamine B, dont les dérivés jouent un rôle dans le
fonctionnement du système parasympathique |
|
maladie des
articulations ressemblant à la goutte, due à des dépôts de phosphate de calcium (et non pas d'acide urique) dans le cartilage |
|
maladie neurologique avec des contractions et des mouvements musculaires
anormaux, aussi appelée "danse de Saint-Guy" |
|
légume
utilisé dans divers traitements diététiques |
|
relatif au
(x) chromosome (s) |
|
qui dure
longtemps, évolue lentement |
|
·
abbréviation
de Centésimale Hahnemannienne ·
dilution au centième d'une substance homéopathique |
|
processus par lequel une plaie se cicatrise |
|
relatif au
mouvement |
|
circulation provisoirement dérivée hors du corps |
|
circulation
(sanguine) |
|
maladie du foie, avec des granulations d'un jaune roux, d'origine
graisseuse, pigmentaire, ou alcoolique |
|
fruit bactéricide utilisable contre les maux de gorge |
|
coefficient
d'épuration qui correspond à l'aptitude à éliminer |
|
habituel,
courant, traditionnel |
|
le fait de
boiter |
|
·
moyen de traitement emprunté à l'influence même du climat sélectionné à
cet effet - les climats sont caractérisés par : 1) la situation
géographique, 2) la composition du sol, 3) les conditions atmosphériques ·
on distingue : les climats d'altitude, les climats de plaine, les climats
marins ·
technique s'apparentant à la thalassothérapie, la balnéothérapie, l'héliothérapie, ou la cure d'air pure et simple |
|
basé sur
l'observation (du malade) |
|
relatif au clitoris |
|
petit organe
érectile de la vulve |
|
malformation
congénitale réalisant une cavité commune dans laquelle s'ouvrent le système uro-génital et la portion terminale du tube digestif.
|
|
caractérisé
par des convulsions dues à une exagératioin des réflexes |
|
plante
aphrodisiaque |
|
hémorragie faisant suite à la constitution de nombreux caillots
dans les vaisseaux, à la suite d'une opération chirurgicale ou de certaines
maladies |
|
fait de coaguler, de transformer une substance organique liquide en une
masse solide |
|
transformer
une substance organique liquide en une masse solide |
|
qui se
rapporte au limaçon osseux de l'oreille interne |
|
molécule non
protéique intervenant directement dans la réaction sur laquelle agit l'enzyme |
|
maladie de
coeur provoquée par une enbolie pulmonaire |
|
qui concerne
la connaissance |
|
fruit
utilisé contre les diarrhées des nourrissons et les vomissements |
|
rapport sexuel
|
|
col (de
l'utérus) |
|
le
colibacille est une bactérie normalement présente dans le tube digestif, qui peut devenir cause d'une infection
|
|
·
douleur brutale, survenant après le repas, sous la dernière côte droite
avec irradiation vers l'épaule et le cou du même côté et vomissements ·
dыe à la présence de calculs biliaires |
|
·
crise de deux à huit heures, avec douleurs lombaires irradiantesi,
douleurs aigües du ventre ou du dos, très difficilement supportables, dues à
la migration d'un calcul dans l'uretère ·
ce calcul qui obstrue les voies urinaires : habituellement est
un calcul d'acide urique ou de sels de calcium |
|
·
inflammation du côlon, d'origine bactérienne ou parasitaire ou de la maladie de
Crohn ou spasmodique
·
accompagnée de troubles du transit intestinal, généralement des diarrhées |
|
côlite dont l'origine est un dérèglement de l'intestin |
|
protéine fibreuse qui assure la cohésion de tissus vivants |
|
1) protéine présente dans le tissu conjonctif - 2) qui se rapporte
au collagène |
|
maladie
grave avec chute brutale de la tension artérielle en cas d'insuffisance
cardiaque |
|
1) état de
choc - 2) affaissement d'un organe creux, notamment affaissement des parois
d'un vaisseau sanguin en cas de chute de la pression artérielle |
|
relatif à,
de la nature d'un colloïde |
|
médicament
qui agit par contact avec l'arrière-gorge et les parois internes de la bouche
|
|
préparation
liquide (destinée au traitement des affections oculaires) |
|
affection du
côlon |
|
relatif au
côlon et au rectum |
|
torpeur
persistante |
|
perte de
connaissance prolongée |
|
qui a
rapport au coma, est dans le coma |
|
points noirs
sur la peau, microkystes |
|
(organisme)
qui partage la nourriture de son hôte, sans préjudice pour celui-ci |
|
commotion
(cérébrale) |
|
pouvant être
administrés en même temps, pouvantêtre transfusé, -greffé |
|
modification
tendant à rétablir un équilibre physiologique, psychologique |
|
substance
composée de plusieurs protéines, se fixant sur le complexe antigène-anticorps |
|
association
de plusieurs remèdes homéopathiques, dont la dilution va en général de 3 CH à 6 CH |
|
phénomènes
morbides nouveaux apparaissant au cours d'une maladie |
|
1) quantité
proportionnelle (pharm.) - 2) concentration (psych.) |
|
fécondation |
|
simultané |
|
solide |
|
condition
physique |
|
transmission, propagation |
|
tumeur bénigne de la peau ou des muqueuses, due à un virus transmis
par voie sexuelle |
|
espèce de
verrue (sur la muqueuse génitale ou anale) |
|
confusion
mentale |
|
présent à la
naissance |
|
afflux de
sang dans une partie du corps |
|
muqueuse
transparente qui recouvre la paroi interne des paupières et la partie
antérieure de l'oeil |
|
inflammation de la conjonctive : rougeur des yeux avec dilatation de petits vaisseaux sanguins et écoulement liquide brыlant ou prurulent |
|
qui
participe à la même fonction, a lieu en même temps |
|
maladies
rares affectant le collagène : lupus érythrémateux, périartérite noueuse,
sclérodermie, dermatomyosite |
|
sauvegarder,
préserver |
|
contraire : diarrhée |
|
chacun des
corps simples qui forment un corps composé |
|
relatif à la
constitution physique |
|
contagion/pollution
|
|
traitement
de l'insuffisance veineuse ou lymphatique, avec un bas élastique qui
maintient un membre pour empêcher le relâchement des tissus et la formation
d'oedèmes |
|
qui s'oppose
à la conception : pilules, stérilets, spermicides, diaphragme, préservatifs |
|
processus qui permet l'infécondité volontaire |
|
possibilité de
se contracter |
|
contraction
prolongée |
|
circonstance
qui empêche d'appliquer un traitement |
|
bleu, ecchymose |
|
période de
transition entre la fin d'une maladie et la guérison |
|
contractions
involontaires et violentes de muscles (spasme), dont l'origine se situe dans le cerveau (lésions,
fièvres, etc.) |
|
coordination
des mouvements |
|
maladie
infectieuse infantile |
|
tunique
antérieure transparente centrale de l'oeil, qui recouvre iris et pupille |
|
1) disposé
en couronne - 2) vaisseau sanguin |
|
substances
toxiques acides, parmi lesquelles l'acétone, dont l'accumulation dans le sang provoque l'acidocétose |
|
périphérie
de la glande surrénale dont les hormones sont des régulateurs du métabolisme |
|
partie externe
d'un organe |
|
qui se
rapporte au cortex : la substance corticale du cerveau est une substance
externe et grise qui enveloppe la substance blanche |
|
·
substance
proche de la cortisone ·
naturellement fabriquées par les surrénales, les corticoïdes sont synthétisées à cause de leurs
propriétés anti-inflammatoires |
|
hormone sécrétée par les glandes surrénales |
|
traitement
par des corticoïde ou par la cortisone |
|
hormone du cortex surrénal, utilisée en thérapeutique |
|
·
hormone sécrétée par les glandes surrénales ·
anti-inflammatoire, régule les sucres, graisses, protéines de l'organisme |
|
rhume de
cerveau |
|
propre aux
soins de beauté |
|
maladie de la
hanche |
|
contraction
de courte durée, involontaire et douloureuse, de certains muscles lisses ou
striés |
|
du crâne |
|
teneur du
sang en créatine |
|
substance du
sang dont le taux s'élève anormalement en cas d'insuffisance rénale |
|
légume
utilisé comme antidote de la nicotine pour les fumeurs |
|
petite plaie
superficielle et douloureuse, de couleur rouge-vif, la plupart du temps
sèche, parfois suintante |
|
formation de
cristaux (de calculs) |
|
nerf situé
dans la cuisse |
|
·
douleur due à l'irritation des racines du nerf crural ·
la douleur prend sur la face avant de la cuisse |
|
cavité provoquée par la traction vers le bas de la paupière,
oщ doivent être déposées pommades ophtalmiques et gouttes de collyre qui se répandent ensuite sur tout l'oeil avant d'être
évacuées par le canal lacrymal |
|
anesthésier au
curare |
|
qui guérit |
|
opération
qui consiste à nettoyer avec une curette une cavité ( utérus, articulation, abcès) |
|
qualifie une
personne atteinte de la maladie de
Cushing |
|
qui se
rapporte à la peau |
|
bleuissement
de la peau |
|
paralysie de
l'accommodation de l'oeil |
|
déviation de
la colonne vertébrale, commune chez les enfants |
|
acide aminé riche en soufre, qui intervient dans le métabolisme de la peau, des ongles, des cheveux |
|
·
inflammation d'origine microbienne de la vessie, accompagnée de brыlures à la miction, d'urines troubles ou ensanglantées, d'envies
fréquentes d'uriner ·
atteint davantage l'homme que la femme |
|
inflammation de la vessie |
|
examen
visuel interne de la vessie |
|
protéine jouant un rôle important dans la respiration
cellulaire |
|
éléments constituant une cellule (sauf le noyau) |
|
(substance)
qui peut bloquer la division cellulaire |
|
toxique pour la cellule |
|
·
perte de calcium à la suite de maladie et de grande fatigue ou de
grossesse ·
entraоne la fragilité des os et un certain déséquilibre
nerveux |
|
·
mode de préparation de certaines tisanes ·
extraction de substances contenues dans les plantes par mélange avec de
l'eau et ébullition prolongée ·
procédé différent de l'infusion ou de la macération |
|
rupture de
l'équilibre physiologique d'un organe |
|
(attitude du
corps) en position couchée |
|
évacuation des
selles |
|
choc
électrique externe visant à rétablir un rythme cardiaque normal |
|
insuffisance |
|
·
G6PD = glucose 6 phosphate déshydrogénase, enzyme normalement présente dans le globule rouge ·
le déficit de cette enzyme est responsable d'une anémie hémolytique grave nommée favisme, qui contre-indique l'emploi de
certains médicaments |
|
·
incapacité des systèmes de défense de l'organisme à accomplir leurs
fonctions ·
dы à la baisse des globules blancs ou des anticorps ( immunoglobulines) |
|
manque (qui
déséquilibre) |
|
qui se
rapporte à la dégénérescence |
|
folie |
|
ramification
des prolongements cytoplasmiques des cellules nerveuses |
|
qui se
rapporte aux dendrites |
|
formation de
la denture |
|
qui présente
une carence en éléments nutritifs par insuffisance d'apports alimentaires |
|
·
besoin psychique ou physique entraоné par la prise
de certaines substances, naturelles ou médicamenteuses ·
en cas d'arrêt des prises peut apparaоtre le syndrôme de sevrage |
|
impression
de ne plus être soi-même |
|
disparation
du pigment (de la peau) |
|
état
d'épuisement (par manque de liquide) |
|
diminution de
la polarisation |
|
·
sentiment de fatigue physique et mentale, avec des troubles de la volonté
et de l'humeur ·
nécessite
un traitement |
|
diminution
voire arrêt de la respiration par inhibition des centres nerveux qui commandent l'inspiration et l'expiration |
|
maladie de
la peau allergique et congénitale, avec poussées d'eczéma
|
|
maladie rare
de la peau, ressemblant à l'herpès
|
|
inflammation de la peau |
|
qui concerne
(les maladies de) la peau |
|
infection de la peau provoquée par des champignons |
|
champignon
microscopique responsable d'infections cutanées comme la teigne, athletic-foot, onyxis |
|
infection de la peau ou des ongles, ou du cuir chevelu, par des dermatophytes |
|
infection de la peau provoquée par des champignons |
|
maladie de
la peau se traduisant par l'apparition de bulles remplies d'eau, semblables
aux cloques qui se forment après une brыlure |
|
maladie de la
peau |
|
maladie de la
peau |
|
couche de la
peau, située juste au-dessous de l'épiderme, riche en fins vaisseaux sanguins (capillaires) |
|
dermite dыe à l'usage excessif de pommades contenant des corticoïdes |
|
dermite se traduisant par une rougeur et une desquamation touchant les régions pileuses et les ailes du nez |
|
inflammation de la peau |
|
préparation
de corticoïdes pour usage local, afin de soigner certaines maladies
de la peau |
|
urticaire factice |
|
traitement
préventif de l'allergie |
|
déficit en eau |
|
perte des
repères de temps, d'espace ou d'identité |
|
élimination
des peaux mortes |
|
détection,
découverte |
|
qui déterge,
nettoie |
|
·
abbréviation
de Décimale Hahnemannienne ·
dilution au dixième d'une substance homéopathique |
|
·
incapacité partielle de l'organisme à oxyder les hydrates de carbone ou
les glucides ·
maladie se traduisant par l'émission d'urines abondantes et une soif
intense |
|
type de diabète dы à un déficit en hormone
antidiurétique (
vasopressine) qui maintient constante la quantité d'eau dans le
corps |
|
·
perturbation de la régulation des sucres de l'organisme par l'insuline ·
augmentation du glucose dans le sang, et éventuellement sa présence dans les
urines ·
existe sous deux formes : 1) le diabète insulino-dépendant, qui nécessite des injections d'insuline, 2) le diabète non insulino-dépendant, soignable par des
hypoglycémiants oraux ·
affection le plus souvent héréditaire, touche l'homme davantage que la
femme |
|
action de
déterminer une maladie d'après ses symptômes |
|
procédé
d'épuration du sang en cas d'insuffisance rénale grave, utilisant notamment
le rein artificiel (élimination mécanique) |
|
transpiration
abondante |
|
muscle qui sépare
le thorax de l'abdomen, et qui joue un rôle fondamental dans les mouvements
respiratoires |
|
évacuation
fréquente de matières alvines liquides |
|
mouvement de
dilatation du coeur et des artères, qui alterne avec le mouvement
de contraction (systole) |
|
relatif à la diastole |
|
échauffement
des tissus par un courant de haute fréquence |
|
disposition
générale d'une personne à être atteinte par un ensemble d'affections de même
nature |
|
médecine
naturelle basée sur l'équilibre alimentaire, la qualité des aliments, le
perfectionnement de la cuisson et la sobriété |
|
relatif à / stimulant la digestion |
|
·
substances apparentées à la digitaline, substance issue de la digitale ·
en cardiologie, les digitalines ralentissent le coeur et augmentent les
contractions |
|
administration
de digitale ( pour ralentir le coeur) |
|
dilatation de la pupille |
|
augmentation
du volume d'un organe |
|
·
dilution d'une substance active obéissant aux règles homéopathiques ·
la solution est obtenue après plusieurs dilutions successives suivies à
chaque étape de dynamisation |
|
maladie due
au bacile de Loeffler, avec formation de pseudo-membranes sur certaines
muqueuses (pharynx, larynx) et phénomènes d'intoxication |
|
trouble de
la vue (deux images pour un seul objet) |
|
qui a le
forme d'un disque |
|
déplacement
d'un organe / luxation |
|
système
permettant l'absorbtion d'un médicament à travers la peau, en direction des
vaisseaux sanguins du derme |
|
propager |
|
éloigné |
|
augmentation
du volume d'un organe élastique |
|
déformation
anatomique |
|
sécrétion de
l'urine |
|
substance
permettant une élimination d'eau par les reins et donc qui favorise, stimule
l'excrétion urinaire |
|
diurétique puissant qui agit sur un élément du rein, appelé anse
de Henlé |
|
de jour |
|
·
petite cavité en cul de sac développée aux dépens d'un organe (souvent tube digestif) ·
peut donner lieu à une inflammation |
|
inflammation d'un diverticule |
|
accumulation
de diverticules |
|
prépondérance
d'un gène |
|
personne qui
donne/donneur |
|
dopage
(pop), doping (anglic.) : utilisation de stimulant |
|
douleur du dos
|
|
qui se
rapporte au dos |
|
dose
croissante (pop) : permettant d'obtenir un effet maximal |
|
ni les
patients ni les médecins ne connaissent la nature des traitements administrés
|
|
douche thérapeutique |
