7. Le système immunitaire. SIDA. VIH.
Un lymphocyte, principale composante du système immunitaire humain
Le système immunitaire d’un organisme est un système biologique constitué d’un ensemble coordonné d’éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le « soi » du « non-soi ». Ce qui est reconnu comme non-soi est détruit, comme les pathogènes : virus, bactéries, parasites, certaines particules ou molécules « étrangères » (dont certains poisons). Il est responsable du phénomène de rejet de greffe.
On dénombre plusieurs variantes de systèmes immunitaires parmi les espèces animales, et parfois plusieurs systèmes immunitaires collaborent au sein d’un même organisme.
De nombreuses espèces, dont les mammifères, utilisent la variante décrite ci-après. Les principaux effecteurs du système immunitaire sont les cellules immunitaires appelées leucocytes (ou globules blancs) produites par des cellules souches, au sein de la moelle osseuse rouge.
Il existe deux types de mécanismes de défense :
1. Les mécanismes de défense non-spécifique ou innée ou naturelle, comme la protection de la peau et les muqueuses, l’acidité gastrique, les cellules phagocytaires ou les larmes ;
2. Les mécanismes de défense spécifique, comme l’action dirigée des lymphocytes et la production d’anticorps spécifiques.
On appelle réponse immunitaire l’activation des mécanismes du système immunitaire face à la reconnaissance de « non-soi », agressive ou pas, face à une agression ou à une dysfonction de l’organisme. L’ensemble de ces systèmes (y compris chez l’homme lors de la vaccination) permet la résilience immunitaire, notion qui recouvre la somme des mécanismes efficaces de défense d’un organisme vis-à-vis d’un agent pathogène (du grec pathos : malheur).
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Première Partie – Le système immunitaire
VIH. SIDA.
Le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est un micro-organisme qui infecte les cellules saines et fabrique des copies de lui-même pour se propager. Ce qui distingue le VIH des autres virus, c’est qu’il s’attaque au système immunitaire en prenant le contrôle des cellules CD4. Ces dernières ont pour rôle de coordonner la réponse immunitaire lorsqu’un virus se présente, afin qu’il soit neutralisé. Lorsque le VIH utilise les cellules CD4 pour se propager, il les endommage et les détruit. Ce faisant, il mine de l’intérieur le système immunitaire qui a pour rôle de le combattre. L’infection au VIH persiste toute la vie.
Évolution de l’infection vers le sida
Dans les semaines qui suivent l’infection, de 50 % à 90 % des personnes touchées présentent des symptômes semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose : fièvre, maux de tête, maux de gorge, rougeurs sur la peau, fatigue, douleurs musculaires, etc. Les malaises de cette première phase (ou primo-infection) se résorbent sans traitement.
L’infection passe alors dans sa deuxième phase (ou infection asymptomatique). Toutes les personnes infectées (même celles qui n’ont pas de symptômes) fabriquent des anticorps contre le VIH, mais ceux-ci ne sont pas décelables immédiatement. La séroconversion est le moment où une personne séronégative (pas d’anticorps dans le sang) devient séropositive (présence d’anticorps dans le sang). La séroconversion se produit habituellement d’un à trois mois après l’infection. Le virus peut vivre dans l’organisme pendant de nombreuses années (de cinq à sept ans) sans provoquer de symptômes.
L’infection entre dans sa troisième phase (ou infection symptomatique) lorsque divers symptômes persistants se manifestent : fièvre, sueurs nocturnes, perte de poids, gonflement des ganglions, diarrhées, infections de la peau, etc.
Lorsque le virus devient de plus en plus présent et que les cellules CD4 sont de moins en moins nombreuses, le système immunitaire n’arrive plus à lutter. C’est au cours de cette quatrième phase qu’apparaissent des affections dites opportunistes et que le diagnostic de syndrome d’immunodéficience acquise (sida) est posé.
Processus d’attachement du VIH :
1) Fixation de la gp120 au récepteur CD4
2) Fixation d’une boucle variable de la gp120 au co-récepteur et fixation de la gp41 sur la membrane cellulaire
3) Pénétration dans la cellule.
Une personne est atteinte du sida si :
elle a une infection au VIH confirmée en laboratoire (test sanguin).
le nombre des cellules CD4 est inférieur à 200 (c’est-à-dire 200 cellules par millimètre cube ou microlitre de sang). Un compte normal de CD4 varie de 500 à 1 000/mm3 environ.
elle a une ou plusieurs des infections ou maladies reliées au sida, par exemple : pneumonie, candidose buccale, sarcome de Kaposi (type de cancer qui atteint généralement la peau), tuberculose.
Une personne séropositive peut contaminer une autre personne, sans pour autant avoir la maladie.
Il n’existe pas de vaccin contre le sida. Une infection par le VIH ne peut se guérir. Cependant, grâce à l’amélioration des traitements médicaux, on peut retarder l’apparition du sida de plusieurs années.
Le VIH ne se transmet pas aussi facilement que d’autres virus. Il est 100 fois moins transmissible que celui de l’hépatite B, par exemple. Le VIH se transmet presque exclusivement par le sang ou au moment d’activités sexuelles. Il ne survit pas longtemps à l’extérieur du corps. Oe peut le contracter à la suite d’une poignée de main, par la sueur ou les larmes. Il n’est pas véhiculé par des insectes. Oe le contracte pas eageant dans les piscines publiques ou par le biais des sièges de toilette, ni en partageant la nourriture ou en utilisant le linge, les serviettes ou le téléphone d’une personne infectée.
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Prévalence du VIH et du sida
Selon l’organisme ONUSIDA, en 2007, 33 millions de personnes dans le monde étaient infectées par le VIH (dont 2,7 millions de nouveaux cas au cours de l’année) ou avaient le sida, et 2 millions en sont mortes1.
C’est en Afrique subsaharienne que le nombre de personnes infectées est le plus élevé : les deux tiers de toutes les personnes infectées par le VIH y résident1. Dans cette région du monde, le virus se transmet principalement par les rapports hétérosexuels, tandis que les rapports homosexuels entre hommes constituent la plus importante voie d’infection au Canada et aux États-Unis, tout comme dans la plupart des pays industrialisés. Cependant, la transmission hétérosexuelle a fortement progressé au cours des dernières années.
Au Canada, la majorité des personnes infectées par le VIH sont âgées de 20 ans à 39 ans (69,7 %). La plupart sont des hommes. Les femmes représentent environ 20 % des cas.
Cycle de réplication du virus de l’immunodéficience humaine.
Complications possibles
Le système immunitaire des personnes atteintes du sida n’est plus en mesure de défendre l’organisme qui devient alors la cible d’infections opportunistes de toutes natures (bactérienne, fongique, virale ou parasitaire), dont la toxoplasmose cérébrale, la pneumonie à Pneumocystis carinii, la méningite cryptococcale, la rétinite à CMV, la candidose (infection fongique de la bouche, de l’oesophage et du vagin), la tuberculose, etc.