|
évacuation
de liquide au moyen d'un drain |
|
·
substance capable de stimuler ou faciliter l'élimination des déchets
produits par le métabolisme |
|
partie de
l'intestin à la sortie de l'estomac |
|
enveloppe
superficielle des méninges |
|
procédé
utilisé en homéopathie qui consiste à agiter la solution entre chaque
dilution |
|
difficulté
d'élocution (due à des troubles moteurs) |
|
perturbation
des phénomènes de coagulation sanguine |
|
trouble dans
le fonctionnement d'un organe |
|
malformation |
|
déformation du
goût |
|
·
éruption de vésicules ou de bulles, survenant sur la face
palmaire des mains et les faces latérales des doigts, surtout en été, et qui
correspond à une anomalie de sécrétion de la sueur ·
apparenté
à l'eczéma |
|
trouble de
la coordination des mouvements |
|
trouble dans
l'accomplissement des mouvements |
|
difficulté
dans l'apprentissage de la lecture, fréquente chez l'enfant |
|
·
trouble des règles avec douleur dans la région lombaire au début des menstruations, souvent peu avant leur
apparition ·
peut être la conséquence d'une infection génitale soignable |
|
menstruation pénible et douloureuse |
|
douleur
durant les rapports sexuels |
|
trouble fonctionnel
de la digestion |
|
difficulté à
avaler |
|
état de
malaise |
|
malformation |
|
difficulté de
respiration |
|
rigidité anormale des muscles |
|
trouble de
la nutrition d'un organe ou d'une partie (souvent musculaire) |
|
difficulté à
uriner |
|
·
infiltration de sang dans la peau et les muqueuses, pouvant
survenir après un traumatisme ou spontanément ·
communément
appelé "bleu" |
|
"bleu"
: tache (noire, brune ou jaunâtre) produite par un épanchement sanguin sous-cutané |
|
technique
d'imagerie indolore, utilisant les ultra-sons |
|
affection
grave atteignant les femmes enceintes |
|
relatif à la
situation anormale d'un organe |
|
·
maladie de la peau, avec des boutons ou une vive démangeaison ·
lésion cutanée caractérisée par des vésicules à sécrétion séreuse, des
rougeurs, une desquamation de l'épiderme ·
l'eczéma peut être dы au contact avec une substance allergisante ou lié à
une prédisposition génétique |
|
eczéma lié à une prédisposition génétique |
|
eczéma dы au contact avec une substance allergisante |
|
symptômes
désagréables provoqués par certains médicaments associés à la prise de
boisson alcoolisée : bouffées de chaleur, rougeur du visage, maux de tête,
nausées, vomissements |
|
indésirable,
négatif |
|
réaction,
conséquence |
|
se
développant particulièrement dans un certain contexte |
|
étude de
l'activité électrique du muscle cardiaque |
|
enregistrement
des impulsions électriques produites par l'activité cérébrale |
|
corps qui
peut être décomposé en ions |
|
relatif à
l'électrophysiologie |
|
·
obstruction d'une artère par un caillot ou une plaque d'athérome apportée par le courant sanguin ·
plus généralement, oblitération brusque d'un vaisseau par un caillot : un
caillot sanguin, ou de microbes, de cellules cancéreuses, de graisse, de
bulles de gaz, ou autre |
|
vomitif |
|
adoucissant |
|
gonflement, dilatation ( suite à un volume d'air excessif) |
|
·
maladie des poumons, avec dilatation de la cage thoracique et difficultés respiratoires ·
origine : tabagisme, maladie génétique, inhalation de substances toxiques |
|
1)
expérimental : qui est fondé sur l'expérience scientifique, 2) qui s'appuie
sur l'expérience personnelle |
|
amas de pus
(dans une cavité naturelle) |
|
faire une émulsion |
|
faire une émulsion |
|
dispersion
d'un liquide insoluble dans un autre liquide |
|
éruption touchant les muqueuses |
|
inflammation de l'encéphale |
|
affection du
cerveau |
|
qui est
habituellement présent |
|
infection du coeur interne, et notamment des valves, pouvant
provoquer une insuffisance cardiaque grave |
|
inflammation de la membrane tapissant la paroi interne du coeur |
|
glande à
sécrétion interne |
|
relatif aux glandes endocrines |
|
partie de la
physiologie et de la médecine qui concerne les glandes endocrines
|
|
dû à des
causes internes |
|
revêtement
interne de l'utérus, dont la couche superficielle est renouvelée lors de
chaque cycle menstruel |
|
prolifération anormale du revêtement interne de l'utérus |
|
présence de
muqueuse utérine en dehors de l'utérus |
|
examiner au
moyen d'un endoscope |
|
tissu qui
recouvre les surfaces internes du coeur et des vaisseaux |
|
relatif à
l'endotoxine (= substance toxique à l'intérieur des cellules) |
|
inflammation de l'intestin grêle (+ colique/diarrhée) |
|
inflammation de l'intestion grêle et du côlon |
|
qui affecte
les intestins et le foie |
|
incontinence d'urine (sans cause organique), le plus souvent
pendant le sommeil |
|
enurésie chez le jeune enfant ayant un âge oщ le contrôle des sphincters devrait être acquis |
|
enurésie de l'adulte ou de l'enfant qui était auparavant propre
|
|
·
substance (protéine) capable d'activer et de catalyser une réaction spécifique ·
la plupart des enzymes résultent de l'association de deux molécules : l'apoenzyme et le coenzyme ·
principales enzymes employées : 1) ferments digestifs, tels que la papaine ( extraite du latex), la pepsine ( extr. du suc gastrique), la pancréatine 2) anti-inflammatoires, tels que l'alphachimotrypsine 3) fibrinolytiques |
|
enzyme sécrétée par le pancréas, qui facilite et accélère la
digestion |
|
augmentation
d'un type de globules blancs |
|
inflammation des muscles du coude |
|
relatif à
étude des épidémies |
|
qui a un
caractère d'épidémie |
|
·
couche externe de la peau, au-dessus du derme ·
assure le renouvellement de la couche cornée, constituée de cellules mortes riches en kératine |
|
relatif à l'épiderme/ à lapeau |
|
en dehors de
la dure-mère |
|
douleur de
la partie supérieure du ventre |
|
région nédiane et supérieure de l'abdomen, entre les côtes et l'estomac |
|
relatif à l'épigastre |
|
·
infection grave de la gorge, qui survient chez l'enfant et peut
provoquer un étouffement ·
due à l'haemophilus influenzae type b, différente de la simple laryngite |
|
·
maladie chronique, survenant par crises, liée à une anomalie de
l'activité électrique de cellules cérébrales ·
petit mal : chute brutale de l'attention (absences) ·
grand mal : pertes de conscience avec mouvements musculaires
anormaux (convulsions) : cette maladie nerveuse comporte de brusques
attaques convulsives avec perte de connaissance |
|
1) relatif à
l'extrémité d'un os long - 2) relatif à une glande du cerveau |
|
incision pratiquée lors d'un accouchement (pour éviter les
déchirures) |
|
saignement de
nez |
|
tissu qui
recouvre les surfaces internes et externes de l'organisme |
|
milliéquivalent
|
|
·
champignon parasite du seigle, dont l'absorbtion accidentelle provoque
une maladie : ergotisme
·
les substances de ce champignon sont des vasoconstricteurs ou
vasodilatatrices |
|
méthode employée
pour soigner le psychisme déficient, en faisant réaliser par le malade un
travail approprié à ses capacités fonctionnelles diminuées |
|
·
ensemble des manifestations neurologiques et vasculaires liées à une intoxication par des dérivés de l'ergot de seigle : convulsions, douleurs, paleurs, refroidissement inhabituel des extrémités de membres ·
forme
dangereuse d'empoisonnement |
|
usure
superficielle de la peau/-de l'émail dentaire |
|
renvoi, rot |
|
lésion de la
peau |
|
maladie de
la peau (infectieuse et contagieuse) |
|
inflammation de la peau des fesses avec rougeurs et démangeaisons |
|
rougeur de
la peau (disparaissant à la pression) |
|
maladie de
la peau (due à un microbe) |
|
processus de formation des globules rouges |
|
croûte
noirâtre que forme le tissu mortifié (par exemple à la suite d'une gangrène, d'un séjour allité prolongé) |
|
plante utile
pour masquer l'absence de sel dans les aliments |
|
étude des
causes des maladies |
|
etat de
confiance d'un sujet qui se croît bien portant |
|
aggravation
passagère (d'une maladie, d'un symptôme) |
|
éruption cutanée/de la peau (suite à une maladie infectieuse) |
|
substance
neutre (facilitant l'absorption) |
|
élimination,
évacuation |
|
élimination
des cellules mortes de la peau |
|
glande à
sécrétion externe |
|
qui est dû à
des causes externes |
|
propulsion
du globe oculaire hors de l'orbite |
|
qui aide à
expectorer, à tousser, expulser, cracher |
|
qui facilite
l'élimination des mucosités (glaires) contenues dans les voies respiratoires |
|
liquide
organique de nature inflammatoire |
|
1) extension
(contr . flexion) - 2) imobilisation (par traction) |
|
voie motrice
située dans le cerveau et le moelle épinière |
|
extérieur au
rein |
|
contraction
anormale du coeur |
|
passage d'un
liquide organique dans les tissus |
|
extérieur au
(x) vaisseau (x) sanguin (s) |
|
pied (s)
et/ou main (s) |
|
contraction
du coeur survenant juste avant ou juste après une contraction normale,
souvent perçue comme un choc dans la poitrine |
|
de la face |
|
contraction
spontanée d'un muscle (apparemment au repos) |
|
fatal, mortel |
|
fiévreux |
|
·
bouchon de selles dans le rectum ou le colon ·
expose à un risque d'obstruction du tube digestif |
|
relatif aux
selles |
|
selles,
matières fécales |
|
qui se
rapporte au fémur, à la cuisse |
|
plante diurétique, utile contre les vomissements et pour réguler le
cycle menstruel |
|
ces ferments agissent suer le lait pour produire l'acide lactique |
|
provoqué par
le manque de fer
|
|
contractions
cardiaques rapides et irrégulières |
|
taux sanguin
de fibrine |
|
·
agent important de la coagulation, la fibrine est une protéine formée à partir du fibrinogène sous l'action de la thrombine ·
le caillot de thrombine arrête les saignements |
|
protéine soluble, présente dans le plasma sanguin, et dont la
transformation en fibrine insoluble forme le caillot |
|
dégradation
de la fibrine, phénomène qui peut s'accélérer dans certaines circonstances
pathologiques |
|
1) enzymes capables de dissoudre un caillot de sang, utilisées en
cas de thrombose artérielle récente, telles que la streptokinase 2) qui se rapporte à la fibrinolyse ( = dégradation de la fibrine) |
|
·
tumeur bébigne de l'utérus, pouvant être responsable de saignements en
dehors des règles ·
comporte souvent des pertes blanches ou liquides |
|
mucoviscidose |
|
transformation
fibreuse d'un tissu |
|
fruit ayant
des qualités de laxatif |
|
filtration,
filtrage |
|
·
petite ulcération du pourtour de l'anus, provoquant des douleurs vives avant ou pendant la
selle ·
provoque souvent hémorroïdes et constipation |
|
1) fêlure - 2)
crevasse - 3) fente anatomique |
|
communication
anormale entre un organe et la surface du corps, entre deux organes |
|
1) fixation -
2) obsession |
|
flasque, mou |
|
accumulation
d'air dans l'estomac ou les intestins avec gonflements abdominaux fréquents |
|
flexion
(contraire de extension) |
|
bactéries
normalement présentes dans le tube digestif et participant à la digestion |
|
bactéries
normalement présentes dans le vagin (flore de Dцderlein), ne
provoquant aucun trouble et protégeant contre des champignons microscopiques
et d'autres germes infectieux |
|
trouble du
rythme cardiaque |
|
produit de
la conception, encore renfermé dans l'utérus, ayant passé le stade
d'embryon, et commençant à présenter les caractères du
nouveau-né |
|
organe situé
dans la partie supérieure droite de l'abdomen, qui a un rôle essentiel dans le métabolisme
digestif, dans la formation du sang et dans l'excrétion
|
|
inflammation du cuir chevelu |
|
se dit d'un
symptôme lié au fonctionnement normal d'un organe non lésé |
|
qui détruit
les champignons |
|
qui empêche
le développement des champignons |
|
champignon |
|
espace
membraneux compris entre les os du crâne des jeunes enfants, qui ne s'ossifie
que progressivement au cours de la croissance |
|
fréquence (du
pouls) |
|
chez la
femme : absence d'excitation et de satisfaction sexuelle lors du coït |
|
inflammation circonscrite de la peau, provoquée par un staphylocoque, et caractérisée par une tuméfaction et la formation d'une petite escarre
|
|
apparition
(simultanée ou successive) de plusieurs furoncles |
|
sécrétion
excessive, anormale de lait par le mamelon, trop abondant chez une femme qui
allaite, ou survenant chez une femme en dehors de l'allaitement, voire chez
un homme |
|
maladie
héréditaire rare du nouveau-né, entraоnant la présence
anormale dans le sang de galactose (
sucre du lait) |
|
(qui
concerne) la présentation des médicaments |
|
petit
renflement sur le trajet des vaisseuax lymphatiques et de certains nerfs |
|
mortification
et putréfaction (nécrose) des tissus |
|
mode de
traitement local visant à mettre au contact de l'arrière-gorge un médicament
pur ou dilué sans l'avaler |
|
douleur vive à
l'estomac |
|
inflammation de l'estomac |
|
inflammation ( aiguë ou chronique) (de la muqueuse) de l'estomac |
|
qui se
rapporte à l'estomac et au duodénum
|
|
inflammation de l'estomac et de l'intestin |
|
qui se
rapporte à l'estomac et aux intestins |
|
qui se
rapporte à l'estomac et à l'oesophage |
|
qualifie
certains comprimés ou gélules dont la substance active est protégée de l'acidité de l'estomac |
|
gène dont la
mutation peut supprimer les effets de mutations d'autres gènes |
|
plante utile
contre les rhumatismes et la goutte
|
|
relatif à la
reproduction |
|
qui se
rapporte à l'appareil génital et urinaire (
uro-génital) |
|
relatif à la
gériatrie (= médecine des gens âgés) |
|
tout
organisme microscopique infectieux : bactéries, virus, parasites, champignons
|
|
grossesse |
|
inflammation des gencives, avec pellicule balnchâtre voire
saignements |
|
·
liquide incolore ou blanchâtre, sécrété par le col de l'utérus au moment de l'ovulation
·
facilite le passage des spermatozoïdes vers l'utérus ·
la modification de la glaire cervicale est un mode d'action des contraceptifs oraux |
|
glande (s) à
sécrétion interne dont les produits sont déversés directement dans le sang |
|
pression
(tension intraoculaire) excessive des liquides contenus dans l'oeil |
|
glaucome rare, peut être aggravé brutalement par certains
médicaments pour donner un glaucome aigu |
|
glaucome fréquent |
|
augmentation
brutale et grave de la tension intraoculaire qui peut provoquer la cécité en quelques jours |
|
affection de
l'oeil (due à une hypertension interne) |
|
cellule du
sang : on distingue les polynucléaires neutrophiles (qui augmentent lors des
infections), les polynucléaires éosinophiles (qui augmentent chez les
personnes allergiques et en cas de parasitose), les polynucléaires
basophiles, les lymphocytes et les monocytes dont le nombre s'élève en cas d'infection virale ou de d'atteinte de la moelle osseuse |
|
cellule du
sang qui contient de l'hémoglobine
|
|
relatif aux
glomérules (=unité de filtration du rein) |
|
inflammation des glomérules (rénaux) |
|
douleur de la
langue |
|
inflammation de la langue |
|
douleur de la
langue |
|
orifice du
larynx servant à l'émission de la voix |
|
·
substances énergétiques, parmi lesquels les sucres ·
aussi appelés hydrates de carbone |
|
glucide à digestion lente |
|
glucide à digestion rapide |
|
sucre de formule C6 H12 O6 |
|
composé du glucose d'origine végétale (glucose + fraction non glucidique) |
|
présence
anormale de glucose dans l'urine |
|
·
matière azotée visqueuse qui subsiste après élimination de l'amidon des farines des céréales ·
peut donner lieu chez des personnes prédisposées à une intolérance digestive grave |
|
quantité de glucose présente dans le sang, normalement de 0, 80 à 1, 10
gr/litre à jeun |
|
quantité
anormale de glucose dans les urines, rencontré chez les diabétiques |
|
augmentation
du volume de la glande thyroïde |
|
relatif aux
gonades, aux organes de reproduction |
|
qui agit sur
les glandes sexuelles |
|
méthode
d'examen (utilisée dans l'exploration du glaucome) |
|
bactérie
responsable de la blennoragie, transmise par voie sexuelle |
|
maladie
sexuellement transmissible |
|
maladie due
à une accumulation d'acide urique ( hyperuricémie) dans le sang, touchant certaines articulations,
survenant surtout chez les sédentaires et les gros mangeurs, souvent
héréditaire, qui se manifeste souvent au gros orteil |
|
maladie très
douloureuse, provoquée par un trouble du métabolisme de l'acide urique, avec hyperuricémie
|
|
décoloré |
|
gardant la
première coloration |
|
crise grave d'épilepsie |
|
manque de
granulocytes (= globules blancs) du sang |
|
variété d'eczéma, avec des boutons roses groupés en anneau |
|
grossesse |
|
affection
virale, saisonnière et très contagieuse, avec fatigue, courbatures
musculaires et fièvre |
|
qui a trait
à la médecine de la femme |
|
développement
anormal des seins chez l'homme, le plus souvent après une augmentation du
taux des oestrogènes, pouvant être d'origine congénitale ou autre |
|
hypertrophie des glandes mammaires chez l'homme |
|
légume qui
aide à combattre la fatigue |
|
vomissement,
crachement de sang |
|
qui a trait
au sang, à l'hématologie |
|
accumulation
de sang (due à des lésions vasculaires) |
|
émission
d'urine contenant du sang |
|
diminution
considérable de la vue (lorsque l'éclairage est faible) |
|
paralysie
frappant une moitié latérale du corps |
|
filtrage du
sang |
|
·
principal
constituant des globules rouges ·
substance riche en fer, qui assure la fixation de l'oxygène des poumons et sa redistribution dans
différents organes |
|
destruction
des globules rouges |
|
maladie du
sang |
|
pathologie
liée à l'absence de coagulation, transmissible héréditairement par les femmes |
|
relatif à la
formation des cellules sanguines |
|
crachement
de sang (provenant des voies respiratoires) |
|
perte de
sang à partir d'une artère ou d'une veine (interne/externe) |
|
·
dilatation anormale d'une veine de l'anus ou du rectum, qui peuvent être internes ou externes,
et constituer alors une espèce de bourrelet autour de l'anus ·
elles peuvent s'enflammer et saigner |
|
tumeur
variqueuse qui se forme à l'anus et au rectum par la dilatation des veines |
|
arrêt d'une hémorragie |
|
instrument,
substance ou procédé permettant d'arrêter une hémorragie |
|
qui se
rapporte au foie/souffre du- |
|
affection
inflammatoire du foie |
|
hépatite infectieuse et contagieuse due à un virus |
|
relatif au foie et aux voies biliaires |
|
qui affecte
les cellules du foie |
|
augmentation
du volume du foie |
|
étanche |
|
·
déplacement ou protubérance d'un disque intervertébral faisant saillie dans le canal rachidien, provoquant des douleurs cervicales, discales ou lombaires
·
prend la forme d'une névralgie du cou ou des bras, ou intercostale, ou d'une sciatique |
|
·
hernie de l'estomac à travers l'hiatus oesophagien ·
glissement anormal d'un segment de l'estomac au-dessus du diaphragme ·
cette anomalie anatomique rend possible le reflux de l'acidité vers l'oesophage, avec sensation de brыlure |
|
tumeur molle
formée par un organe partiellement ou totalement sorti de la cavité qui le contient à l'état normal |
|
·
virus et maladie infectieuse due à ce virus (bouton de fièvre), qui
touche surtout les lèvres et les organes génitaux ·
récidive
fréquente |
|
nom donné à
certains orifices |
|
1)
apparition chez la femme d'une pilosité de type masculin 2) développement
exagéré du système pileux |
|
·
substance chimique (amine) naturellement fabriquée par l'organisme, douée de
nombreuses propriétés : relâchement des petites artères, contraction des
muscles de l'intestin et des bronches, sécrétion du suc gastrique,
accélération du coeur, relâchement des contractions de l'utérus ·
joue un rôle important dans les mécanismes de l'inflammation, sa libération dans l'organisme est à l'origine des
phénomènes d'anaphylaxie et est importante dans les manifestations
allergiques ·
(voir antihistaminique) |
|
qui a
rapport à l'histamine : choc histaminique |
|
·
1)
Production de tissus nouveaux ·
2) Branche de l'embryologie qui étudie le développement de ces tissus |
|
partie de
l'anatomie qui traite les tissus organiques |
|
relatif à l'histologie |
|
destruction
de tissus qui se produit normalement chez un être vivant |
|
méthode de
traitement qui consiste à donner au patient, à des doses diluées et
précédemment dynamisées, des produits naturels animaux, végétaux, minéraux,
qui donnés à l'homme sain à doses plus élevées peuvent faire apparaоtre les symptômes de la maladie à traiter |
|
constance du
milieu intérieur (d'un être vivant) |
|
relatif à une hormone |
|
substance
transportée par le sang, destinée à réguler l'activité de certaines glandes
ou de certains organes |
|
hormones produites essentiellement par les testicules, permettant le développement des caractères sexuels
masculins |
|
·
hormones accélératrices du métabolisme, sécrétées par la glande thyroïde |
|
relatif à
l'os allant de l'épaule au coude (= humérus) |
|
relatif à
l'humérus et à l'épaule/aux omoplates |
|
qui se
rapporte aux liquides organiques |
|
sorte de sucre |
|
relatif à
l'eau et à l'alcool
|
|
excès de
liquide dans les cavités du cerveau |
|
décomposition
d'un corps par fixation d'eau |
|
qui retient
l'eau |
|
1) que l'eau
ne mouille pas - 2) qui a une peur maladive, de l'eau |
|
utilisation
des eaux minérales naturelles pour traiter un malade, le plus souvent dans
une station thermale au cours d'une cure thermale |
|
sensibilité
excessive à la douleur (idem hyperalgie) |
|
sensibilité
excessive à la douleur |
|
1) dont la
pression est supérieure à la pression atmosphérique (liquides) - 2) dont le
poids spécifique est supérieur à celui du milieu ambiant (= liquides) |
|
excès de gaz
carbonique dans le sang |
|
hyperactivité
motrice (idem hyperkinésie) |
|
vomissements
continuels |
|
exagération de
la sensibilité |
|
taux
anormalement élevé de glucose dans le sang |
|
transpiration
anormalement abondante |
|
augmentation
excessive du potassium dans le sang |
|
épaississement
considérable de la couche cornée ( de la peau) |
|
hyperactivité
motrice (idem hypercinésie) |
|
augmentation
du taux des graisses dans le sang (idem hyperlipidémie) |
|
augmentation
du taux des graisses dans le sang (idem hyperlipémie) |
|
augmentation
anormale de l'épaisseur des os |
|
développement
anormal des cellules (dans un tissu) |
|
exagération
des réflexes |
|
exagération
d'une sécrétion glandulaire |
|
stimulation
excessive |
|
tension
(artérielle) supérieure à la normale |
|
température
trop haute |
|
sécrétion
excessive de la thyroïde |
|
augmentation
anormale du tonus musculaire |
|
développement
excessif de poils (endroits habituellement glabres) |
|
augmentation
de volume d'un organe |
|
augmentation
anormale du taux de l'acide urique dans le sang |
|
respiration
anormalement profonde ou rapide |
|
troubles
provoqués par l'administration excessive de vitamines |
|
augmentation
du volume du sang circulant |
|
somnifère |
|
surdité
partielle |
|
anxieté
excessive (à propos de sa santé) |
|
relatif au
tissu sous-cutané, sous la peau |
|
taux
anormalement bas de glucose dans le sang |
|
sécrétion
insuffisante des gonades (= testicules/ovaires) |
|
diminution
excessive du potassium dans le sang |
|
état
euphorique (passager ou habituel) |
|
relatif à
l'hypophyse (= glande endocrine) |
|
développement
insuffisant d'un tissu ou d'un organe |
|
tension
(artérielle) inférieure à la normale |
|
relatif au
cerveau végétatif |
|
température
treop basse |
|
insuffisance
de la sécrétion de la thyroïde
|
|
diminution du
tonus musculaire |
|
retard de croissance (< malnutrition) |
|
taux
anormalement bas d'acide urique dans le sang |
|
diminution
de la ventilation des poumons |
|
manque de
vitamines |
|
diminution
du volume du sang circulant |
|
diminution
de la teneur du sang en oxygène |
|
diminution
de l'apport d'oxygène au niveau des cellules et des tissus |
|
ablation de
l'utérus |
|
somatisation d'un conflit psychique |
|
qui est
provoqué par le médecin (ou par le traitement médical) |
|
malformation
(héréditaire) de la peau |
|
jaunisse |
|
processus par lequel un individu se constitue sur le modèle d'un
autre |
|
de cause
inconnue |
|
disposition
personnelle à réagir aux agents extérieurs |
|
inflammation de la fin de l'intestin grêle |
|
obstruction
intestinale |
|
absence de
maturité (psych., phys.) |
|
traitement
qui consiste à empêcher tout mouvement |
|
procédé qui
déclenche l'immunité |
|
état de
protection contre une/des maladie (s) |
|
qui provoque
la formation d'anticorps
|
|
relatif à
l'étude des réactions immunitaires de l'organisme |
|
(substance)
qui atténue les réactions immunitaires |
|
immunisé |
|
maladie
contagieuse de la peau |
|
1)
introduction d'un implant - 2) nidation |
|
1) saturation
- 2) nidation |
|
(personne)
qui est dans l'impossibilité de faire face aux conditioins normales de la vie
|
|
1)
enchatonnement (placenta) - 2) étranglement (hernie) |
|
accessoire, secondaire |
|
section au
bistouri ou aux ciseaux |
|
incapacité
de contröler l'émission d'urine ou de selles |
|
mélange |
|
délai
pendant lequel une maladie infectieuse se développe |
|
qui indique |
|
durcissement
des tissus |
|
1) perte de
la contractilité - 2) passivité, apathie
|
|
1) relatif à
la première enfance (péjoratif) - 2) arrête au stade de l'enfance |
|
infiltration
du tissu par un épanchement
sanguin, notamment hémorragie à l'intérieur du myocarde
|
|
envahissement
de l'organisme par un gène pathogène
|
|
accumulation
anormale de liquide ou de cellules dans un tissu |
|
inflammation
(= ensemble des signes et symptômes secondaires à une infection) |
|
absorption |
|
situé au
niveau de l'aine |
|
absorption
par les voies respiratoires de gaz, de vapeurs |
|
essentiel,
inné |
|
1) Physiol.
: action nerveuse ou hormonale empêchant ou modérant le fonctionnement d'un
organe - 2) Psycho. : action d'un fait psychique qui empêche d'autres faits
de se produire |
|
introduire
(un liquide, un gaz) dans un organisme |
|
introduction
(d'un liquide, d'un gaz) dans un organe |
|
distribution
des nerfs (dans un organe, dans l'organisme) |
|
minéral/fonctionnel
|
|
qui concerne
la contractilité musculaire |
|
à sa place
normale, en position habituelle |
|
aspiration |
|
instabilité (génét. /psych.) |
|
goutte-à-goutte
|
|
réduction
anormale de l'activité de la moelle osseuse |
|
qui concerne
les relations entre individus |
|
à
intervalles réguliers ou irréguliers |
|
situé dans
les interstices (d'un tissu ou d'un organe) |
|
inflammation de la peau (au niveau des plis) |
|
situé entre
deux vertèbres |
|
réaction
anormalement forte de l'organisme |
|
empoisonnement
|
|
à l'intérieur
de l'individu |
|
dans le muscle
|
|
à
l'intérieur du globe de l'oeil |
|
à l'intérieur
d'une enveloppe |
|
à
l'intérieur d'un vaisseau sanguin |
|
à l'intérieur
d'une veine |
|
propre à un
organe |
|
introduction
d'un tube dans un conduit naturel |
|
envahissant |
|
en milieu
artificiel, en laboratoire |
|
dans
l'organisme vivant |
|
diminution
de volume (d'un organe) |
|
production
d'ions (à partir de molécules électriquement neutres) |
|
graphique
des différents ions contenus dans un liquide organique |
|
inflammation de l'iris et du corps ciliaire |
|
inflammation de l'iris |
|
état
douloureux d'un organe qui subit une inflammation légère (peau, bronches) |
|
apport
insuffisant de sang (à un organe ou un tissu) |
|
partie de
l'intestin grêle |
|
enrobé d'une
substance analogue à la kératine |
|
inflammation de la cornée |
|
inflammation de la cornée et de la conjonctive
|
|
(substance)
capable de dissoudre la kératine (= couche cornée de la peau) |
|
affection des
ongles |
|
peu stable |
|
déchirure
accidentelle de la peau et du tissu sous-cutané
|
|
qui se
rapporte aux larmes/ à la sécrétion des - |
|
1) montée du
lait - 2) allaitement |
|
inflammation du larynx |
|
fatigue
généralisée et vague |
|
période
(temps, phase) d'inactivité apparente |
|
1) externe,
éloigné du milieu du corps - 2) sur le côté |
|
1) en forme
de lentille - 2) du cristallin |
|
mortel, fatal |
|
pathologie
caractérisée par un sommeil profond et prolongé dans lequel les fonctions de
la vie semblent suspendues |
|
affection,
avec augmentation considérable des globules blancs dans le sang, et présence
de cellules anormales |
|
relatif aux
globules blancs |
|
augmentation
du nombre de globules blancs (sang) |
|
diminution
du nombre de globules blancs (sang) |
|
plaque
blanchâtre de peau cornée
|
|
pertes
blanches |
|
dermatose causée par des grattages répétés |
|
1) en forme
d'anneau - 2) relatif à un limbe |
|
en forme de
ligne droite |
|
corps gras |
|
altération
des cellules graisseuses du tissu sous-cutané |
|
qui retient
les matières grasses |
|
protéine s'associant à des lipides |
|
formation de
cristaux (de calculs) dans les urines |
|
marbrures
violacées de la peau |
|
portion bien
définie de certains organes (notamment de l'oreille) |
|
détermination
du siège d'une maladie |
|
écoulement
de l'utérus (après un accouchement) |
|
relatif à la
locomotion |
|
local |
|
du dos |
|
relatif à la
syphilis |
|
affection
douloureuse de la région lombaire, apparaissant brutalement à la suite d'un effort |
|
déboîtement,
luxation (pop) : déplacement permanent de deux surfaces articulaires qui ont
perdu leurs rapports naturels |
|
maladie des
ganglions lymphatiques |
|
inflammation des vaisseaux lymphatiques |
|
relatif aux
lymphocytes |
|
tumeur
cacéreuse causée par la prolifération du tissu lymphoïde |
|
relatif à,
provoquant la destruction de tissus, de cellules |
|
dissolution
par trempage à froid/décomposition |
|
tache cutanée |
|
caractérisé
par la présence de macules et de papules |
|
trouble du processus d'absorption (des aliments par les intestins) |
|
·
maladie due à un mauvais fonctionnement des glandes surrénales qui sécrètent la cortisone ·
traitée par apport de cortisone |
|
maladie de
la thyroïde, avec goitre, yeux globuleux, hyperthyroïdie |
|
inflammation de l'intestin, source d'ulcères et de rétrécissements,
peut devenir chronique et entraоner dénutrition
et diarhées |
|
maladie se
manifestant par une incapacité à étendre les deux ou trois derniers doigts de
la main |
|
trouble de
la vaso-motricité artérielle (touchant les membres inférieurs) |
|
non bénin : maladie qui présente un caractère grave et
insidieux, d'une tumeur susceptible de se généraliser et d'entraîner la mort |
|
qui se
rapporte au sein |
|
qui se
rapporte à la manie/est atteint de manie |
|
utilisation
du massage pour soigner, le plus souvent par des effleurages, des pressions,
des frictions, des pincements, des vibrations, des percussions ou des
pétrissages |
|
qui sert à
la mastication |
|
inflammation de la glande mammaire
|
|
catégorie de
cellule jouant un rôle important dans les réactions allergiques |
|
tension
douloureuse des seins |
|
inflammation et infection de l'os mastoïde |
|
relatif à,
de la mâchoire |
|
qui est au
milieu |
|
substance
libérée par les fibres nerveuses, et produisant un effet sur les cellules voisines |
|
indirect |
|
qui a des
propriétés thérapeutiques |
|
relatif à la
moelle osseunse/épinière |
|
dilatation du gros côlon |
|
dû aux
cellules de grande taille présentes dans la moelle osseuse (= mégaloblastes) |
|
évacuation
de selles très foncées, contenant du sang digéré |
|
tumeur (maligne ou non) de la peau |
|
accumulation
anormale de pigment brun foncé dans la peau |
|
enveloppe de
chacune des cellules de l'organisme |
|
·
dans le corps : enveloppe qui couvre le corps, entoure un organe, etc. ·
le terme membrane est également utilisé au sens courant (non interne au
corps humain) en chimie et en pharmacie |
|
apparition des