Les personnes atteintes sont également plus susceptibles de souffrir d’anémie et de certains cancers : sarcome de Kaposi (nodules cutanés de couleur rose, rouge, pourpre [peau pâle], brune ou noire [peau plus foncée]), lymphome non hodgkinien (un cancer du système lymphatique), cancer du col de l’utérus.
Arbre phylogénétique du VIH et du VIS.
Première phase. Les symptômes de l’infection par le VIH se manifestent dans les semaines qui suivent l’exposition et ressemblent à ceux de la grippe ou de la mononucléose. Au moment de leur apparition, la personne infectée est particulièrement contagieuse. Ces symptômes persistent durant une semaine à un mois, puis disparaissent.
Fièvre
Maux de tête
Maux de gorge
Rougeurs sur la peau
Fatigue
Douleurs musculaires et articulaires
Deuxième phase. Elle est souvent asymptomatique (absence de symptômes).
Troisième phase. L’organisme commence à donner des signes qu’il s’épuise. Certains symptômes deviennent plus fréquents, persistants et parfois chroniques, par exemple :
Fièvre
Sueurs nocturnes
Perte de poids importante
Gonflement des ganglions
Diarrhées persistantes
Infections de la peau
Toux sèche persistante
Essoufflement
Les personnes ayant reçu des produits sanguins ou une transfusion sanguine de 1977 à 1985.
Les enfants nés d’une mère séropositive n’ayant pas été traitée. Le virus se transmet durant la grossesse ou l’accouchement, mais aussi durant l’allaitement.
Les personnes habitant un pays ou originaires d’un pays où les infections au VIH sont fréquentes. Par exemple, l’Afrique subsaharienne et les Caraïbes sont particulièrement touchées par le sida.
Avoir des activités sexuelles non protégées avec une personne infectée par le VIH. Certains facteurs, par exemple une maladie des gencives, des ulcères buccaux ou génitaux, des feux sauvages et des maladies transmises sexuellement (gonorrhée, syphilis ou herpès génital) augmentent le risque de transmission.
Avoir des rapports sexuels sans préservatif, des rapports sexuels avec plus d’un partenaire, avec un partenaire qui a ou a eu plusieurs partenaires, ou avec un partenaire qui consomme ou a consommé des drogues administrées par voie intraveineuse.
Partager ses seringues. Au Canada, les utilisateurs de drogues injectables représentaient, jusqu’en juin 2007, 17,5 % des personnes séropositives, une baisse notable par rapport à 1998 (28,7 %). Les infections transmises par du matériel d’injection contaminé sont particulièrement fréquentes chez les populations autochtones.
Se faire tatouer ou « percer » avec des aiguilles usagées.
Occuper un emploi (professionnels de la santé, policiers, pompiers, etc.) qui expose au sang ou à d’autres liquides organiques. En cas de piqûre accidentelle avec une seringue contaminée, le risque de contracter le VIH est très faible (0,3 %); il dépend de la profondeur de l’injection et du volume de liquide infecté.
Pourquoi prévenir? |
La prévention vise à réduire l’incidence du sida en prévenant la transmission du VIH. Elle permet aussi de retarder l’apparition du sida par le traitement des patients séropositifs encore asymptomatiques.
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Mesures de dépistage |
Actuellement, le dépistage du VIH se fait par la détection des anticorps grâce à un test sanguin (ELISA ou EIA). Cependant, il n’est efficace que lorsque les anticorps sont assez nombreux, soit trois mois après l’infection (dans 95 % à 97 % des cas) ou six mois après l’infection (dans 99 % des cas)4. Si le résultat est positif, un test de confirmation est effectué; la sensibilité des deux tests combinés est proche de 100 %. Pour les personnes à risque dont le premier test est négatif, il est recommandé d’effectuer un autre test six mois plus tard. Le test de dépistage est recommandé : – aux personnes qui ont vécu une situation à risque de contracter le virus; – aux personnes qui ont des symptômes pouvant être dus à une infection au VIH (à discuter avec un médecin). Note. Il existe des trousses qui permettent un premier dépistage en quelques minutes (grâce à une goutte de sang prélevée sur le doigt) plutôt qu’en quelques jours. Les résultats positifs obtenus à l’aide de ces tests ne sont toutefois que préliminaires et doivent être confirmés par un laboratoire agréé.
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Mesures préventives de base |
Pour les personnes non infectées Vérifiez si vos partenaires sexuels potentiels sont infectés par le VIH ou s’ils sont à risque d’une telle infection. Utilisez des préservatifs pour tous les rapports sexuels quelle qu’en soit la modalité (vaginaux, anaux, oraux). Les lubrifiants à base de pétrole peuvent endommager le caoutchouc des condoms : utilisez seulement des lubrifiants à base d’eau. L’usage de condoms en latex est une recommandation absolue pour chaque activité sexuelle, sauf entre partenaires monogames dont le test sanguin a donné un résultat négatif. Évitez tout contact avec le sang, le sperme, l’urine, les sécrétions vaginales ou les selles d’une personne infectée par le VIH. N’échangez pas les accessoires sexuels. En cas d’usage de drogues intraveineuses, ne partagez pas vos seringues ni le matériel d’injection et participez à un programme d’échange de seringues. Si malgré tout il y a partage des aiguilles et des seringues, désinfectez-les à deux reprises avec du javellisant non dilué puis de l’eau pour détruire le VIH. Ne partagez pas votre brosse à dents, rasoir, lime ou tout autre article personnel. Pour les personnes infectées (Conseils de la clinique l’Actuel pour éviter la transmission) Utilisez des condoms pour chaque relation sexuelle (orale, vaginale et anale). Ne partagez pas d’aiguilles ou de dispositifs associés aux drogues. Ne partagez pas votre brosse à dents, rasoir, lime ou tout autre article personnel qui peut porter des traces de sang. Couvrez toutes plaies avec un pansement. Nettoyez toute surface contaminée par votre sang avec de l’eau de javel (une partie de javel pour neuf parties d’eau). Ne pas donner de sang, d’organes ou de sperme pour l’insémination artificielle. Si vous êtes enceinte, votre bébé peut être protégé si vous recevez un traitement anti-VIH dès le début du deuxième trimestre. Si votre partenaire a été exposé au VIH, consultez un médecin le plus rapidement possible, au maximum dans les 72 heures qui suivent. Un traitement préventif peut être donné (une prophylaxie post-exposition). Remarque. La personne infectée doit en tout temps prendre des précautions pour ne pas transmettre l’infection, même si elle est traitée et même si sa charge virale est non détectable.