premières règles |
|
inflammation des méninges |
|
fin de la
fonction menstruelle chez la femme |
|
règles
anormalement abondantes et longues |
|
règles |
|
plante antiseptique utilisée contre les mauvaises digestions, l'aérophagie, les vomissements, l'insuffisance hépatique |
|
relatif au
repli du péritoine |
|
transformations
qui s'accomplissent dans l'organisme |
|
substance
organique qui participe au métabolisme |
|
transformation
d'un tissu différencié en un autre tissu |
|
accumulation
d'air dans l'estomac ou les intestins |
|
présence
(dans le sang), d'hémoglobine oxydée |
|
hémorragie de l'utérus (en dehors des règles) |
|
particule en
suspension dans une solution colloïdale |
|
millième de
milligramme |
|
technique de
microscopie |
|
organisme
animal ou végétal visible seulement au microscope |
|
hémorragie très faible |
|
sorte de
champignon |
|
écoulement de
l'urine |
|
action
d'uriner, vidage de la vessie |
|
douleur
intense dans la tête |
|
transformation
d'une substance organique en substance minérale |
|
nom
d'ensemble des hormones corticosurrénales |
|
qui peut se
mélanger (en formant un tout homogène) |
|
division
cellulaire |
|
traitement
qui consiste à favoriser la mobilité |
|
technique de
surveillance (d'un malade) |
|
thérapie qui recourt à un seul médicament |
|
qui a la
même action que la morphine
|
|
1) qui donne
le mouvement - 2) qui se rapporte au mouvement |
|
mouvements
propres à un organe, à un système |
|
plante
utilisée pour aider la digestion au niveau du pancréas et des reins, ayant
des effets peu favorables sur l'estomac |
|
relatif à
une muqueuse et à la peau |
|
relatif à,
provoquant la destruction de la muqueuse |
|
qui contient
du mucus et du pus |
|
liquide
visqueux transparent ou trouble qui tapisse certaines muqueuses, et joue le
rôle d'enduit protecteur |
|
taches
blanches sur le palais |
|
qui a eu
plusieurs enfants |
|
plante
utilisée pour favoriser la digestion des sauces |
|
capable de
provoquer des mutations |
|
1)
changement profond - 2) modification du matériel génétique |
|
douleur
musculaire |
|
1) fatigue
musculaire (banale) - 2) affection neurologique ( grave) |
|
sorte de
bactérie qui peut être pathogène
|
|
relatif à
l'étude des champignons |
|
teigne du pied
|
|
infection causée par des champignons |
|
provoqué par
des champignons |
|
qui concerne
ou provoque la dilatation de la pupille |
|
muyélome à prolifération cancéreuse |
|
tumeur
généralement cancéreuse de la moelle osseuse |
|
toxique pour la moelle osseuse |
|
muscle du
coeur |
|
inflammation du muscle cardiaque |
|
myopathie, dystrophie musculaire |
|
décontracturant
|
|
inflammation du tissu musculaire |
|
relatif au,
provoquant le resserrement de la pupille |
|
contr. zénith |
|
(substance)
qui provoque une anesthésie générale |
|
du nez |
|
excès de sodium dans les urines |
|
envie de vomir
|
|
légume qui
est un fortifiant |
|
éruption grave dans laquelle la partie superficielle de la peau
se décolle |
|
destruction
d'une cellule, d'un tissu |
|
du nouveau-né |
|
concernant
la reconstitution de tissus par opération plastique |
|
inflammation ( aiguë ou chronique) du rein |
|
néphropathie observée chez les femmes enceintes |
|
affection des
reins |
|
relatif à
une atteinte rénale dégénérative |
|
toxique pour les reins |
|
qui se
rapporte au système nerveux (= embryologie) |
|
tranquillisant ( majeur) |
|
relatif à
l'étude du système nerveux |
|
qui concerne
à la fois les muscles et leurs commandes nerveuses |
|
relatif aux
cellules nerveuses |
|
affection du
système nerveux (central ou périphérique) |
|
toxique pour le système nerveux |
|
substance
impliquée dans l'action d'un neurone sur les cellules cibles |
|
système qui
contrôlent les fonctions automatiques de l'organisme (ensemble des
structures-) |
|
diminution
du nombre de globules blancs neutrophiles |
|
caractérise
certaines variétés de globules blancs |
|
névralgie (= irritation d'un nerf) |
|
névrite (= inflammation d'un nerf) |
|
affection
cutanée provoquant des démangeaisons |
|
atteint de
névrose |
|
négatif |
|
contre-indiqué,
déconseille |
|
de nuit (inv . diurne) |
|
normaliser/standardiser
|
|
dont la
tension artérielle est normale |
|
qui se
contracte, se répand dans les hôpitaux |
|
qui présente
des noeuds, des nodosités |
|
qui n'a pas
eu d'enfant |
|
en forme de
pièce de monnaie |
|
mouvements
saccadés des yeus |
|
personne
touchée par une hypertrophie générale du tissu adipeux |
|
hypertrophie générale du tissu adipeux |
|
1) que le
médecin peut constater - 2) d'un microscope |
|
relatif aux
accouchements |
|
relatif aux
accouchements |
|
obstruction de
tout passage |
|
1) qui se
rapporte à l'oeil - 2) lentille |
|
qui commande
les mouvements des globes oculaires |
|
infiltration sérieuse de divers tissus, qui se révèle par un
gonflement indolore et sans rougeur au niveau de la peau |
|
inflammation de l'oesophage |
|
·
hormone stimulant les organes sexuels féminins : utérus et glandes
mammaires essentiellement ·
commande
l'ovulation |
|
hormone sexuelle féminine |
|
plante diurétique, riche en vitamines et sels minéraux, et en sucre difficilement assimilable |
|
éléments
minéraux présents dans l'organisme en très faible quantité, mais jouant un
rôle important pour le métabolisme cellulaire, et dont la carence peut créer des
troubles, comme l'iode, le magnésium, le zinc |
|
élément
chimique indispensable à la santé |
|
diminution
quantitative des règles |
|
utilisation
de certains métaux ou métalloïdes (dits oligo-éléments) pour guérir (voir sels minéraux) |
|
diminution
de la quantité d'urine (par 24 h) |
|
relatif à la
destruction des cellules cancéreuses |
|
qui concerne
les tumeurs |
|
lésion des
ongles, se reconnaоt autour du pourtour des ongles |
|
ablation
d'un ou des deux ovaires ( idem ovariectomie) |
|
qui prend la
couleur de l'opale |
|
qui se
rapporte à l'oeil |
|
concernant
la médecine qui traite de l'oeil |
|
(médicament) à
base d'opium |
|
contraction
musculaire |
|
micro-organisme, bactérie normal qui devient pathogène
|
|
le meilleur
possible |
|
relatif à la
vue |
|
fruit riche
en vitamines A et C, utile contre la grippe
|
|
relatif à
l'orbite de l'oeil |
|
prescription
(médicale) |
|
irritation, hystérie, érection |
|
relatif à la
bouche et au visage |
|
1) relatif à
l'orthopédie - 2) qui corrige |
|
dû à la
station debout |
|
pression osmotique |
|
pression osmotique |
|
phénomène de diffusion, qui se produit lorsque deux liquides ou
deux solutions de concentrations moléculaires différentes se trouvent
séparées par une membrane semi-perméable |
|
relatif à l'osmose |
|
petit os du
tympan |
|
1) formation
des os (= normal) - 2) transformation en os (=anormal) |
|
atteinte
infectieuse d'une articulation |
|
désordre du métabolisme osseux |
|
destruction
osseuse |
|
ramollissement
des os (chez l'adulte) |
|
infection de l'os et de la moelle osseuse |
|
fragilisation
des os |
|
section d'un
os (pour remédier à une difformité) |
|
inflammation aigüe ou chronique de l'oreille |
|
partie de la
médecine qui s'occupe des maladies de l'oreille, du nez et de la gorge |
|
écoulement
provenant de l'oreille |
|
dystrophie de la capsule du labyrinthe |
|
toxique pour l'oreille, pour l'ouïe |
|
glande
génitale de la femme, oû se forment les ovules
|
|
ablation
d'un ou des deux ovaires ( idem oophorectomie) |
|
qui se
rapporte à l'ovaire
|
|
surdose |
|
libération
des ovules après rupture du follicule de Graaf |
|
1) Medec. :
gamète femelle élaboré par l'ovaire - 2) Pharma. : petit solide de forme ovoide, constitué
de glycérine ou de beurre de cacao, enrobant des substances médicamenteuses |
|
combinaison
d'une substance chimique avec l'oxygène |
|
1)
traitement d'un corps par oxygène - 2) fixation d'oxygène (chim.) |
|
relatif à l'oxytocine (
hormone de l'hypophyse) |
|
(traitement)
qui agit sur les symptômes (sans agir sur la maladie) |
|
des paupières |
|
contractions
cardiaques anormales |
|
inflammation du pancréas |
|
diminution
simultanée des trois types de cellules sanguines |
|
inflammation du tissu adipeux sous-cutané |
|
inflammation de la papille optique ( se traduisant par un oedème) |
|
relatif à
des papilles/en forme de- |
|
inflammation de la papille optique ( se traduisant par un oedème) |
|
inflammation de la papille optique/des papilles de la langue |
|
plante tonique pour la mémoire |
|
bouton |
|
ponction
(pour évacuer un liquide anormal) |
|
sommeil à
activité cérébrale rapide |
|
délire chronique systématisé avec conservation de la clarté et de
l'ordre dans la pensée
|
|
paralysie
des membres, et notamment des membres inférieurs |
|
relatif
aux/causé par des parasites |
|
qui active certaines fonctions automatiques de l'organisme |
|
injection faite (par erreur) dans les tissus entourant la veine |
|
tissu fonctionnel d'un organe |
|
administré
par une voie autre que la voie digestive |
|
paralysie
légère ou incomplète |
|
sensation
cutanée anormale |
|
inflammation des glandes salivaires |
|
atteignant un
paroxysme |
|
atteignant un
paroxysme |
|
accouchement |
|
qui provoque
la maladie |
|
1) relatif à
la pathologie - 2) maladif |
|
de la pédriatrie |
|
dermatose provoquée par la présence de poux |
|
branche de
la médecine qui étudie les maladies des enfants |
|
du bassin |
|
enzyme produite par certaines bactéries (utilisée pour
traiter les allergies à la pénicilline) |
|
organe sexuel
mâle, pénis |
|
relatif à la
digestion |
|
qui se fait
à travers la peau |
|
persistant,
permanent |
|
transfusion
(lente et continue) de sang |
|
transfusion
continue |
|
situé au
pourtour de l'anus
|
|
inflammation des tissus qui entourent une articulation |
|
inflammation de la membrane qui enveloppe le coeur |
|
relatif à le
période précédant ou suivant la naissance |
|
relatif à la
partie inférieure du bassin |
|
inflammation des tissus qui entourent l'ongle |
|
relatif à la
période d'hospitalisation |
|
situé autour
de la bouche |
|
situé autour
de l'orbite |
|
contraction
(s) permettant la progression du bol alimentaire dans le tube digestif
|
|
inflammation de la membrane qui tapisse l'abdomen ( et les organes abdominaux) |
|
qui entoure
un/des vaisseau (x) |
|
anémie dont l'évolution est très grave (souvent fatale) |
|
per os/par
la bouche |
|
plante
utilisée contre les ballonnements, et pour favoriser les fonctions génitales
féminines, tonique, diurétique |
|
transpiration |
|
déviation
(sexuelle) |
|
instrument
destiné à corriger les déviations de l'utérus |
|
petite tache
cutanée due à une hémorragie
|
|
petite crise
d'épilepsie |
|
moyen de
défense de l'organisme |
|
qui se fixe
sur le phallus |
|
étude du
devenir des médicaments dans l'organisme |
|
partie de la
pharmacologie qui a pour objet l'etude de l'action des agents
médicinaux sur l'organisme sain |
|
relatif à
l'activité des médicaments |
|
etude des
médicaments, de leur action et de leur emploi |
|
ayant trait
à la pharmacologie |
|
art de préparer les médicaments, avec les recettes et
formules |
|
partie de la
pharmacologie qui a pour objet l'etude de l'action des médicaments
sur l'organisme malade |
|
inflammation du pharynx |
|
1)
manifestation (psych.) - 2) symptôme (path.) |
|
inflammation d'une veine, avec formation d'un caillot et
oblitération (thrombophlébite) |
|
radiographie
des veines |
|
inflammation aiguë de la peau |
|
névrose caractérisée par une peur morbide |
|
sensibilité
anormale à la lumière |
|
sensibilisation
à la lumière (= processus) |
|
sensibilité
à la lumière (= état) |
|
situé à la
limite entre la physique et la chimie |
|
1) relatif
au fonctionnement d'un organe - 2) contr. psychologique |
|
utilisation
de préparations végétales pour soigner |
|
mesure de
l'acidité ou de l'alcalinité d'une solution |
|
formation de
pigments |
|
érection
du/des poil (s) |
|
affection
cutanée caractérisée par une fine desquamation |
|
substance
inerte donnée à la place d'un médicament, ayant un effet psychologique sur le patient |
|
masse
charnue et spongieuse qui entoure le foetus dans l'utérus |
|
tartre ( dépôt de phosphate de calcium qui s'attache au collet des dents) |
|
protéine contenue dans le plasma sanguin |
|
protéine
plasmatique inactive participant à la fibrinolyse en se transformant en plasmine
|
|
inflammation de la plèvre |
|
réseau de
nerfs entremêlés |
|
inflammation des poumons liée à une infection |
|
affection du
poumon |
|
légume diurétique, utilisé pour fortifier les cordes vocales, et contre les rhumatismes, l'artériosclérose, l'obésité |
|
plante
nuisible pour le sommeil |
|
arthrite affectant plusieurs articulations |
|
soif excessive
|
|
qui présente
des aspects différents |
|
névrite de plusieurs nerfs |
|
composé
formé de plusieurs acides aminés |
|
accroissement
des quantités d'urine émises en 24 h |
|
thérapie qui recourt à plusieurs médicaments |
|
1) qui a
plusieurs valences (chim.) - 2) qui protège contre plusieurs éléments
pathogènes |
|
fruit
régulateur de dérèglements intestinaux et aux qualités antiseptiques |
|
affection
héréditaire due à l'accumulation de porphyrine |
|
qui suit la ménopause |
|
qui suit une
opération |
|
suites de
couches |
|
qui survient
après les repas |
|
qui se
produit après un traumatisme |
|
en relation
avec la position du corps |
|
augmentation
de l'action d'un médicament par l'absorption d'un second (idem potentiation) |
|
augmentation
de l'action d'un médicament par l'absorption d'un second (idem potentialisation) |
|
formation d'un
précipité |
|
où aucune
manifestation clinique n'est encore décelable |
|
situé en
avant du coeur |
|
symptôme
avant-coureur |
|
aptitude
particulière à contracter une maladie |
|
(enfant) né
avant terme |
|
traitement
préalable à une intervention (médicale ou chirurgicale) |
|
qui précède
les règles |
|
qui précède
une intervention chirurgicale |
|
repli qui
entoure le sommet du pénis
|
|
manière dont
le foetus se présente |
|
pression
artérielle minimale |
|
pression
artérielle maximale |
|
situé en
amont d'une synapse |
|
érection
prolongée et douloureuse du pénis ( sans excitation sexuelle) |
|
qui apparaît
en premier lieu |
|
perte /
absence |
|
évolution |
|
inflammation du rectum |
|
obtenu par
lyophilisation |
|
(substance)
qui favorise le processus de la grossesse |
|
évolutif |
|
descente d'un
organe |
|
multiplication
|
|
jugement que
donne un médecin après le diagnostic, sur la durée, le déroulement et l'issue d'une maladie
|
|
méthode de
protection ou de prévention |
|
proportionnel |
|
relatif à la
propulsion |
|
substance
hormonale dérivée d'acides gras non saturés |
|
trouble urinaire dû à l'hypertrophie de la prostate |
|
inflammation de la prostate |
|
enzyme qui décompose les protéines ( en peptides et acides aminés) |
|
macromolécule
organique azotée, composée d'acides aminés |
|
remplacement
artificiel d'une partie du corps |
|
protéine sanguine intervenant dans la coagulation |
|
être vivant
unicellulaire |
|
état d'un
organe anormalement poussé en avant |
|
proche |
|
qui cause des
démangeaisons |
|
démangeaison
de la peau sans lésion visible, qui donne envie de se gratter |
|
relatif à la
pseudo-membrane |
|
qui présente
les caractères cliniques d'une tumeur (mais n'est pas due à une prolifération de cellules) |
|
affection de
la peau (fréquente et tenace) |
|
discipline
(au sein de la psychothérapie) fondée par Freud, et utilisant l'exploration profonde
de l'homme et de son inconscient |
|
relatif aux
maladies mentales |
|
dont la
cause est purement psychique |
|
dont la
cause est purement psychique (idem psychogénétique) |
|
(médicament)
qui diminue l'activité mentale |
|
qui concerne
les fonctions motrices et psychiques |
|
maladie
mentale aiguë dont le malade n'a pas conscience |
|
relatif à