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Autres mesures pour retarder l’apparition du sida et prévenir les infections opportunistes |
Pour bien soutenir l’organisme et le système immunitaire, il est recommandé d’avoir des habitudes de vie saines : bien s’alimenter, faire de l’exercice, prendre suffisamment de repos, prendre le temps de relaxer (méditation, yoga, écouter de la musique, etc.). Le recours à un soutien émotif et spirituel permet aussi de mieux affronter le stress. Afin de prévenir certaines maladies opportunistes, plusieurs vaccinations peuvent être indiquées, selon le cas : Vaccin contre la pneumonie : tous les cinq ans pour vous protéger contre les pneumonies à bactéries communes. Vaccin contre la grippe (vaccin antigrippal) : une fois par année, généralement eovembre. Vaccin contre le tétanos et la diphtérie : une fois tous les 10 ans. Vaccin contre l’hépatite A : il protège durant environ 20 ans. Il est particulièrement recommandé chez les personnes qui voyagent beaucoup. Vaccin contre l’hépatite B : il protège durant environ 10 ans. Recommandé aux hommes qui ont des relations sexuelles avec d’autres hommes et aux personnes qui utilisent ou s’injectent des drogues illicites. Vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (vaccin ROR) : ce vaccin vivant offre une protection contre trois virus communs transmissibles par la toux et les éternuements. Il est considéré inoffensif chez les personnes infectées par le VIH dont le compte de cellules CD4 est supérieur à 200, mais il n’est pas recommandé s’il est inférieur à ce chiffr. Note. Les personnes vivant avec le VIH devraient éviter les vaccins contre le choléra, la typhoïde, la fièvre jaune et la variole. Si le pays que vous visitez exige un de ces vaccins, demandez à votre médecin de vous faire une lettre pour expliquer que pour des raisons médicales, vous ne pouvez pas recevoir tel ou tel vaccin. Dans le but d’éviter les infections alimentaires, les personnes vivant avec le VIH/sida doivent être particulièrement prudentes et éviter certains aliments comme : oeufs crus ou pas assez cuits, aliments contenant des oeufs crus, volaille crue ou pas assez cuite (chair rose), grillades et rôtis « bleus » ou saignants, poissons et fruits de mer crus ou insuffisamment cuits, produits laitiers non pasteurisés, fromages mous, boissons en fontaine, cubes de glace d’origine douteuse, huîtres crues. Une grande prudence est également nécessaire avec les excréments des animaux familiers ou autres qui peuvent être une source de contamination et entraîner des infections opportunistes graves. Voici les conseils du Collège des médecins de famille du Canada à ce chapitre : Éviter tout contact avec des animaux de moins de six mois ou un animal qui a la diarrhée (risque de contamination par Cryptosporidium, Salmonella et Campylobacter). Se laver soigneusement les mains après avoir touché à des animaux (surtout avant de manger). Éviter tout contact avec les excréments des animaux de compagnie et, si c’est impossible, porter un masque et des gants pour changer la litière du chat. Éviter tout contact avec des reptiles (serpents, lézards, iguanes et tortues) – risque de salmonellose. Éviter tout contact avec des veaux et des agneaux et les fermes d’élevage de ces animaux. Les animaux de compagnie nouveau-nés et très jeunes peuvent transmettre une cryptosporidiose. Les personnes séropositives qui songent à se procurer uouvel animal familier ne doivent pas choisir un animal qui a la diarrhée, un chat ou un chien de moins de six mois ni un animal errant. Si elles veulent prendre le risque d’acheter un chiot ou un chaton de moins de six mois, elles devraient demander à leur vétérinaire de vérifier s’il est porteur de cryptosporidies avant de le toucher.
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Aucun de ces traitements ne guérit la maladie, mais grâce à eux, de nombreux patients peuvent vivre beaucoup plus longtemps qu’avant. Les traitements contre le VIH/sida comportent deux volets.
La thérapie antirétrovirale (trithérapie, cocktail)
On traite généralement le VIH au moyen d’un traitement antirétroviral hautement actif (HAART – Highly Active Antiretroviral Therapy), une puissante combinaison d’au moins trois médicaments. Ces antirétroviraux ralentissent la progression du VIH en s’attaquant au virus afin de réduire le plus possible la charge virale. Cependant, ils sont très chers et donc loin d’être accessibles à tous les patients, notamment dans les pays sans système public ou privé d’assurance-maladie.
Par ailleurs, leurs effets indésirables sont loin d’être négligeables : grande fatigue, maux de tête, perte de l’appétit, éruptions cutanées, diarrhée, fièvre, insulino-résistance, diabète, pancréatite (inflammation du pancréas), lipodystrophie (distribution anormale de la graisse à certains endroits du corps) pour n’en nommer que quelques-uns. Il faut donc trouver le meilleur équilibre possible entre l’efficacité du traitement et le maintien d’une bonne qualité de vie.
En outre, pour être efficace, ce traitement doit être suivi à la lettre, c’est-à-dire qu’il faut prendre les pilules tous les jours aux heures prescrites par le médecin, et donc être prêt à modifier ses habitudes de vie. En effet, contrairement à d’autres maladies courantes, le « taux d’observance » du traitement doit être très élevé pour maîtriser l’infection au VIH, prévenir la réplication du virus et empêcher l’apparition de résistances médicamenteuses. Tout le monde ne s’entend pas sur le moment idéal pour commencer un traitement antirétroviral. Selon les lignes directrices actuelles au pays, un traitement doit être amorcé sans hésitation lorsque : la numération de CD4 est inférieure à 200 cellules/mm3 (si elle est inférieure à 350 cellules/mm3, le traitement peut être envisagé); des symptômes graves ou une infection liée au VIH sont présents.
Il existe plusieurs types de médicaments antirétroviraux. Ils agissent à des stades différents en interférant avec le cycle de vie du virus.
Les inhibiteurs de la transcriptase inverse (ITI), par exemple l’AZT (zidovudine), la névirapine, la délavirdine, le ténofovir. Ces médicaments bloquent un enzyme nommé « transcriptase inverse » dont le VIH a besoin pour se reproduire. Ils comprennent les INTI (inhibiteurs nucléosidiques ou nucléotidiques de la transcriptase inverse) et les INNTI (inhibiteurs noucléosidiques ou non-nucléotidiques de la transcriptase inverse).
Les inhibiteurs de la protéase (IP), par exemple, le saquinavir, l’indinavir, le ritonavir. Ces médicaments bloquent un enzyme nommé « protéase » dont le VIH a besoin pour se reproduire.
Si, avec le temps, les traitements deviennent moins efficaces, d’autres médicaments peuvent être employés : les inhibiteurs de fusion, qui empêchent la fusion entre l’enveloppe du VIH et la membrane de la cellule; les inhibiteurs d’entrée, qui empêchent la pénétration du virus dans la cellule; et les inhibiteurs d’intégrase, qui empêchent la multiplication du VIH dans la cellule.