l'influence du psychisme sur l'organisme |
|
technique de
soins utilisant des méthodes psychologiques |
|
(médicament)
qui agit sur le psychisme |
|
période
entre l'accouchement et la réapparition des règles |
|
battement du
coeur, des artères |
|
maladie
caractérisée par des taches rouges (dues à une hémorragie sous-cutanée) |
|
qui contient
du pus |
|
caractérisé
par la présence de pustules |
|
inflammation de la muqueuse du bassinet |
|
inflammation du bassinet et du rein |
|
orifice
inférieur de l'estomac |
|
qui provoque
la formation de pus |
|
qui provoque
la suppuration |
|
état fébrile |
|
qui provoque
la fièvre |
|
brûlure épigastrique |
|
calme |
|
maladie de
la croissance, avec déformations variables du squelette, due à un trouble du métabolisme
|
|
traitement aux
rayons |
|
plante
fortifiante, diurétique, considérée comme utile pour les voies respiratoires |
|
fruit dont
le sucre est peu dangereux pour les diabètes, utilisé pour les régimes des cardiaques, hypertendus
et rhumatismaux |
|
caractère
d'une voix ranque |
|
nouvelle
absorption |
|
entraînant la
réactivité |
|
recrudescence,
aggravation |
|
·
responsables de la contraction des vaisseaux sanguins et de l'appareil urinaire ·
bloqués
par des alphabloquants |
|
apportenant
au groupe AB et pouvant recevoir le sang des autres groupes sanguins |
|
qui réapparaît
|
|
deuxième convalescence |
|
du rectum |
|
qui se répète |
|
évaluation
(revue et corrigée) |
|
qui a trait
au (x) réflexe (s) |
|
écoulement
(dans un sens contraire) |
|
qui ne réagit
pas |
|
reconstitution
des tissus |
|
partie du
corps |
|
retour des
aliments (de l'estomac ou de l'oesophage) |
|
nouvelle infection |
|
méthode de
détente physique utilisant la décontraction musculaire et psychique,
conseillée aux personnes nerveuses et angoissées |
|
atténuation
des symptômes |
|
du rein |
|
rotation |
|
relatif aux
reins et aux vaisseaux sanguins |
|
qui se répète |
|
réaction |
|
opération
qui consiste à couper un os, un vaisseau, un muscle, en tendon etc. (ablation,
amputation) |
|
absorption |
|
avec
prolongation de l'effet |
|
le fait de
retenir |
|
de la rétine |
|
affection de
la rétine |
|
raccourcissement
|
|
repli sur soi |
|
situé derrière
le bulbe |
|
contrôle en
retour |
|
derrière le
sternum |
|
(agent) qui
provoque une révulsion |
|
gerçure
profonde |
|
rhume |
|
relatif au
nez et aux glandes lacrymales |
|
inflammation du nez et du pharynx |
|
écoulement
de liquide par le nez |
|
qui ressemble
au rhumatisme |
|
raideur |
|
plante diurétique, antirhumatismale, aide la digestion, la cicatrisation, la lutte contre l'infection et les troubles nerveux |
|
ronflement |
|
maladie
éruptive contagieuse, rappelant la rougeole |
|
perte d'eau
faisant suite à la perte de sels provoquée par une substance diurétique |
|
contenant du
sel |
|
inflammation d'une trompe |
|
(médicament)
qui favorise l'élimination de l'urine |
|
plante
utilisée contre le vieillisssement de la peau et les troubles circulatoires |
|
plante
utilisée par les femmes lors de la ménopause |
|
gale |
|
fièvre
caractérisée par un début brusque et une éruption sur les muqueuses de la bouche et de la peau, en
larges plaques écarlates |
|
psychose comportant une dégradation psychique et la perte du
contact avec la réalité |
|
1) relatif à
la hanche - 2) inflammation du nerf sciatique |
|
enveloppe de
l'oeil |
|
affection
des centres nerveux avec des plaques de sclérose à la surface des circonvolutions cérébrales et de la moelle épinière |
|
induration
pathologique d'un organe ou d'un tissu, due à l'hyertrophie de son
tissu conjonctif |
|
lacune dans
le champ visuel |
|
exagération
de la sécrétion de la peau |
|
1) qui vient
s'ajouter - 2) indésirable, négatif |
|
calmant |
|
formation de
dépôts |
|
dépôt (de
matières) |
|
partie d'un
organe |
|
qui opère une
sélection |
|
éléments
minéraux, présents dans la nourriture, et jouant le plus souvent un rôle de
catalyseur : arsenic, brôme, calcium, cuivre, fer, magnésium, phosphore, potassium, silice, sodium, soufre, etc. (voir oligothérapie) |
|
semi-chimique |
|
infection générale |
|
1) infectant -
2) infectieux |
|
cloison
(séparant deux cavités) |
|
fragment d'os
détaché |
|
relatif à
l'étude des sérums |
|
immunisation passive |
|
solution de sels minéraux ayant la même pression que le sang |
|
1) petit-lait
- 2) sérum sanguin |
|
court-circuit
dans la circulation du sang |
|
1) sigmoïde
(valvule-) - 2) partie mobile du gros intestin |
|
significatif |
|
1) relatif
au noeud sinusal (coeur) - 2) relatif aux sinus |
|
inflammation des sinus |
|
légume
utilisé pour les régimes alimentaires des anémies |
|
·
muscle de la jambe, qui va du tendon d'Achille sur le calcanéum au tibia et au péroné ·
l'un des principaux muscles de la marche |
|
(substance)
liquide qui peut dissoudre |
|
qui concerne
le corpps, qui est purement organique et physique |
|
qui se
rapporte au corps |
|
le fait de
rendre somatique un trouble psychique |
|
méthode de psychothérapie ( contestée par certains), d'origine espagnole,
utilisant l'hypnose |
|
(substance)
qui provoque le sommeil |
|
1)
respiration - 2) bruit anormal du coeur |
|
situé entre
l'arachnoïde et la pie-mère |
|
sous une
capsule |
|
sous la conjonctive |
|
sous la peau |
|
contraction, crampe |
|
dû à un spasme |
|
contre les
spasmes, les convulsions |
|
1) ce qui
est spastique - 2) hypertonie musculaire |
|
dû à un spasme |
|
phénomènes
d'évolution cellulaire (qui aboutissent à la formation des spermatozoïdes) |
|
(contraceptif) qui détruit les spermatozoïdes |
|
muscle qui
entoure un orifice |
|
de la colonne
vertébrale |
|
augmentation
du volume de la rate |
|
inflammation
d'une/de vertèbre (s) |
|
vaporisation |
|
expectoration |
|
couvert
d'écailles |
|
1) du
squelette - 2) très maigre |
|
nom
générique donné à des microcoques, avec des groupements en grappes, très
souvent pyogènes, agents de diverses infections (anthrax, furoncles) |
|
lenteur ou
arrêt de la circulation sanguine |
|
présence
excessive de matières grasses dans les selles |
|
surcharge en
lipides des cellules |
|
rétrécissement
|
|
1)
suppression de la possibilité d'avoir des enfants (chez un homme ou une
femme) - 2) élimination des microbes |
|
(hormone) ayant la structure d'un stérol |
|
(substance)
qui stimule (l'activité physique ou intellectuelle) |
|
appareil
électrique permettant grâce à des impulsions de régulariser le rythme des
pulsations cardiaques |
|
inflammation de la bouche |
|
relatif à
l'étude des maladies de la bouche et des dents |
|
ligne |
|
structural
(contr . fonctionnel) |
|
mi-chronique,
mi-aigu |
|
dont les
manifestations cliniques sont très atténuées |
|
que seul le
malade perçoit |
|
sous la langue
|
|
substance
destinée à compenser la diminution de volume du sang circulant |
|
sucre dédoublé par inversion |
|
mouvement de
rotation (muscles supinateurs) |
|
formation de
pus |
|
relatif à
une région du coeur située au-dessus des ventricules |
|
·
placé
au-dessus du rein ·
les glandes surrénales sont des glandes
endocrines situées au
sommet des reins qui produisent l'adrénaline |
|
relatif au
système nerveux autonome (en général) |
|
qui a des
effets similaires à ceux que l'on obtient en stimulant le système nerveux sympathique |
|
1) relatif
aux symptômes - 2) visant à supprimer les symptômes - 3) dû à un symptôme
particulier |
|
étude des
symptômes |
|
relatif à
l'aire de jonction entre deux neurones |
|
arrêt ou
ralentissement marqué des battements du coeur, avec suspension de la
respiration et perte de la conscience |
|
·
La maladie de Cushing affecte la glande surrénale
·
cette maladie, ou bien un traitement à la cortisone, peuvent provoquer le syndrôme de Cushing : excès de cortisone sanguin, obésité, épaississement du visage |
|
ensemble
bien défini de symptomes, qui ne permet pas de déterminer à lui seul la cause
et la nature de la maladie |
|
relatif à la
synergie |
|
relatif au
liquide humectant les articulations |
|
inflammation d'une synoviale |
|
relatif à la
circulation sanguine générale |
|
contraction
du coeur, se faisant séparément mais de façon isochrone pour chacune des
cavités |
|
relatif à la systole |
|
accélération
du rythme cardiaque |
|
1)
contractions cardiaques rapides (contre un poison) - 2) immunisation rapide |
|
battements
trop rapides du coeur |
|
épuisement de
l'effet thérapeutique |
|
·
1) partie du squelette du pied constituée par une double rangée d'os
courts située au-dessous de la jambe ·
2) cartilage tarse |
|
dépôt de phosphate de calcium qui s'attache au collet des dents |
|
nombre de
décès par an |
|
relatif au
tissu qui recouvre un organisme |
|
dilatation d'un vaisseau cutané |
|
qui a trait
aux tendons
|
|
inflammation d'un tendon |
|
organe
conjonctif, ficreux, blanc, qui prolonge un muscle jusqu'à son attache |
|
réunion des tendons terminaux des muscles jumeaux de la jambe et du muscle soléaire, qui s'insèrent sur la face postérieure du calcanéum |
|
tension
douloureuse associée à de faux besoins (urine/selles) |
|
inflammation d'un tendon et de son enveloppe synoviale |
|
qui abaisse
la tension superficielle du liquide |
|
qui provoque
des monstruosités |
|
relatif à
l'étude des monstruosités et des anomalies congénitales |
|
l'atopie est
une prédisposition congénitale à diverses allergies : asthme, rhinite, conjonctivite allergique, eczéma |
|
qui concerne
les testicules |
|
glande
productrice des spermatozoïdes, et ses enveloppes |
|
spasmes et
contractions musculaires |
|
maladie
grave (souvent fatale) du système nerveux central |
|
structure de
deux masses de tissu nerveux situés dans l'encéphale |
|
cure marine
mettant en oeuvre les bains d'eau, d'air et de soleil |
|
relatif au
traitement des maladies/pouvant guérir |
|
traitement |
|
mécanisme
régulateur de la température du corps |
|
du thorax |
|
désobstruction
d'un vaisseau par ablation chirurgicale du caillot qui l'oblitère |
|
·
enzyme qui apparaît dans le sang lors de la coagulation, par action de la thromboplastine sur la prothrombine
·
provoque
la coagulation du fibrinogène ·
utilisée
comme hémostatique |
|
·
la maladie de Buerger est une maladie rare qui touche les hommes de moins
de 40 ans grands fumeurs, caractérisée par une inflammation des artères et des veines ·
traitement par surrénalectomie avec sympathectomie, et utilisation de
vasodilatateurs et anticoagulants |
|
plaquette (s)
du sang |
|
diminution
du nombre de plaquettes du sang au-dessous de 150 000 par ml |
|
diminution
du nombre de thrombocytes ( dans le sang) |
|
présence
excessive de thrombocytes ( dans le sang) |
|
thrombose capable de se fragmenter pour créer des embolies ( occlusion d'un vaisseau sanguin, notamment d'une veine) |
|
·
résorption, spontanée ou provoquée, des caillots de sang dans les
vaisseaux ·
en thérapeutique, on utilise la streptokinase et l'urokinase |
|
qui dissout
un caillot de sang |
|
inflammation d'une veine (associée à une thrombose) |
|
·
formation d'un caillot de sang dans un vaisseau ou dans une des cavités
du coeur ·
se traite par les anticoagulants, la thrombolyse |
|
caillot de
sang |
|
plante utile
contre angine, arthrite, rhume, troubles de la circulation, allergies |
|
(médicament)
apte à diminuer les sécrétions de la thyroïde |
|
toute forme d'hyperthyroïdie |
|
degré |
|
aptitude de
l'organisme à supporter |
|
procédé
d'exploration radiologique |
|
1) relatif
au tonus musculaire - 2) qui stimule, fortifie |
|
inflammation des amygdales |
|
concrétion
de cristaux d'acide urique
|
|
à usage
externe et local |
|
forme de fibrillation ventriculaire |
|
douleur,
gêne provenant d'une position pénible du cou |
|
présence de
toxines dans le sang |
|
qualité
d'une substance qui peut empoisonner un organisme vivant |
|
relatif à la
connaissance des poisons |
|
substance toxique |
|
(qui agit
comme un) poison |
|
maladie
causée par les toxoplasmes |
|
inflammation de la trachée, habituellement liée à la laryngite ou à la bronchite
|
|
infection
chronique de la conjonctive et de la cornée
|
|
ensemble de
filaments, faisceaux de fibres qui se font suite |
|
enzyme qui transporte les groupements aminés vers d'autres
corps |
|
à travers la
peau |
|
passager |
|
passage des
aliments à travers l'appareil digestif
|
|
hérédité/contagion
|
|
à travers
l'urètre |
|
résultant d'un
traumatisme |
|
tremblement
apparaissant au cours d'un mouvement volontaire |
|
tremblement |
|
comportant
trois cycles |
|
contraction
intense des mâchoires |
|
dont la
valence est égale à 3 (chim.) |
|
fin canal
qui relie l'oreille moyenne avec les fosses nasales |
|
qui se
rapporte à la nutrition des organes et des tissus |
|
1) relatif à
un tubercule - 2) personne atteinte de tuberculose |
|
(médicament)
actif contre la tuberculose |
|
en forme de
tube |
|
augmentation
de volume d'une partie du corps pour une raison pathologique et sans qu'il y ait production de nouvelles cellules |
|
qui produit
un ulcère ( idem ulcérogène) |
|
formation d'un
ulcère |
|
ulcère dû à l'ablation (partielle/totale) de l'estomac |
|
perte de
substance par une plaie cutanée, qui a tendance à ne pas cicatriser |
|
qui
n'affecte qu'un côté (du corps ou d'un organe) |
|
excès d'urée, dû à une insuffisance rénale grave |
|
conduit situé
entre le rein et la vessie |
|
inflammation de la muqueuse de l'urètre |
|
(médicament)
qui favorise l'élimination urinaire de l'acide urique
|
|
relatif à
l'urine |
|
radiographie
de l'appareil urinaire |
|
éruption passagère rosée ou rouge, accompagnée d'une sensation
de brûlure |
|
inflammation de l'uvée |
|
réaction
cutanée au vaccin antivariolique |
|
relatif au
nerf vague/dû au - |
|
du vagin |
|
qui inhibe
le nerf vague |
|
hyperexcitabilité
du nerf vague |
|
validité |
|
repli (s)
aux orifices du coeur |
|
maladie
infectieuse, contagieuse, avec éruption en plusieurs poussées |
|
dilatation permanente d'un vaisseau, notamment d'une veine |
|
relatif aux
vaisseaux sanguins |
|
inflammation des vaisseaux sanguins |
|
diminution
du calibre des vaisseaux |
|
augmentation
du calibre des vaisseaux |
|
pouvant
provoquer une modification du calibre des vaisseaux |
|
(médicament)
qui fait augmenter la pression sanguine |
|
hormone
antidiurétique, sécrétée par l'hypophyse, qui maintient constante la
quantité d'eau dans le corps |
|
des veines |
|
dû aux
rapports sexuels |
|
du
ventre/sur le ventre |
|
qui se
rapporte à un ventricule |
|
d'une/ des
vertèbres |
|
technique de
manipulation des corps osseux de la colonne vertébrale, qui consiste à
manoeuvrer les vertèbres avec les mains |
|
qui se
rapporte à la vésicule (biliaire) |
|
qui se
rapporte au vestibule (de l'oreille interne) |
|
provoqué par
un virus |
|
apparition
chez la femme de caractères sexuels secondaires propres à l'homme |
|
des viscères |
|
état de ce
qui est visqueux |
|
relatif à la
vulve |
|
inflammation de la vulve et du vagin |
|
dépôt de cholestérol |
|
trouble de la
vision |
|
sécheresse de
la conjonctive |
|
sécheresse de
la bouche |
|
gymnastique
provenant des Indes, dont l'objectif
est de discipliner
l'organisme par un bon contrôle du corps, de l'équilibre, l'harmonie, la
détente et le psychisme |
|
affection
caractérisée par une éruption des vésicules disposées sur le trajet des nerfs
sensitifs |
1.1. Règle générale: La négative se forme en introduisant les particules NE, avant le verbe, et PAS, après le verbe (NE + VERBE + PAS):
Affirmative => "Il va assister au
concours."
Négative => "Il ne va pas assister au
concours."
MAIS si
on a un temps composé (Passé composé; plus-que-parfait;
etc.; tous les temps passifs), la négation incide sur l'
auxiliaire (NE + AUXILIAIRE + PAS + VP):
Affirmative: "Ils sont allés au
Carrefour."
Négative:
"Ils ne sont pas allés au Carrefour."