Les médecins personnalisent le traitement en choisissant les médicaments adaptés à chaque cas. Il ne faut donc jamais partager ses pilules avec une autre personne atteinte.
La prévention et le traitement des infections opportunistes et des complications du sida
Il est nécessaire de se soumettre à des examens réguliers pour dépister certaines maladies à leur stade précoce, de se faire vacciner (voir la section « Prévention ») et de prendre des médicaments afin de prévenir les infections fréquentes chez les personnes aux prises avec le VIH/sida. Si une infection opportuniste se déclare, le médecin peut recommander de poursuivre le traitement même après la guérison afin d’empêcher une récidive.
En cas de cancer, on a recours à une chimiothérapie ou une radiothérapie.
Autres
Certaines personnes ont recours à la marijuana (Cannabis sativa) pour stimuler leur appétit. En effet, au Canada et aux États-Unis, le dronabinol (THC synthétique sous ordonnance) en capsules est approuvé pour stimuler l’appétit en cas d’anorexie, chez les sidéens. Ce médicament s’obtient sur ordonnance.
Gestion du stress. De nombreuses études indiquent que le recours à différentes techniques de gestion du stress améliore non seulement la qualité de vie, en réduisant l’anxiété et le stress et en améliorant l’humeur, mais a des répercussions positives sur le statut immunitaire des personnes vivant avec le VIH ou le sida.
Exercice physique. Plusieurs études indiquent que l’activité physique chez les personnes séropositives donne des résultats positifs à plusieurs chapitres : qualité de vie, humeur, gestion du stress, résistance à l’effort, gain de poids, immunité.
Acupuncture. Quelques études contrôlées ont porté sur les effets de l’acupuncture auprès des personnes touchées par le VIH ou le sida.
Un essai publié en 1998 et portant sur 239 sujets souffrant de neuropathie périphérique n’a pas donné de résultats concluants35. Au cours d’une étude publiée en 1999, on a constaté une réduction de la douleur grâce à l’électro-acupuncture, mais le nombre de sujets est trop faible pour permettre de conclure à une réelle efficacité : seulement 7 des 11 personnes recrutées ont terminé l’étude36.
Les résultats d’un essai portant sur 23 sujets infectés par le VIH et souffrant d’insomnie indiquent que deux traitements d’acupuncture par semaine durant cinq semaines ont nettement amélioré la durée et la qualité de leur sommeil37.
Au cours d’une étude menée par des chercheurs chinois, un traitement d’acupuncture quotidien durant 10 jours a permis de réduire plusieurs des symptômes de 36 patients hospitalisés : fièvre (chez 17 patients sur 36), douleurs et engourdissements des membres (19/26), diarrhée (17/26) et sueurs nocturnes (12/33).
Au cours d’un essai mené sur 11 sujets infectés par le HIV, deux traitements d’acupuncture par semaine durant trois semaines ont permis une légère amélioration de la qualité de vie chez les patients traités par rapport aux patients ayant reçu un « faux traitement » (aiguilles placées à des endroits non thérapeutiques).
Note. Le risque de contracter une infection par le VIH durant des traitements d’acupuncture est minime, mais il existe. C’est pourquoi les patients devraient exiger que leur acupuncteur utilise des aiguilles à usage unique (jetables), une pratique que les associations ou ordres professionnels de certains pays ou provinces ont rendue obligatoire (c’est le cas de l’Ordre des acupuncteurs du Québec). |
N-acétylcystéine. Le sida cause une perte massive de composés soufrés, et en particulier de glutathion (un puissant antioxydant produit par le corps), ce qui pourrait être compensé par la prise de N-acétylcystéine. Les résultats des études ayant vérifié son effet sur les paramètres immunologiques des personnes atteintes sont cependant mitigés à ce jour.
Coenzyme Q10. En raison de son action sur les cellules responsables de l’activité immunitaire dans l’organisme, on a eu recours à la supplémentation en coenzyme Q10 dans diverses affections où le système immunitaire se trouvait affaibli. Les résultats d’études cliniques préliminaires indiquent que la prise de 100 mg deux fois par jour peut contribuer à augmenter la réponse immunitaire chez les personnes atteintes de sida.
Glutamine. De nombreuses personnes vivant avec le VIH/sida subissent une perte de poids importante (cachexie). Les résultats de deux études à double insu avec placebo menées auprès de sidéens indiquent que la glutamine peut favoriser un gain de poids. Dans l’un de ces essais, mené auprès de 27 sujets, on a employé un mélange de glutamine et d’antioxydants43. Dans le second essai, portant sur 68 sujets, le groupe traité a reçu un mélange de glutamine, de leucine et d’arginine; en plus d’un gain de masse musculaire, les patients traités ont connu une amélioration de leur statut immunitaire par rapport à ceux du groupe placebo44.
Lentinane. Le lentinane est une substance hautement purifiée extraite du shiitake, un champignon utilisé en Médecine traditionnelle chinoise et japonaise. En 1998, des chercheurs américains ont administré du lentinane à 98 sidéens dans le cadre de deux essais cliniques (phases I et II). Bien que les résultats n’aient pas permis de conclure à un effet thérapeutique significatif, on a tout de même observé une légère amélioration des défenses immunitaires des sujets14.
Melaleuca (Melaleuca alternifoli). L’huile essentielle extraite de cette plante peut être utile contre les infections fongiques comme le muguet. Les résultats d’un essai mené auprès de 27 sidéens atteints de muguet résistant au traitement classique (fluconazole) indiquent qu’une solution d’huile essentielle de melaleuca, avec ou sans alcool, a permis d’enrayer l’infection ou d’en atténuer les symptômes45.
Selon certains experts, en plus d’une bonne alimentation, le recours à des suppléments de vitamines (A, E, C, complexe B) et de minéraux (zinc, sélénium) permet aux personnes vivant avec le VIH de ralentir la progression de leur maladie vers le sida.
Site Internet de la première clinique québécoise spécialisée dans le dépistage et le traitement des MTS et du sida. Information médicale et sur l’état de la recherche; consultations; laboratoire; section sur la santé sexuelle des gais et lesbiennes.
Coalition interagence sida et développement (CISD)
La CISD vise à aider le Canada à participer au travail international sur le VIH/sida. L’information est offerte en français et en anglais. Il s’agit d’un réseau de 117 organismes non gouvernementaux canadiens en développement international, organismes de services liés au VIH/sida et d’individus qui se préoccupent du VIH/sida à l’échelle mondiale. Dans ce site on trouve notamment un document qui présente et décrit plus de 40 sites Internet offrant de l’information de qualité sur le VIH/sida et le développement international
ONUSIDA
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida a pour mission d’être le principal responsable du plaidoyer pour une action mondiale contre le VIH/sida. L’ONUSIDA travaille avec de nombreux partenaires pour catalyser, renforcer et coordonner l’expertise, les ressources et les réseaux d’influence uniques apportés par chacun. Dans ce site, on accède à des publications, de l’information et des ressources sur le VIH/sida, de même qu’à des communiqués de presse et des renseignements sur la Journée mondiale du sida. Ressource utile pour tous ceux qui cherchent des rapports approfondis et d’actualité sur la dimension internationale de l’épidémie. Plusieurs documents sont en français, mais intégrés à l’architecture anglaise du site.
SIDA
Qu’est ce que le SIDA ?
Tout le monde parle du SIDA, mais le définir est une chose relativement compliquée. Cette difficulté à définir simplement cette maladie reflète bien sa complexité.
Tout d’abord, quelles sont les significations des différentes initiales?
Syndrome.
Immuno (d’)
Déficience
Acquise
Dégageons maintenant sa définition à partir de l’analyse de ces différents termes.
* Un syndrome “un ensemble de signes, de symptômes qui appartiennent à une entité clinique, mais dont les causes peuvent être diverses.” définition du dictionnaire Hachette.
* L’immuno-déficience est une insuffisance fonctionnelle du système immunitaire.
* Le terme ‘Acquise’ signifie tout simplement que le SIDA n’est pas une maladie héréditaire mais due à un agent mis accidentellement au contact du malade.
C’est agent est le Virus de l’Immuno-déficience Humaine ou VIH (HIV en langage international).
Pour les personnes que cela intéresse, entrons dans le détail :
La Fixation de la particule virale sur la cible cellulaire se fait par la liaison de la gp120 (protéine du virus) à la molécule CD4 (molécule membranaire extrêmement importante des lymphocytes). Les lymphocytes (qui sont des globules blancs) sont appelés lymphocytes CD4 ou T4. En fait, ils sont distingués d’une autre catégorie de lymphocytes appelés CD8 ou T8 qui ne sont pas infectés par le VIH.
Après l’interaction gp120 et CD4, le virus pénètre alors dans la cellule. L’ARN du génome qui est libéré de son enveloppe est transcrit en ADN par la transcriptase inverse. Cet ADN est alors intégré en partie dans l’ADN cellulaire.
Le VIH intracellulaire, inséré dans le génome de la cellule infectéz sous forme d’ADN est alors à l’abri des attaques du système immunitaire.
Lors de chaque réplication et division cellulaire, la cellule copie et transporte le génome viral avec elle.
remarque : Le VIH sous forme latente peut être activé par des stimulations extérieures telle une infection à Herpès virus, à cytomegalovirus ou autre agent infectieux entraînant une réplication virale intense.
DESCRIPTION
L’étude de la structure génétique du VIH permet de comprendre la complexité de ce virus, certaines de ses manifestations cliniques et biologiques, et d’envisager des stratégies pour la recherche thérapeutique.
Le VIH1 appartient à la famille des rétrovirus caractérisée par la possibilité paradoxale, quand il infecte une cellule, de transcrire sa molécule d’ARN (génome du virus) en une molécule d’ADN virale à partir de l’ADN de la cellule infectée grâce à une enzyme (reverse transcriptase). Rappelons que l’ensemble des autres cellules vivantes ne peuvent transmettre leur code génétique qu’en transcrivant ce code dans le sens ADN vers ARN (puis formation de protéines).
Deux autres caractéristiques du VIH sont communes aux lentivirus : elles permettent d’expliquer la défaillance de la réponse immunitaire de l’hôte infecté par le VIH.
D’une part, la latence : l’ADN viral constitué s’intègre ensuite par l’une de ses extrémités (LTR) dans l’ADN de la cellule infectée. Ce provirus se comporte alors comme un des gènes de la cellule infectée. Il peut rester silencieux : il est alors transmis aux cellules descendantes à chaque mitose ; mais les gènes du VIH sont temporairement endormis, lui conférant une invisibilité antigénique : c’est la latence. L’utilisation de la mesure de la charge virale a pu cependant montrer qu’un degré variable de multiplication virale existait déjà au cours de cette période et, donc, il s’agit plus d’une latence clinique que biologique. Il peut aussi s’exprimer : l’information génétique est alors transmise en ARN messager, puis en protéines virales.
D’autre part, la variabilité génétique : elle existe d’un patient à un autre, et même chez un même patient, à des époques différentes. Elle concerne certains gènes : env, et surtout nef ; tat et rev ont une variabilité intermédiaire. Cette variabilité explique les propriétés de certaines souches de VIH (par exemple les souches à tropisme macrophagique). Cette propriété explique la possibilité d’apparition de résistances à certains traitements qui seraient moins fréquentes dans le cadre de polythérapie, puisque les chances que le VIH trouve la combinaison de mutation seraient moindres.
La recherche d’une réponse contre les parties constantes de la structure génétique du VIH constitue la base des travaux de recherche pour la mise au point d’un vaccin. Cependant, les ac dirigés contre la boucle V3 de la gp 110 peuvent neutraliser en culture une souche de VIH, mais ils peuvent aussi stimuler une autre souche dont la boucle ne diffère que d’un acide aminé.
Le VIH possède 3 gènes rétro-viraux codant pour différentes protéines virales :
gag (groupe antigène) code pour des protéines internes (“core”) : p50 et p40 qui se cliveront en p13, p18 et p 24.
pol (polymérase) code pour des enzymes nécessaires à sa réplication : notamment p68 (reverse transcriptase) et p34 (intégrase).
env (enveloppe) code pour des glycoprotéines (gp 110 et gp 41 issues de gp 160). La gp 110 est une partie de l’enveloppe responsable de l’interaction avec la membrane de la cellule cible au niveau du récepteur CD4, permettant la pénétration du virus. Une autre propriété de l’enveloppe (gp 41) est de pouvoir induire la fusion cellulaire (syncitium) qui est un des éléments cytopathogènes du VIH.
Contrairement aux autres rétrovirus, le VIH possède d’autres gènes intervenant dans sa réplication ; cette complexité qui lui est caractéristique explique probablement son haut pouvoir pathogène. Il y a des gènes régulateurs : tat (favorise l’augmentation du niveau de la synthèse des protéines virales), rev (favorise l’augmentation des ARN messagers correspondant aux protéines de gag, pol et env). Il y a aussi d’autres gènes, comme vif, qui permet d’augmenter l’infectiosité, nef (rôle mal connu), vpu, vpr (vpx pour VIH2).