Affirmative:
"Les oranges ont été mangées par lui." (Passive)
Négative: "Les oranges n' ont pas été mangées par lui." (Passive)
La
négation avec POINT est plus forte que celle de NE... PAS (son sens sera équivalent à celui de
la négation avec NE... PLUS. En portugais pourra se traduire par "nada"):
Votre taux de
chollestérol est assez élevé: point de frites, point de graisses, point d' oeufs, point d' alcool.
·
1.2. S' il s' agit de la négation d' une alternative (disjonction),
on a NE... NI... NI... , au lieu de NE...
PAS:
Affirmative: "Prends-tu du café ou du
lait?"(Type Interrogatif)
Négative: "Je ne prends ni café ni lait."(Type
déclaratif)
·
MAIS on dit:
NI Jean NI Pierre ne sont à la maison.
1.3. DES
CAS PARTICULIERS:
Si on utilise une particule qui indique déjà une
négation __ total ou partielle __ le PAS disparaît et
donne lieu à d' autres particules (ou constructions) négatives:
1.3.1.
NE... JAMAIS (apparaît
aussi comme antonyme de souvent, toujours, déjà...). Ce type de négation indique
que l' action n' existe à aucun moment.
Tu as dit ça?
Non, je ne dirais jamais ça.
Tu as dejà vu
un O. V. N. I. ?
Non, je n' en ai jamais vu.
Tu vas souvent à l' opéra?
Non, je n' y suis jamais allé.
1.3.2. PAS ENCORE et NE... PAS ENCORE:
"Tu es déjà allé
à Paris?" R: "PAS ENCORE". ou
"Non, je n' y
suis PAS ENCORE allé."
"As-tu déjà décidé où aller passer ces
vacances?" R: "Je n' ai PAS ENCORE décidé où
j' irai paser ces vacances."
1.3.3. NE... PLUS (apparaît
comme antonyme de encore). Cette négation indique que l'
action a cessé d' exister.
Tu as encore mal à la tête?
Non, je n' en
ai plus.
Il parle encore?
Non, il ne parle plus.
Il est venu du
travail. Alors il ne travaille plus.
NE... PLUS donne lieu à NON PLUS quand on
réitérer un sens négatif [en portugais a le sens de "também não"]:
"As-tu encore
de l' argent?" __ R1: "Non, je n' ai plus d' argent."
__ R2: "Moi non plus."
"A-t-elle encore
la patience de répéter?" __ R1: "Non, elle n' a plus de patience...
Et nous non plus."
1.3.4. NE... GUÈRE (négation partielle: en portugais a le sens de
"mal", "não muito", "muito pouco")
Tu connais bien la
France?
Non, je ne la connais guère.
Tu aimes beaucoup faire la cuisine?
Non, je n' aime guère la faire.
1.3.5. NE... PERSONNE ou PERSONNE... NE (apparaît comme antonyme de quelqu' un, les personnes, les gens, etc.):
Tu es allé chez
tes oncles?
Oui, mais je n' y ai trouvé personne.
Quelqu' un t' a aider pour ce travail?
Non, personne ne m'
a aidé.
Tu connais ces persponnes-là?
Non, je n' y connais personne.
MAIS
quand PERSONNE occupe la
fonction de SUJET, la particule NE vient immédiatement
après cet indéfini:
PERSONNE ne m' a aidé
Il n' aime
PERSONNE... et PERSONNE ne l' aime.
1.3.6. NE... RIEN (apparaît comme antonyme de quelque chose, tout...):
Tu bois une
bière?
Non, je ne bois rien.
Tu as
mangé?
Non je n' ai rien mangé.
Tu prends quelque chose?
Non, je ne prends rien.
MAIS
dans les cas où RIEN occupe
la fonction de SUJET (à exemple de ce qui se passe avec
PERSONNE), la particule NE vient immédiatement après cet indéfini:
RIEN ne vaut une belle nuit de sommeil.
RIEN ne m' empêchera d' atteindre ce que je
veux.
1.3.7. NE.... QUE (Négative restrictive. Fonctionne comme équivalente de l' adverbe seulement):
Il y a seulement trois ans." => "Il n' a que trois ans."
Vous avez seulement deux minutes pour finir votre
travail." => "Vous n' avez que trois minutes
pour finir votre travail.
1.3.8. NE... PAS DU TOUT ou PAS DU TOUT (correspond
à une gradation de l' intensité de la négation):
"Je n' aime pas du tout les
fèves. (Não gosto nada de favas)
"Je ne me suis pas du tout reposé
pendant les vacances. (Não descansei nada durante as férias)
Il ne travaille pas du tout, quand tu es là. (Ele
não trabalha nada, quando tu cá estás.)
"Tu aimes
ça?" " __ Pas du tout." (=> Je n' aime pas du tout ça.)
1.3.9. NE... AUCUN / AUCUNE
"__ Tu as
mangé des pommes?"
" __ Non, je n' ai mangé aucune."
MAIS
dans les cas où AUCUN / AUCUNE occupe la fonction de SUJET (à exemple de
ce qui se passe avec PERSONNE et RIEN), la particule NE viendra après cet
indéfini:
AUCUN d' entre nous n' ira en vacances.
AUCUN de ses amis n' est venu le
visiter.
NE...
AUCUN peut aussi être remplacé par NE... NUL
Je n' attends AUCUN ami. => Je n' attends NUL ami.
1.4. Le NE comme particule EXPLETIVE (le NE expletif sert à peine à renforcer le sens de la
phrase):
Je crains qu' il NE fasse des
bêtises. [après des verbes
qui indiquet DOUTE ou SOUCI]
Je ne ferai rien à moins que tu NE le
dises. [après À MOINS QUE __ facultatif]
Ne sortez pas sans que vous N' ayez
rangé votre chambre. [après SANS QUE __ facultatif]
Pense, avant
que tu NE dises de bêtises. [après AVANT QUE __
facultatif]
Il joue du piano mieux qu' il NE chante. [phrase comparative]
D' autres cas d' OMISSION de PAS:
1.5.1. Dans des phrases telles que:
"Qui ne le
comprendrait?"
"Qui ne le croirait?"
1.5.2. Dans des structures telles que:
"Je ne sais comment résoudre ce problème."
"Il ne savait à qui s' adresser."
"Il ne saura quoi faire."
1.5.3. Avec les verbes POUVOIR, CESSER DE, OSER, suivis d' un INFINITIF:
"Je n' ose lui dire ce
que j' ai fait."
"Je ne puis vous rendre vos
affaires."
"Il ne cesse de parler, le bavard!"
TABLEAU-SYNTHÈSE SUR LA NÉGATION |
||
PARTICULES NÉGATIVES |
AFFIRMATIVE |
NÉGAIVE |
NE... PAS |
Ils mangent du pain. Ils l' ont vu. |
Ils ne mangent pas de pain. Ils ne l'
ont pas vu. |
NE... JAMAIS |
Elles vont souvent au cinéma. Il
parle encore. |
Elles ne vont jamais au cinéma. Il ne parle plus. |
NE... PLUS |
Vous
y serez toujours. |
Vous n' y
serez plus. |
NE... PERSONNE (Objet) |
J'
ai vu mes camarades / quelqu'
un. |
Je n' ai vu personne. |
PERSONNE NE (Sujet) |
Tout
le monde marche. |
Personne ne marche. |
NE... RIEN (Objet) |
J'
entends quelque chose. |
Je n' entends rien. |
RIEN NE (Sujet) |
Tout
est arrivé. |
Rien n' est
arrivé. |
NE... AUCUN (Objet) |
J'
ai reconnu quelques-uns. |
Je n' ai reconnu aucun. |
AUCUN NE (Sujet) |
Quelqu'
un est là. |
Aucun n' est
là. |
NE... NI... NE... NI... NI NI... NI... NE |
Elle a dansé et chanté Lui et ses frères, ils sont venus. Ils ont répondu, les uns
et les autres. |
Elle n' a dansé ni chanté Ni lui ni ses fr*ères ne sont venus. Ils n' ont
répondu ni les uns ni les autres. |
Réponses
Négatives Courtes: quelques exemples |
|||
AFFIRMATIVE |
NÉGATIVE |
AFFIRMATIVE |
NÉGATIVE |
C'
est ennuyeux? |
Non, pas du tout. Absolument pas. |
Voulez-vous encore du gâteau? |
Merci, plus du gâteau. |
Je vous ai fait mal? |
Non, ce n' est rien. |
Voulez-vous
une cigarette? |
Non, merci. |
Il
y a encore du lait? |
Non, plus du tout. |
Tu
veux du dessert? |
Non, merci, pas de dessert. |
2.1. Voyons ce qui se passe dans le passage
de l' ACTIVE Á la PASSIVE:
PHRASE ACTIVE |
PHRASE PASSIVE |
||
La
poussière noircit les maisons. |
=> Les maisons sont noicies par la poussière. |
||
AU NIVEAU FONCTIONNEL, ON CONSTATE QUE: |
|||
PHRASE ACTIVE |
PHRASE PASSIVE |
||
Sujet <=> |
"La poussière" |
"par la poussière" |
<=> Complément d' Agent |
Prédicat <=> |
Présent
Actif: "noircit" |
Présent
Passif: "sont noircies" |
<=> Prédicat |
Compl.
d' Obj. Dir. <=> |
"les maisons" |
"les maisons" |
<=> Sujet |
·
2.2. LES CHANGEMENTS
ENTRE L' ACTIVE ET LA PASSIVE:
2.2.1. TRANSFORMATIONS AU NIVEAU DES SYNTAGMES
NOMINAUX: |
|
ACTIVE |
PASSIVE |
Le SUJET de l' active "Un agent l' accompagnait." "Un mur entoure la propriété. |
occupe à la
passive la fonction de COMPLÉMENT D' AGENT. Celui-ci est habituellement introduit par la
préposition PAR. Cependant, avec certains verbes passifs, on peut avoir la préposition DE. "Il
était accompagné d' un agent." "La
propriété est entourée d' un mur." |
Le COMPLÉMENT D' OBJET DIRECT de l' active: "Nous avons bu une bière." |
occupe à la
passive la fonction de SUJET: "Une bière a été bue par nous." |
·
2.2.2. LES TRANSFORMATIONS AU NIVEAU DU SYNTAGME
VERBAL: |
||
TEMPS VERBAL |
ACTIVE |
PASSIVE |
Indicatif Présent: |
"Le train écrase une
voiture." |
Une voiture est écrasée par le train. |
Indicatif Imparfait: |
"Le
train écraisait une
voiture." |
"Une
voiture était écrasée par le train." |
Passé composé |
"Le
train a écrasé une
voiture." |
"Une
voiture a été écrasée par le train." |
Passé simple: |
"Le
train écrasa des
voiture." |
"Des voitures furent écrasées par le train." |
Futur simple: |
"Le
train écrasera une
voiture." |
"Une
voiture sera écrasée par le train." |
Conditionnel Présent: |
"Le
train écraserait la
moto..." |
"La
moto serait écrasée par le train..." |
Futur antérieur: |
"Le
train aura écrasé une
voiture." |
"Une
voiture aura été écrasée par le train." |
NOTE: Il faut faire attention à la
correspondance des verbes entre l' active et la passive, et, dans celle-ci,
aux accords avec le PARTICIPE
PASSÈ: La
voix passive, ayant comme auxiliaire le verbe ÊTRE, exige l' accord du
PARTICIPE PASSÉ avec le SUJET, en genre et un nombre. |
·
2.2.3. QUELQUES REMARQUES SUR LA CORRESPONDANCE
PRONOMINALE |
|||
2.2.3.1. Le complément d' objet direct est un pronom personnel: |
|||
C.
O. D. de l' ACTIVE |
SUJET de la PASSIVE |
||
Me
................................> Te
.................................> Le
/ la / l' ....................> Nous..........................> Vous
...........................> Les
.............................> |
Je Tu Il
ou Elle Nous Vous Ils
ou Elles |
||
"Il m' a vu
hier." |
"J' ai
été vu par lui hier." |
||
2.2.3.2. Si
le complément d' objet direct est le pronom relatif QUE, à la
passve il prendra la forme du sujet QUI: |
|||
ACTIVE |
PASSIVE |
||
QUE __ C. O. D.: |
QUI __ SUJET: |
||
"Je connais les chansons QU' il chante." "Voilà la maison QU' ils ont
achetée." |
"Je connais les chansons QUI sont chantées par lui." "La
maison QUI a été achetée
par eux c' est celle-là." |
||
2.2.3.3. Le COMPLÉMENT D' AGENT est
habituellement introduit par PAR. Mais il apparaît aussi la
préposition DE: |
|||
3.1. Soit
quand la phrase exprime un état de choses: |
3.2. Soit quand l'
agent est une idée, une chose abstraite: |
||
"Il est aimé de ses
supérieurs"; "Elle
était accompagné de son
mari."; "La
route est bordée de fleurs." |
"Il
se sentit saisi de peur."; "N' êtes-vous pas frappé de stupeur." |
C. TYPES DE PHRASE: INTERROGATIVE et EXCLAMATIVE
1.1. INTERROGATIVE PAR INTONATION __ Une phrase déclarative peut se transformer dans une INTERROGATIVE par le
simple changement de l' INTONATION:
"Il a bien travallé."
[déclarative] => "Il a bien
travaillé?" [interrogative]
"On frappe à la porte."
[déclarative] => "On frappe à
la porte?" [interrogative]
1.2. INTERROGATIVE PAR INVERSION DU SUJET __ à la simple INTONATION on ajoute L' INVERSION DU SUJET:
"Elle aime jouer du piano."
[déclarative] => "Aime-t-elle jouer du piano?"
[interrogative]
Michel viendra ce matin. [déclarative] => "Michel viendra-t-il ce matin?" [interrogative]
Le verbe varie en mode, en voix, en personne, en nombre (voir personne grammaticale), et en temps.
On appelle "temps du verbe" les formes par lesquelles
le verbe situe l'action sur la ligne du temps, passé - présent - futur. Cette
précision temporelle est donnée, soit par rapport au moment de l'écriture ou de
la parole, soit par rapport à une indication de contexte (hier, la semaine
prochaine, etc.), soit par rapport à un autre verbe de la phrase. On parle
parfois de temps
absolu quand l'action est datée par rapport au moment de la
parole et de temps
relatif lorsqu'elle est datée par rapport à un autre événement.
Chaque mode possède plusieurs temps. Le gérondif n'en a qu'un,
tandis que l' indicatif, le
plus riche, en compte huit.
L'indicatif, par exemple, peut être au : présent, passé composé, imparfait, passé simple, plus-que-parfait, futur simple, passé antérieur, futur antérieur.
L'impératif,
uniquement au présent et au passé.
Tous ces
temps donnent lieu à des entrées particulières où ils sont présentés et
commentés. Vous pouvez vous y rendre en cas de besoin.
On distingue
les temps simples, formés du verbe seul - radical et désinence (Il chante, il chantait, il chantera, etc.),
les temps composés formés du verbe au participe passé et d'un auxiliaire au temps simple (Il a chanté, il avait chanté, il
eut chanté, etc.), les temps surcomposés (rares) formés d'un auxiliaire à un temps composé et du verbe au participe passé (Il a eu chanté, il avait eu
chanté, il aurait eu chanté).
Les verbes se
divisent en trois grands groupes de conjugaison selon la finale qu'ils
présentent à l' infinitif et au participe présent.
1er
groupe = "er" sur le modèle de aimer.
2e
groupe = "ir" sur le modèle de finir.
3e
groupe = tous les autres verbes "oir", "re", le verbe
"aller, et les "ir" sur le modèle de "sentir".
Le 1er groupe
compte 90% des verbes existant en français, la conjugaison de ce groupe est régulière (sans exceptions). La grande majorité
des verbes nouveaux (radiographier, atomiser, etc.) sont créés sur le
modèle de "aimer", 1er groupe.
Le second
groupe comprend quelque trois cents verbes qui sont de type régulier. Sur le modèle de "finir", participe présent en "-issant" et indicatif présent en "-is".
Le 3e groupe
comprend en plus de "aller", une trentaine de verbes en "ir" sur le modèle de "sentir", dont le participe présent se termine en "-ant", une trentaine en "-oir" (recevoir), et une
centaine en "-re". C'est le groupe des exceptions et des
verbes irréguliers.
Le verbe est le mot essentiel de la langue. Il varie en mode, en temps, en voix, en personne (voir personnes grammaticales) et en
nombre. Au participe passé il varie parfois en genre.
Une description complète du verbe doit prendre en compte
tous ces éléments.
On distingue
en premier les verbes d'action
et les verbes d'état. Un verbe
d'action exprime une action faite ou subie par le sujet (Il lance une
pierre. Il réfléchit. L'arbre est découpé.). Un verbe d'état (sembler,
paraître, devenir rester, demeurer, etc.) exprime un état du sujet (Il
semble triste).