Le tropisme particulier du VIH est une autre de ses caractéristiques importantes. Le lymphocyte T et les cellules macrophages-monocytes sont les principales cibles du VIH. Rappelons qu’il s’agit précisément des cellules disséminées dans la plupart des organes, permettant à l’organisme sain de reconnaître les antigènes étrangers et de déclencher une réponse immunitaire physiologique. Dans l’infection à VIH, le macrophage joue un rôle de réservoir avec la possibilité de transmission directe intercellulaire du virus aux lymphocytes T lors de la présentation de l’antigène. Le tropisme macrophagique permet d’expliquer le neurotropisme du VIH, la présence du virus dans les structures nerveuses des patients asymptomatiques, et la fréquence des symptômes neurologiques et psychiatriques non causés par une affection opportuniste.
D’autres cellules ont été reconnues aussi comme des cibles du VIH : précurseurs médullaires (CD34), certains lymphocytes B, les cellules intestinales. L’infection des cellules de l’endothélium vasculaire s’accompagne d’une production d’interleukine 6.
L’infection de certaines de ces cellules se fait par l’intermédiaire du récepteur CD4 (liaison avec la gp110 du VIH). D’autres récepteurs seraient aussi mis en jeu : certains, comme les canaux ioniques, expliqueraient la formation de syncitium in vitro, et le fait quÕin vivo des cellules ne possédant pas le récepteur CD4 puissent être infectées aussi (cellules nerveuses non macrophagiques).
Le récepteur macrophagique CCR-5, de découverte récente (1996), interviendrait dans la transmission sexuelle du VIH et au début de l’infection à VIH. Au début, l’infection se ferait par l’intermédiaire de souches virales à tropisme macrophagiques (Non Syncytium Inducing) ; et ce n’est qu’ultérieurement qu’interviendraient des souches (Syncytium Inducing) qui auraient acquis la capacité d’utiliser un autre co-récepteur (fusine) pour infecter les lymphocytes. Le récepteur CCR-5 n’est pas fonctionnel chez certaines personnes en raison d’une mutation génétique : une mutation d’un des deux gènes diminuerait de 50% le risque de contracter une infection par le VIH. Donc, des recherches sont en cours afin de mettre au point des inhibiteurs de ce récepteur qui pourraient être des traitements à utiliser au début de l’infection. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que ce récepteur est aussi celui de trois chimiokines (Rantes, MIP1 alpha, MIP1 bêta) qui inhibent la réplication du VIH. Donc, une autre voie de traitement consisterait à bloquer ce récepteur par des chimiokines.
Historique
1980 AU CHU de Los Angeles, un docteur (Michael Gottlieb) découvre trois malades homosexuels qui présentent des signes cliniques voisins (amaigrissement, mycose, fièvre, candida buccal et pneumonie). Tous les trois présentent une quantité anormalement basse de leur lymphocyte T4 dans leur formule sanguine.
Mai 1981 : Alors que les patients sont décédés, le docteur décide d’envoyer leur dossier médical au Center of Disease Control d’Atlanta qui diffuse la nouvelle dans tous les U.S.A. Cela permet de recenser 31 cas identiques à ceux du Dr. Gottlieb en moins de 15 jours et touchant toujours la communauté homosexuelle masculine.
Juin 1981 : Un cas est détecté en France à l’Hôpital Claude Bernard de Paris, lui aussi est homosexuel.
Fin 1981 : Les premières études montrent que cette affection jusque là inconnue, se transmet par voie sexuelle et sanguine et qu’elle ne frappe pas que les homosexuels. Les américains décident d’appeler cette affection AIDS pour Acquired Immuno Deficiency Syndrome, que les Français vont traduire par SIDA pour Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise.
Avril 1982 -DENVERS-COLORADO : un cas de Sida a atteint une personne ni homosexuelle, ni toxicomane. Cela concerne un père de famille de 59 ans qui a la particularité d’être hémophile (SIDA : Le droit de tout savoir p34-35 – SANTERAMA HS 1)
Mai 1983 : Le Professeur Luc Montagnier et son équipe parviennent à isoler pour la première fois l’agent responsable du Sida auquel il donne le nom de LAV (Lymphadenopathy Associated Virus)
Septembre 1983 : Le Pr. Montagnier dépose une demande brevet pour un test du dépistage du SIDA
Mai 1984 : Un an après les Francais, le Pr Gallo isole à son tour, le virus du sida et lui donne le nom de HTLV 3. Echec des essais thérapeutiques. Activités antirétrovirale de l’AZT est mise en évidence.
1985 :
Les premiers test de dépistage sont mis sur le marché. Premiers essais thérapeutique par l’AZT aux U.S.A.
Conférence mondiale sur le SIDA à Atlanta(USA) : 3.000 participants
Pour mettre fin au scandale du sang contaminé, le ministre de la Santé français décide le criblage systématique du sang destiné aux transfusions et à la fabrication des produits sanguins. Tous les donneurs de sang sont soumis à un test de dépistage des anticorps anti-HIV.
1986 :
La communauté scientifique adopte le nom de HIV (Human Immunedeficiency Virus) ou VIH (Virus de l’immunodéfience humaine) qui remplacent LAV et HTLV 3
le Pr Montagnier et son équipe de l’Institut Pasteur isolent un deuxième virus, le VIH 2, en collaboration avec les chercheurs et médecins de l’Hôpital Claude Bernard de Paris et l’Hôpital Ega Moniz de Lisbonne.
Première lueur d’espoir pour les malades, uouvel antiviral venu des USA., l’azidothyridine ou AZT. Mais cette molécule se revèle couteuse et extrêmement toxique. En effet, on doit recourrir à des transfusions sanguines très fréquentes.
1987 :
La publicité sur les préservatifs comme moyen de prévention des MST est autorisée en France.
Commercialisation de l’AZT en France
Avril : campagne de prévention TV : “Le sida, il ne passera pas par moi.”
Mai : seringue en vente libre dans les pharmacies en France
1989(Juin) : Ve conférence internationale sur le SIDA à Montréal ; pour la première fois, participation de malades à un congrès médical.
1990 : premiers essais thérapeutiques par la ddI en France.
1990(Juin) : VIe conférence internationale sur le SIDA à San Fransisco, officiellement boycottée par la France, en raison de la nécessité pour les séropositifs de demander un visa spécial.
: Rapport Dormont, consensus sur les modalités d’utilisation de l’ AZT et des thérapeutiques prophylactiques de la pneumocystose chez les séropositifs asymptotiques en France.
1991(Juin) : VIIe conférence internationale sur le SIDA à Florence. Constat : propagation de l’épidémie.
1993 : Les premiers essais de vaccins potentiels sont testés chez l’homme.
1994 : L’identification du virus est attribuée officiellement à l’Institut Pasteur.
1996 : Les chiffres de l’année
1997 :
L’Ouganda en lutte contre le SIDA.: Dans la ville de Mbale, dans l’est du pays, 15% des femmes enceintes étaient contrôlées positivement il y a 5 ans. Le chiffre est passé à 6,9% aujourd’hui, avec une amélioration de 1,6% par rapport à l’année dernière. Cela révèle, en fait, un véritable changement des mentalités et une amélioratiootable des comportements sexuels afin de ralentir le fléau.