Le verbe d'action peut se présenter sous deux (trois)
aspects, selon la position du sujet par rapport à l'action que décrit le verbe,
c'est ce que l'on appelle ses voix. Il est à la voix active si le sujet
fait l'action (Pierre construit une maison), il est à la voix passive si le
sujet subit l'action (Une maison est construite par Pierre). Certains
grammairiens considèrent le verbe pronominal comme une voix moyenne.
Certains verbes n'existent qu'à la forme (ou voix) pronominale (se souvenir,
s'écrier, s'abstenir, etc.).
Après avoir cerné sa voix il faut préciser le sens du
verbe. Pour un verbe d'action on dira s'il est transitif ou intransitif (les verbes d'état ne sont pas transitifs, ils ont pour rôle de relier l' attribut au sujet, ce sont des verbes attributifs). Pour un verbe pronominal il faudra préciser ses divers sens possibles " réfléchi, réciproque, passif, subjectif" voir pronominal.
Quelle que
soit sa voix un verbe à sept modes possibles " indicatif, conditionnel, impératif, subjonctif, infinitif, participe, gérondif". Voir modes ou directement un des modes.
Après avoir
défini le mode, il faut préciser le temps ( présent, imparfait, futur, passé, plus-que-parfait). Voir temps (du verbe) ou directement un de ces temps.
Les personnes et le nombre : première personne, deuxième,
etc. Voir personnes grammaticales.
Le modèle de conjugaison. Voir conjugaison. Les tournure
ou forme du verbe, on distingue les tours : affirmatif, interrogatif, interro-négatif
(Il mange. Mange-t-il? Ne mangera-t-il pas?). Voir interrogative, négation.
La construction peut être personnelle ou impersonnelle. Certains verbes sont essentiellement
impersonnels (les verbes décrivant des phénomènes météorologiques + il faut, il s'agit, il appert). De nombreux autres peuvent se
construire des deux manières (Un accident m'est arrivé, Il m'est arrivé un
accident). Voir impersonnels.
Le mot du jour :
Croisée (adjectif féminin singulier)
1.
formant une croix
2.
entrecroisée pour un tissue
3.
qui converge mais en provenant de
différentes directions
4.
résultant du croisement de deux espèces animals
5.
(nom féminin singulier)
6.
point de rencontre de voies de communication
7.
châssis de fenêtre, fenêtre elle-même.
8.
en histoire, femme participant à une croisade
9.
par extension, femme menant une campagne acharnée pour une idée, une
cause
Présent
Le présent, comme son nom l'indique, exprime un temps. Sur la ligne du temps passé -
présent - futur, le présent indique que l'action qu'exprime le verbe est en
train de se dérouler (Il mange en ce moment).
Selon le mode : doute, interdit, éventualité,
réalité, on utilisera le présent de l'indicatif, du subjonctif, du
conditionnel, de l'impératif, etc. (voir modes).
Au sens strict, le présent indique que le fait a lieu au
moment même de l'écrit ou de la parole. Mais celui qui parle, celui qui écrit,
peut se projeter n'importe où sur la ligne du temps, il peut étendre l'instant
de la parole et le faire déborder en arrière sur le passé, en avant sur
l'avenir. Le présent, dans ces emplois particuliers, peut alors exprimer diverses
nuances :
- une action habituelle - présent d'habitude : Il
travaille le soir ;
- un fait passé - présent de narration : Alexandre le
Grand se dirige alors vers l'Orient ;
- une vérité générale : Le soleil se lève à l'Est;
- un fait futur après "si" conditionnel : Si
tu parles le groupe est perdu ;
- un fait futur présenté comme
certain :
Un mot de plus, je sors! ;
- un fait qui déborde légèrement soit dans le passé, soit
dans le futur : Il nous quitte à l'instant. Il revient tout de suite.
Sur la droite du temps le verbe peut indiquer que l'action qui
se passe au moment de la parole se déroule dans le passé, le présent ou le futur.
Cette précision temporelle est donnée, soit par rapport
au moment de l'écriture ou de la parole, soit par rapport à une indication de
contexte (hier, la semaine prochaine, etc.), soit par rapport à un autre
verbe de la phrase. On parle parfois de temps absolu quand l'action est datée par rapport au
moment de la parole et de temps relatif lorsqu'elle est datée par
rapport à un autre événement.
Les temps du
passé sont :
- imparfait (je mettais) : indique un fait se déroulant dans le passé mais
n'offrant d'intérêt ni par son origine, ni par sa fin (voir aussi, plus
précisément, imparfait);
- passé simple (je mis) : exprime un fait entièrement achevé dans le passé;
- passé composé (ou passé indéfini) (j'ai mis) : exprime un fait entièrement achevé dans le passé mais
pouvant avoir, avec le moment où l'on parle, quelques relations;
- plus-que-parfait (j'avais mis)
: exprime
un fait achevé par rapport à un autre fait lui aussi passé;
- passé antérieur (j'eus mis): exprime un fait
accompli, soit par rapport à un autre fait passé, soit par rapport à un
complément de temps situant une marque dans le passé (la semaine dernière,
hier...).
Le futur, comme son nom l'indique, exprime un temps. Sur la ligne du temps : passé - présent - futur, le
futur indique que l'action qu'exprime le verbe se déroulera plus tard (Il
mangera tout à l'heure).
Le futur appartient au mode indicatif, celui-ci est
le mode du fait, de la certitude, de la déclaration, du jugement, de la
croyance, etc. A l'intérieur de ce mode, le futur indique diverses
situations par rapport au temps de l'action.
1.
le futur simple (Nous paierons. Vous apprécierez)
indique un fait à venir au moment de la parole (La semaine prochaine nous
partirons en congé).
Il s'utilise parfois à la place de l' impératif qui lui aussi
concerne le futur (Sortez! Vous voudrez bien sortir.).
On l'emploie à la place du présent de l'indicatif
pour atténuer l'expression (Je vous demande de régler votre dette. Je vous
demanderai de régler votre dette).
2.
le futur antérieur : indique qu'une action sera passée
lorsqu'une seconde arrivera (Dès que tu auras fini, nous partirons) ou
qu'une action sera passée dans le futur (A ce moment-là, il aura fait des
progrès). Il s'utilise aussi pour atténuer l'expression ou pour indiquer,
dans un renversement de temps, le caractère pittoresque, exceptionnel, d'un
fait déjà accompli (C'est impossible ! Vous aurez mal compris. Nous sommes
perdus, c'est le concierge qui nous aura vendus).
Le plus-que-parfait est un temps du mode indicatif et du mode subjonctif. Le
plus-que-parfait indique un fait passé (c'est donc un temps du passé), ce fait
est antérieur à un
autre fait, passé lui aussi. Peu importe le délai écoulé entre les deux faits.
Dès l'ouverture de la porte nous
avions compris.
Dès l'année 1968, cela fait maintenant près de
trente ans, nous avions compris.
Lorsque le
fait au plus-que-parfait est en rapport avec un fait décrit par un second
verbe, celui-ci est à l' imparfait, au passé simple, ou au passé composé.
Il venait une bonne odeur de
soupe car la maîtresse de maison avait commencé le repas.
Il crut que nous étions d'accord
car nous avions souri à ses propositions.
Le
plus-que-parfait s'utilise parfois dans une volonté d'atténuation en rejetant
dans le passé un fait présent.
On sonne. J'ouvre la porte, et
vois Pierre qui me dit : "j'étais venu vous rappeler votre promesse".
Après un "si" conditionnel, on emploie
obligatoirement le plus-que-parfait si le fait est dans le passé.
Si tu m'avais prévenu, je ne
serais pas parti.
Remarquez que le verbe de la principale est au passé du
conditionnel.
Le plus-que-parfait a un temps surcomposé, peu employé,
et la plupart du temps, uniquement si le verbe de la principale est lui-même au
plus-que-parfait.
S'il lui avait eu fait visiter un
lieu qu'il connaissait, il lui aurait dit.
L'imparfait est parfois dit "le présent du
passé". Il exprime une action en cours
dans le passé, au moment où une autre action, elle aussi passée, se produit. L'imparfait ne
décrit ni le début, ni la fin de l'action en cours (Comme j'arrivais,
j'entendis un grand bruit).
Il peut
exprimer des nuances très proches du présent de l' indicatif :
-
une action située à un moment précis du passé - imparfait narratif (En mars
1871, Paris était en flammes);
-
une action qui dure - dans le passé (Le vent soufflait et emportait les nuages);
-
une action habituelle - imparfait d'habitude (Le colonel soupait à 8 heures et
partait rendre visite à Mme Lupin);
-
un futur proche d'un passé (Nous avons appris que tu partais demain).
D'autres
nuances résultent du contexte (un fait possible, une supposition, etc.).
L'imparfait s'emploie très souvent pour atténuer une demande ou pour marquer la
politesse (Je voulais vous demander...Vous désiriez...).
On appelle
"voix" les formes que prend le verbe pour exprimer le rôle du sujet dans l'action. On distingue traditionnellement la voix passive et la voix active. (Certains grammairiens considèrent
le verbe pronominal comme une voix moyenne, d'autres le considèrent comme un
cas particulier de la voix
active). Voir pronominal.
Dans la voix active, le sujet fait l'action (Pierre mange du pain). Dans
la voix passive, le sujet subit l'action (Le pain est mangé
par Pierre).
La voix passive et la voix active représentent donc des types de
constructions. On peut, lorsque le verbe est transitif direct, exprimer les mêmes idées en utilisant l'une
ou l'autre voix.
Le
maçon construit la maison.
La
maison est construite par le maçon.
Comme on le
remarque, les mêmes mots dans la phrase n'ont pas les mêmes fonctions. Le groupe nominal "le maçon", sujet
dans la voix active, est devenu complément d'agent dans la voix passive. Le groupe "la maison", COD dans la voix active, est maintenant sujet. Le verbe aussi a changé de forme, il est maintenant
à une forme composée.
La transformation passive peut servir (la plupart du
temps mais, hélas, pas toujours) à définir si un verbe est transitif direct. Seuls les verbes transitifs directs
acceptent la transformation passive (exceptions : obéir, désobéir, pardonner). Elle permet
parfois de trouver le complément d'objet
direct. Le complément d'objet direct du verbe
actif devient le sujet du verbe passif.
Les modes
représentent la manière dont l'action exprimée par le verbe est conçue et présentée. L'action peut être mise en doute,
affirmée comme réelle, éventuelle, etc.
Quelle que
soit sa voix ( active, passive ou pronominale) un verbe a sept modes possibles.
- l' indicatif présente
l'action comme réelle;
- le conditionnel présente
l'action comme éventuelle;
- l' impératif présente
l'action comme un ordre;
-
le subjonctif présente l'action comme désirée, envisagée ou
douteuse;
- l' infinitif dit, sans plus, ce qu'est cette action;
-
le participe exprime l'action
comme le ferait un adjectif;
-
le gérondif indique une
circonstance (c'est la forme adverbiale du verbe).
L'indicatif, le conditionnel, l'impératif et le
subjonctif sont des modes
personnels, c'est-à-dire qu'ils admettent la distinction des personnes grammaticales (je,
tu, les hommes...).
L'infinitif, le participe et le gérondif sont des modes impersonnels qui
n'admettent pas la distinction des personnes grammaticales.
Pour le mode du verbe dans la proposition subordonnée, voir locutions conjonctives et mode.
Le conditionnel est un mode du verbe, c'est une façon de
concevoir et de présenter l'action. Le conditionnel présente l'action (au sens large) qu'indique le verbe, comme éventuelle ou dépendante d'une condition - exprimée ou non.
Il viendrait si nous l'invitions.
Il mangerait trop.
Il peut marquer :
- un fait
futur et possible à certaines conditions.
(S'il me le demandait, j'irais);
- un fait présent ou même passé qui ne s'est pas réalisé.
(S'il était grand il
serait plus fort que toi).
En dehors des
cas d'emploi stricts, on utilise souvent le conditionnel pour atténuer une affirmation (Je voudrais encore un peu de
café. Il y aurait eu une crise importante dans le groupe). Il
exprime parfois l'indignation
ou l'étonnement (Quoi ! Vous vous dédiriez pour si
peu!). Il indique encore un fait imaginaire, à la manière
des enfants (Tu serais le gendarme et moi je serais le voleur).
L'impératif
est le mode des phrases injonctives, il exprime l'ordre (tour affirmatif : Fuyez!)
ou la défense (tour négatif : Ne bougez pas).
C'est le plus
pauvre des quatre modes personnels : il n'a que trois personnes grammaticales et pas de pronom sujet (2e du singulier : mange, 1re
du pluriel : mangeons, 2e du pluriel : mangez).
L'impératif
n'a que deux temps : présent (temps simple : cours, courons,
courez), passé (temps composé, très limité d'emploi
: aie couru, ayons couru, ayez couru).
Des trois voix : active, passive, pronominale, seule la voix active accepte le temps du
passé.
Certains
verbes sont défectifs à l'impératif (pouvoir, devoir).
Notez que la
1re personne du pluriel peut signifier une 2e personne du singulier (politesse)
ou du pluriel (plusieurs personnes) et même une 1re du singulier si le
scripteur s'exhorte lui-même (Allons, dépêchons mon ami. Allons, dépêchons
jeunes gens. Allons-y!). Voir personnes grammaticales.
Les verbes du 1er groupe forment la 2e personne de
l'impératif présent en "e" (mange, saute, chante). Les
verbes des 2e et 3e groupe forment la 2e personne en "s" (finis,
cours, bois). Voir conjugaison. Les exceptions suivantes provoquent parfois des
erreurs :
L'infinitif est souvent appelé la forme nominale du
verbe. C'est la forme la plus simple de l'expression verbale ; avec le participe et le gérondif, il est l'un
des trois modes dits impersonnels. Il ne porte ni l'indication de nombre ni l'indication de personne (manger,
boire, danser, dormir)
1.
Infinitif comme nom : il peut avoir toutes les fonctions du nom.
2.
Infinitif comme verbe : il peut conserver toute sa valeur de
verbe et être le noyau d'une proposition, celle-ci est
alors dite infinitive (Il
ne sait pas où passer la soirée). Mais on peut aussi le trouver comme noyau
d'une principale.
Dans
une proposition principale (ou indépendante) il exprime :
- l'ordre ou la défense, il est alors
proche de l' impératif (Ne
rien jeter par la fenêtre);
- l' interrogation ou l' exclamation (Que faire ?);
- l'affirmation (Et les enfants de pleurer).
Dans une subordonnée, complétive ou relative, il est la plupart du temps en position de complément d'objet (Il écoute son fils jouer du piano). Il faut
pour cela que l'infinitif ait son sujet propre.
Quelle que soit sa voix (active, passive, pronominale), un
verbe a sept modes possibles (voir modes). le subjonctif est
essentiellement le mode de la subordination, de l'indécision, du doute, du fait
pensé. C'est aussi le mode le plus délicat d'emploi.
Il a quatre temps qui vont deux par deux : présent
et passé, imparfait et plus-que-parfait.
- le présent exprime aussi bien le futur (Je veux que
tu écrives la préface au mois de mars de l'année prochaine).
- le passé exprime l'antériorité par rapport au
moment actuel (Je veux qu'il ait connu le second personnage au moment où il
abandonne son travail).
- le plus-que-parfait exprime l'antériorité par
rapport à l'imparfait (Je voulais que tu eusses connu mon enfance).
Le subjonctif se rencontre en proposition principale ou indépendante, il exprime un ordre ou une
défense (Qu'il sorte! Qu'il ne touche pas mes livres.), un
souhait (Puissiez-vous prendre la bonne décision), une
supposition (Qu'il ait la santé et nous pourrons compter sur lui), une
concession (Qu'il ne l'ait pas fait exprès, voilà qui ne nous avance
guère).
En proposition subordonnée le subjonctif s'emploie après des verbes
de forme impersonnelle marquant la nécessité, le doute, le désir, etc. Après
"que" introduisant une subordonnée complément d'objet mise en
tête de la phrase. Après des verbes d'opinion, de déclaration, de perception
quand le fait est simplement envisagé. Dans de nombreuses subordonnées circonstancielles.
Cet usage du subjonctif est traité
sous diverses entrées et nous vous conseillons de lire, en cas de besoin, locutions conjonctives et mode, "que" indicatif ou
subjonctif, ainsi que la concordance des temps.
Quelle que
soit sa voix (active, passive, pronominale) un
verbe a sept modes possibles (voir modes). L'indicatif
est essentiellement le mode du réel. Il s'emploie dans les phrases énonciatives, les phrases
interrogatives et les phrases exclamatives. C'est le mode le plus riche en
temps (le plus pauvre, le gérondif n'a qu'un seul temps : En marchant. En rêvant),
l'indicatif en a huit : quatre simples et quatre composés :
-
le présent;
- l' imparfait;
- le passé simple;
- le futur simple;
- le passé composé;
- le plus-que-parfait;
- le passé antérieur;
- le futur antérieur.
Tous ces
temps donnent lieu à des entrées que vous pouvez consulter en cas de besoin.
Le verbe varie selon la personne, le nombre, le mode et le temps (voir temps (du verbe).