* 90% des personnes infectées par le SIDA vivent dans le tiers-monde
Quatre-vingt-dix pour cent des personnes contaminées par le virus du SIDA vivent à l’heure actuelle dans les pays en voie développement. De plus, le rythme d’infection dans le monde est impressionant. En effet, il est de 8.500 personnes chaque jour, selon un rapport de la Banque Mondiale publié eovembre 1997. On estime à ce moment que 23 millions de personnes sont infectées par le SIDA, dont 14 millions pour la seule Afrique noire.
6 millions de personnes mortes, c’est le bilan du virus depuis sont apparition il y a 20 ans…
* Experts et officiels ont lancé un cri d’alarme samedi à Manille sur l’étendue du sida en Asie-Pacifique et ont demandé un effort commun pour empêcher la maladie d’étendre davantage son emprise sur cette région très densément peuplée.
Avril 97 – “SIDA: fort recul de la mortalité en France : Avec l’arrivée des nouveaux traitements, on constate une baisse importante du nombre d’hospitalisations des malades du SIDA en France. L’efficacité de ces nouveaux traitements, essentiellement appliqués dans les pays les plus riches, jette une lumière crue sur l’injustice dont souffre le tiers-monde où l’épidémie s’étend”. (information du 17 avril 1997 trouvée sur le WEB de L’HUMANITE – Document : 97-04-17-063.htm)
Transmission
Le VIH est un virus très fragile. En effet le virus survit très difficilement s’il se trouve en dehors de l’organisme humain.
Impossibilité d’infection par le simple touché, par l’utilisation des W.C. publics, par la sueur, par la nourriture, les assiettes, les verres, les couverts.
Qu’est-ce qui ne provoque pas l’infection?
L’infection par le VIH ne peut pas se produire lors d’activités et de contacts quotidiens ordinaires tels que les poignées de main, les embrassades, les baisers, la tous, les éternuements, les piscines publiques, les sièges de toilette, les draps de lit, la vaisselle, les aliments, les maringouins ou les animaux. Donner du sang ne comporte aucun risque. Vous ne pouvez pas contracter le VIH en donnant du sang puisqu’une nouvelle aiguille est utilisée pour chaque donneur.
Le VIH se transmet exclusivement par les sécrétions sexuelles et par le sang.
Dans le monde, le total cumulé de cas de SIDA chez l’adulte et l’enfant : 851.628.
Total estimé (en fonction des non déclarations et retards) : + de 3.000.000
Estimation de cas de séropositivité au VIH : plus de 14 millions de personnes infectées
Estimation de cas de séropositivité au VIH dans le monde en l’an 2000 : 38 à 120 millions
SIDA – Le droit de tout savoir / SANTERAMA HS1 / p70
Il est cependant vrai que l’on peut arriver à déceler la présence du virus dans d’autres liquides corporels comme par exemple : la salive et les larmes, mais il est en si faibles quantités que l’o’a pu trouver aucun cas de SIDA transmis par cette voie…
TRANSMISSION PAR VOIE
SEXUELLE
L’acte d’amour, cet acte merveilleux qui unit deux êtres peut être celui de tous les dangers même si celui-ci est accompli qu’une fois !!!
Toutes les relations sexuelles, qu’elles soient vaginales ou anales, homosexuelles ou hétérosexuelles, peuvent transmettre les VIH.
La transmission des VIH se font, dans les couples hétérosexuels, aussi bien dans le sens homme-femme que femme-homme.
En raison de la plus grande fragilité des muqueuses, les relations anales sont plus “infectantes” que les relations vaginales.
Toutes les infections génitales (MST généralement) de l’un des partenaires augmentent considérablement le risque de transmission de la maladie, quelles soient situées sur le gland ou le vagin.
Les contacts oraux-génitaux et oraux-anals comportent eux-aussi des risques. De ce fait, il est recommandé d’utilisé un préservatif( il en existe de différents goûts) lors d’une fellation, et d’utiliser un carré de Latex, ou du papier alimentaire pour les cunnilingus, et anulingus.
TRANSMISSION PAR VOIE
SANGUINE
La Transmission du VIH par le sang peut avoir lieu à différentes occasions :
Lors d’un transfusion ou de l’injection de produits sanguins. Mais celle-ci est devenu très rare depuis la nouvelle règlementation qui est en application depuis le 1er Aout 1985.
Par des seringues et des aiguilles souillées. C’est en fait le problème des drogués qui utilisent du matériel déjà servi. En revanche, dans le milieu médical, les seringues, les aiguilles ou autres instruments ne présentent plus aucun risque, tant sont rigoureuses les précautions qui entourent leur usage.
Au cours de la grossesse. En effet le VIH peut se transmettre de la maman à son bébé, soit à travers le placenta pendant la grossesse soit au moment de l’accouchement.
VIE COURANTE
Acupuncture : le risque est nul. Les aiguilles sont stérilisées ou les patients apportent leurs aiguilles stériles.
Dentiste : le risque est nul. Parlez à votre dentiste des procédures d’hygiène à respecter.
Coiffeur : risque nul
Sport : risque nul cependant pour la boxe et les sports violents, traitement des plaies en cours de combat.
Au travail : risque nul
Tatouage et Piercing :
Risques : Il n’y a de risque de transmission par le VIH que si le matériel est contaminé, c’est à dire n’a pas été stérilisé. O’a, à ce jour, jamais rapporté de cas de transmission, causé par tatouage ou piercing.
Moyens de protection Si vous désirez vous faire tatouer ou percer, vérifiez que la personne qui va le faire utilise du matériel stérilisé dans un autoclave (la stérilisation par les désinfectants n’est pas suffisament efficace) et porte des gants stériles.
Pour le piercing, si vous recyclez des anneaux ou tiges ayant servi à quelqu’un d’autre, faites les stériliser au préalable par le professionnel qui vous percera.
Le Cycle de reproduction du VIH
Dans ses grandes lignes, le cycle de reproduction du VIH ne diffère pas des autres rétrovirus et les principales étapes s’y déroulent selon les mêmes principes de base:
L’entrée du virus dans la cellule: Cette étape peut être décomposée en plusieurs étapes; l’amarrage du virus à la cellule par un récepteur (des protéines, dont la plus externe est la gp 120 et la gp 41) , pénétration à travers la membrane cellulaire et le démontage (décapsidation) de la particule virale.
La production de matériel constitutif du virus dans la cellule: La réplication du génome viral a lieu dans la cellule infectée. L’ARN génomique sert de matrice à la formation d’un ADN dans un processus que l’on appelle la transcriptase reverse. C’est à cette étape précise que sont sensés s’adresser les médicaments antirétroviraux.