Le verbe varie en personne, c'est-à-dire qu'il change sa
terminaison selon que le sujet est à la première personne (je chante), à
la deuxième personne (tu chantes) ou à la troisième personne (ils
chantent). Voir conjugaison.
Parmi les sept modes possibles d'un verbe (indicatif,
conditionnel, impératif, etc.), trois modes n'acceptent pas la variation selon
les personnes, il s'agit de l' infinitif (chanter), du participe passé (chanté/e), du gérondif (chantant). Ces
modes sont dits impersonnels.
- La première personne représente
celui qui parle ou qui écrit (Je partirai demain). Au pluriel, la
première personne représente un ensemble dans lequel se comprend celui qui parle
ou écrit (Nous partirons demain).
- La deuxième personne représente le
destinataire, auditeur ou interlocuteur (Tu partiras demain). Au pluriel
la deuxième personne représente un ensemble d'interlocuteurs (Vous partirez
demain).
- La troisième personne représente
l'être ou la chose dont on parle (Il partira demain. Cet homme partira demain). Au pluriel la troisième personne
représente des êtres ou des choses dont on parle.
Bien entendu,
les personnes peuvent se confondre, soit que celui qui parle s'adresse à
lui-même (Je me dis : "pourquoi tu as fait cette bêtise!",
soit que le locuteur utilise un "nous" de politesse ou de majesté (Nous avons étudié de nombreuses
sources..., le "nous" ne représentant qu'un personne), soit encore qu'il s'adresse à son
interlocuteur en utilisant un "vous" de politesse.
Les verbes auxiliaires sont des verbes qui "aident" à la
conjugaison d'autres verbes en formant les temps composés (Il a dormi. Nous
avons crié). Voir temps (du verbe).
Les
principaux auxiliaires sont "être" et "avoir". A côté de ces deux
auxiliaires principaux, certains verbes qui servent à exprimer des nuances dans
la conjugaison "faire", "venir", "aller", "devoir", "laisser", etc. sont qualifiés de semi-auxiliaires. (Il va
partir. Nous irons vous voir. La montagne doit être enneigée.)
1.
se conjuguent avec "être" :
- les temps
composés de tous les verbes pronominaux;
- les temps composés de certains verbes intransitifs "aller, devenir, éclore, entrer, mourir, naître,
rester, sortir", etc.;
- la voix passive.
2.
se conjuguent avec "avoir" :
- les verbes
"avoir" et "être";
- les verbes transitifs;
- la plupart
des verbes intransitifs;
- tous les
verbes impersonnels.
Les verbes défectifs sont les
verbes qui ne sont pas utilisés à certains temps ou à certaines personnes. Voir t emps (du verbe), personnes grammaticales.
Exemples :
Les
verbes impersonnels sont des verbes uniquement employés à la troisième personne
du singulier (Il
pleut). Ils sont dits impersonnels car le sujet "il" ne désigne rien (aucun être, aucune chose).
Certains
verbes sont impersonnels de manière habituelle (Il pleut, Il neige), ce sont les verbes décrivant des phénomènes
météorologiques, d'autres le sont de manière occasionnelle. Un grand nombre de verbes
personnels peuvent, en effet, se construire impersonnellement.
Des choses
bizarres lui sont arrivées.
Il lui est
arrivé des choses bizarres.
Les verbes
impersonnels ou les verbes personnels construits impersonnellement peuvent
avoir un sujet apparent
"il",
et un sujet réel postposé (Il lui est arrivé des
choses bizarres) ce sont des choses bizarres qui sont arrivées à
"il". Voir sujet apparent, sujet réel.
Règle : Les verbes impersonnels ou les
verbes personnels construits impersonnellement s'accordent toujours avec le sujet
apparent "il".
Les verbes pronominaux sont ceux qui sont accompagnés
d'un pronom
reprenant le sujet (Je me lave. Tu te dépêches. Il se regarde. Nous nous regardons. Vous vous levez). Le pronom qui reprend le sujet est dit pronom conjoint.
Un verbe d'action peut se présenter sous trois aspects,
trois voix : voix active (le sujet fait l'action, voix passive (le sujet subit l'action), voix pronominale dite voix moyenne (pronom reprenant le sujet).
De très
nombreux verbes peuvent exister aux trois voix (Je regarde, je suis regardé,
je me regarde). Certains n'existent qu'à la voix passive, certains, enfin,
n'existent qu'à la voix pronominale (se souvenir, se repentir, etc.), ce sont les verbes essentiellement pronominaux.
Le pronom conjoint qui reprend le sujet est tantôt analysable, tantôt vague et sans fonction
précise. Parmi les pronominaux à pronom conjoint analysable on distingue les réfléchis et les réciproques. Lorsque le pronom conjoint est
vague et inanalysable on distingue les passifs et les subjectifs.
1.
les réfléchis
indiquent que le sujet (ou les sujets) exerce une action
sur lui-même (Il se lave. Il se rase. Il se
regarde. Elle se parle, etc.). Le pronom conjoint peut alors être COD ou COI (COD = Il se lave. COI = Elle se parle).
2.
les réciproques
indiquent que les sujets (collectif ou pluriel) exercent une
action l'un
sur l'autre (ou
les uns sur les autres)
et réciproquement (Ils s'appellent. Ils se
cherchent. Vous vous parliez. Ils se regardent. etc.).
3.
les passifs
indiquent que le sujet subit l'action mais que l'être ou la
chose qui accomplit cette action (l'agent) n'est pas nommé (La ville se voit de loin. Il
s'appelle Pierre. L'or s'achète cher, etc.).
4.
les subjectifs : le pronom est un élément
totalement incorporé au verbe. Il s'agit surtout de verbes qui n'existent qu'à
la forme pronominale (s'accouder, s'écrouler, se méfier, s'exclamer,
s'écrier, etc.). Ces verbes sont dits essentiellement pronominaux. On
trouve aussi dans cette catégorie, des verbes existant à la voix active mais
avec une signification différente (S'apercevoir = se rendre compte,
apercevoir = voir. S'oublier = ne plus penser à soi, oublier = omettre).
Un verbe peut avoir les quatre nuances : réfléchi (Il
s'aperçoit dans la glace), réciproque (Ils s'aperçoivent sur la place),
passif (La ville
s'aperçoit de loin), subjectif (Il s'aperçoit de son erreur).
Les nuances
des verbes pronominaux sont importantes pour l'accord des participes passés
(voir participe passé des
verbes pronominaux).
Le verbe est certainement le mot le plus important de la phrase et il fait l'objet de nombreuses descriptions (voir description du verbe). La première
consiste à savoir s'il s'agit d'un verbe d'action ou d'état. Le verbe
exprime, en effet, essentiellement, une action faite ou subie par le sujet - ce
sont les verbes d'action (Le feu brûle. Pierre chante, etc.), ou un état du sujet - ce sont les verbes d'état (Le
feu est mort. Pierre semble malade).
Les
verbes d'action peuvent se présenter sous trois aspects : voix active si c'est le sujet qui fait l'action
(Le feu brûle. Pierre chante.), voix passive si le
sujet subit l'action (Le bois est brûlé. La chanson est chantée.), voix pronominale lorsque
le sujet est repris par un pronom personnel complément (Je me suis brûlé. Le
feu s'est éteint).
Après avoir défini la voix du verbe il faut préciser son
sens. Un verbe actif peut
être transitif ou intransitif (la voix pronominale donne lieu
à d'autres nuances. Voir pronominal. La voix passive ne donne pas
lieu à cette distinction).
Un
verbe transitif est un verbe accompagné d'un complément d'objet (Il mange
une pomme. Il boit du vin. Il parle de son enfance).
Un
verbe intransitif est un verbe qui n'est pas accompagné d'un complément d'objet (Il mange. Il
boit. Il partira à l'aube. Il mangera bientôt).
Parmi les
verbes transitifs certains sont accompagnés d'un complément d'objet direct (construit, directement sans préposition) ils sont, alors, dits transitifs directs, d'autres sont accompagnés d'un complément d'objet indirect (construit indirectement, à l'aide
d'une préposition) et ils sont dits transitifs indirects. (Comparez : Il évoque son enfance
= transitif direct. Il se souvient de son enfance = transitif indirect.)
La plus
grande partie des verbes actifs sont tantôt transitifs (directs ou indirects)
tantôt intransitifs - c'est-à-dire qu'ils peuvent être construits avec ou sans complément. Mais quelques-uns sont transitifs ou intransitifs de
nature, essentiellement, c'est-à-dire qu'ils exigent ou ne peuvent pas être
construits avec un complément.
Suivant
le verbe utilisé le complément d'objet sera donc obligatoire, interdit ou
facultatif.
Si le participe passé, dans son
emploi d'adjectif ne diffère pas de forme d'un emploi à l'autre, il n'en va pas
de même pour le participe présent.
Le participe
présent (forme en "ant" du verbe : chantant, dormant, courant, etc.) est invariable, l'adjectif varie en nombre et en genre. Dans certains cas,
l'orthographe diffère d'une forme à l'autre :
Dans les
exemples suivants l'adjectif est la première forme :
adhérent, adhérant - coïncident,
coïncidant
confluent, confluant - affluent, affluant
convergent, convergeant - détergent, détergeant
différent, différant - excellent, excellant
divergent, divergeant - équivalent, équivalant
négligent, négligeant - précédent, précédant
violent, violant - influent, influant
communicant, communiquant - vacant, vaquant
convaincant, convainquant - suffocant, suffoquant
provocant, provoquant - navigant, naviguant
délégant, déléguant - fatigant, fatiguant
intrigant, intriguant.
L'invariabilité
du participe présent et les différences orthographiques entre l'adjectif et le
participe, rendent indispensable de ne pas confondre les deux.
1.
La forme en "ant" est participe présent quand :
- elle est précédée de la négation "ne" : Il
travaille seul, ne communiquant avec personne...
- elle appartient à un pronominal : Ils
avancent se convainquant mutuellement...
- elle a un complément d'objet direct : Comparez : J'ai trouvé ces enfants remuants. J'ai
trouvé ces enfants remuant leurs jouets.
- elle forme le complément absolu (sujet et prédicat mais sans
introducteur ni verbe conjugué) : Le hasard aidant.
- Le plus
souvent, mais pas toujours, lorsque l'adverbe qui la modifie est placé après : Méfiez-vous des éléments
changeant souvent.
2.
La forme en
"ant" est adjectif quand :
- elle est attribut : Il est différent. Elle est différente.
- Le plus
souvent, mais pas toujours, lorsque l'adverbe (autre que "ne") qui la modifie est
placé avant : Méfiez-vous
des éléments souvent changeants.
En principe, lorsque le participe est placé en début de
phrase, cas fréquent des formules de politesse, la logique voudrait qu'il se
rapporte au sujet du
verbe principal de la phrase.
Sachant
votre intérêt, j'ose vous proposer cette affaire.
En
attendant votre réponse, je vous prie de recevoir...
Ayant relu
le dossier, je pense que tous les éléments sont en place pour...
Et
non:
Sachant
votre intérêt, cette affaire pourrait vous...
En
attendant votre réponse, recevez.
Ayant relu le dossier, tous les
éléments sont en place pour...
Le participe
présent peut s'employer comme complément absolu. Il existe un sujet et un
prédicat mais pas de forme conjuguée ni mot introducteur Dieu aidant, nous
survivrons.
Les noms ont
un genre propre, masculin ou féminin. Une
partie des êtres animés ont un genre correspondant au sexe (Un protecteur,
une protectrice) mais, pour la plupart des noms, le genre est arbitraire
(en cas de doute il faut consulter un dictionnaire).
Au contraire, le nombre fait partie des besoins de la
communication. On utilise le singulier quand on désigne un seul être, une seule
chose ou un seul ensemble - pour les collectifs (Un marin,
des marins. Une pomme, des pommes. Un groupe, des groupes).
Le nombre peut concerner cinq mots : le nom, l' article, l' adjectif, le pronom, le verbe.
On forme le
pluriel des noms en ajoutant un "s" au singulier. Cette règle, bien entendu,
souffre quelques exceptions.
- Les noms en
"au" et "eau" forment le pluriel en "x" (Un bureau, des bureaux. Un flûtiau, des
flûtiaux) sauf : "landaus, sarraus".
- Les noms en
"eu" forment le pluriel en "x" (Un feu, des feux. Un jeu, des jeux) sauf : "bleus, pneus".
- Les noms en
"ou" forment le pluriel en "s" (Un trou, des trous) sauf : "poux, hiboux, choux, joujoux, genoux,
cailloux, bijoux".
-
Les noms en
"al" forment le pluriel en "aux" (Un cheval, des chevaux. Un
bocal, des bocaux) sauf
: "cal, bal, carnaval, pal, récital, régal,
festival, chacal"
qui le font en
"s".
- Les noms en
"ail" forment le pluriel en "s" sauf : "bail,
corail, émail, gemmail, soupirail, travail, vantail et vitrail" qui le font en "aux".
Il y a
également des pluriels irréguliers :
Bétail forme
au pluriel "bestiaux" ;
Bétail a un
pluriel bétails peu utilisé ;
Le nom
composé crédit-bail forme au pluriel "crédits-bails" ;
Le pluriel corails est employé pour des objets
fabriqués dans cette matière, pour la partie rouge de la coquille
Saint-Jacques, du homard ;
Le pluriel
travails se rapporte à l'instrument du
maréchal-ferrant (en technologie, machines servant à immobiliser les chevaux ou
les boeufs pour qu'on les ferre ou les soigne).
- Les noms
qui au singulier se terminent par "z", "x", ou "s"
ne changent pas au pluriel.
Le pluriel
des noms composés est un domaine où règnent à outrance hésitations et
exceptions. Plusieurs tentatives ont été faites par des organismes autorisés
pour mettre de l'ordre et de la simplicité. Le pluriel des noms composés est
réglé par le dictionnaire des noms communs, dans la grande majorité des cas,
vous n'aurez pas à vous en préoccuper.
Voir aussi : Noms propres (pluriel des), Genre (pour "amour, orgue, délice...).
Les noms
propres représentent des personnes, des lieux géographiques, des marques
déposées ou des titres d'œuvres. L'invariabilité est la règle (des Picasso,
les Bossuet, etc.), mais ils prennent le pluriel dans des cas bien précis.
1.
les noms de personnes qui prennent la marque du pluriel :
- les noms de
familles royales, français ou francisés; (les
Bourbons. Les Capets. Les Stuarts, etc.)
- les noms
propres employés "génériquement" à la place d'un nom commun
(antonomase); (Ce sont des Harpagons = Harpagons pour avares.)
- les noms propres qui désignent des œuvres d'art. (Des Cupidons.)
2.
les noms géographiques qui prennent la marque du pluriel :
- les noms
désignant plusieurs pays, fleuves, etc. de même nom; (Les Guyanes. Les
Amériques. Les Espagnes, etc.)
- les noms
employés "génériquement" à la place d'un nom commun (antonomase). (De
modernes Babylones.)
En
dehors de ces cas particuliers tous les autres noms propres sont invariables : titres d'œuvres ou de journaux,
marques déposées, noms de famille non francisés (les Romanov), noms
composés homonymes (Il existe plusieurs Saint-Sauveur).
Les pronoms personnels désignent:
·
le locuteur (première
personne) ;
·
l’interlocuteur
(deuxième personne) ;
·
la personne ou la chose
dont on parle (troisième personne).
Les formes conjointes (ou clitiques) sont placées à côté du verbe (Je lui parle.); les formes disjointes sont séparées du verbe (Je parle avec elle.).
En et y sont des pronoms adverbiaux (ou adverbes pronominaux). Quant à on, il est un pronom personnel indéfini: On a toujours besoin d’un plus petit que
soi.
Formes
conjointes |
Formes
disjointes |
||||||||
Sujet |
Autres
fonctions |
Non
réfléchi |
Réfléchi |
||||||
Objet
direct |
Objet
indirect |
Réfléchi |
|||||||
Masc. |
Fém. |
Masc. |
Fém. |
Masc. |
Fém. |
||||
1re
pers. du singulier |
je |
me |
moi |
||||||
2e
pers. du singulier |
tu |
te |
toi |
||||||
3e
pers. du singulier |
il |
elle |
le |
la |
lui |
se |
lui |
elle |
soi |
1re
pers. du pluriel |
nous |
||||||||
2e
pers. du pluriel |
vous |
||||||||
3e
pers. du pluriel |
ils |
elles |
les |
leur |
se |
eux |
elles |
soi |
Sources d’information :
Essentielle :
-
Матвіїшин В.
Г. Французька
мова:
Підручник – К.:
Вища школа, 1992. - 328
с.
- Мінералова О.
І., Бей Н. Т.
Методичні
вказівки з
французької
мови для студентів
І-ІІ курсів:
Львівський державний
медичний
університет
ім. Данила
Галицького. -
Львів, 2000.-86 с.
Supplémentaire:
- Опацький С.
Є. Français, niveau débutant:
Підручник
для вищих
навчальних
закладів.-К.;
Ірпінь:
“Перен”, 2003.-312 с.