L’intégrase du génome viral au génome cellulaire s’effectue après que le VIH soit devenu compatible avec celui de la cellule-hôte. Elle constitue en l’intégration du virus à cette cellule. Les gènes viraux vont alors s’y exprimer et produire tous les ARN messagers qui ordonneront la synthèse des éléments nécessaires nécessaires à la fabrication de nouvelles particules virales.
Dépistage de l’infection par
le VIH ou du sida
Une méthode directe existe mais est rarement utilisée. Elle consite à :
1. à isoler le virus lui-même à partir des lymphocytes. Cette technique n’est réservée qu’aux laboratoires car il s’agit d’une technique très couteuse.
2. rechercher dans le sérum l’antigène viral. Malheureusement, la présence de ces antigènes n’est que précoce. En effet, ils disparaissent dès l’apparition des anticorps
3. détecter le virus dans le sang, lorsqu’il se trouve encore en très petite quantité.
La méthode la plus connue et la plus utilisée est le test Elisa. On l’appelle “test ELISA” mais il s’agit plutôt d’une méthode qui révèle la présence des anticoprs en utilisant des enzymes. Un résultat positifs à deux test E.L.I.S.A.(Enzyme-Lynked immunosorbent assay) de prinicpe différent, doit être suivi d’une analyse de confirmation, appelée Western Blot, avant que le résultat ne soit considéré définitivement comme positif et communiqué au patient.
Le dosage de l’antigéminie p24(fraction du virus repérable dans le sang) permet de dépister l’infection à un stade très précoce. Cette antigénémie p24 disparaît durant toute la phase asymptomatique, pendant laquelle le virus “sommeille” dans les cellules.
Une méthode extrêmement sophistiquée, la P.C.R.(Polymerase Chain Reaction), permet de révéler la présence du virus même lorsque le nombre de cellules envahies est minimes. Technique très utile chez les nouveaux nés.
Petit lexique de termes médicaux
Les termes soulignés et en italique (tous les liens de la première colonne du tableau et une partie de ceux de la 2ème colonne) renvoient à un document de la BIAM
Termes |
Signification |
ventre |
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qui s’écarte de la normale |
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1) enlèvement par grattage – 2) usure par frottement |
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fruit aux vertus fortifiantes |
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1) abstinence (pop) – 2) continence |
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incapacité à rester assis |
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haleine à odeur de pomme reinette, peut faire soupçonner la présence d’un diabète chez l’adulte |
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substance chimique renfermant une fonction acide et une fonction amine ( idem aminoacide) |
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éléments des corps gras, présents dans les aliments et dans les organismes humains, et comprenant du carbone, de l’hydrogène et de l’oxygène |
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sentiment de brыlure et d’irritation dans l’estomac à la suite d’une sécrétion trop acide de la muqueuse |
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excès d’acidité |
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acné propre à la puberté, à la jeunesse |
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affection de la peau liée à une rétention de sébum formant des comédons, oщ prolifèrent les bactéries et qui forment des pustules |
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sensation auditive anormale |
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bleuissement des mains et des pieds |
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finesse de perception de l’oeil/de l’oreille |
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substance ajoutée aux aliments |
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enflement des ganglions lymphatiques, qui deviennent rouges et douloureux à l’occasion d’une infection |
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inflammation des ganglions lymphatiques |
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augmentation du volume de la prostate, bénigne |
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tumeur bénigne qui parasite une glande |
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traitement auxiliaire, complémentaire |
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qui agit par libération d’adrénaline |
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qui supprime les effets de l’adrénaline |
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adhésion superficielle |
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micro-organisme ayant besoin d’oxygène pour vivre |
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déglution bruyante avec salivation exagérée, sensation de gonflement à l’estomac, soulaée par renvoi des gaz par la bouche ou le gros intestin (aérocolie) |
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brouillard de fines particules destinées à être inhalées dans les voies respiratoires |
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absence de lait |
|
absence de lait |
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absence / insuffisance de gammaglobulines plasmatiques |
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trouble du comportement alliant excitation mentale et motrice |
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muscle exerçant l’action principalev |
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diminution importante ou disparition de certains globules blancs |
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plante stimulant cardiaque, régulateur de tension artérielle, favorise la digestion, empêche la prolifération de certains microbes, a un effet contre la fièvre et les parasites intestinaux |
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impossibilité/difficulté d’exécuter certains mouvements |
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1) qui a les propriétés d’une base – 2) antiacide |
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substance chimique à caractère alcalin, d’origine végétale |
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excès de substances alcalines |
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substance qui empêche la division des cellules cancéreuses |
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maladie caractérisée par une douleur ou un oedème persistants, qui suivent souvant un traumatisme |
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bains médicinaux constitués d’algues et de leurs composants, auparavant réduits en matière pulvérulente afin d’assurer la dissolution totale dans l’eau chaude (à ne pas confondre avec la thalassothérapie qui comprend l’ensemble de la cure marine) |
|
substance susceptible d’entraîner une réaction allergique |
|
modification des réactions de l’organisme à un agent pathogène lorsque cet organisme a été l’objet d’atteintees antérieures par le même agent |
|
chute (temporaire, partielle ou générale) des poils ou des cheveux |
|
substance qui bloque les récepteurs alpha, et provoque une dilatation des vaisseaux par relachement des fibres musculaires des parois (exemple : ergotamine) |
|
inflammation des cavités dentaires/-pulmonaires |
|
affaiblissement de la vue, (sans cause organique apparente) |
|
embolie généralement dыe à un caillot formé dans une veine qui remonte vers le coeur et vient obstruer une artère pulmonaire |
|
absence de règles d’origine chez une femme |
|
arrêt des règles chez la femme |
|
absence de règles (en dehors de la grossesse et de la ménopause) pouvant avoir des causes physiologiques (malformations) ou fonctionnelles ( fièvre) ou accidentelles |
|
parasite qui touche surtout l’intestin, et est transmis par l’eau non potable et les aliments souillés |
|
infections par les amibes, avec troubles digestifs |
|
substance organique basique |
|
substance chimique renfermant une fonction acide et une fonction amine ( idem acide aminé) |
|
famille d’antibiotiques actifs sur les staphylocoques, mais susceptibles d’être toxiques pour le rein ou l’oreille interne |
|
famille d’antiseptiques, généralement bien supportés, mais pouvant donner lieu à des allergies occasionnellement |
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perte (partielle ou totale) de la mémoire |
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substance excitante qui accroоt les capacités physiques et psychiques (dopage) mais dont l’emploi entraоne des dangers, notamment une accoutumance |
|
inflammation des amygdales |
|
substance qui stimule la croissance des tissus, notamment des muscles |
|
micro-organisme ne pouvant vivre qu’en l’absence d’oxygène |
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antidouleur |
|
renseignements fournis par le malade (sur sa maladie, sur son passé) |
|
fruit utilisé comme adjuvant pour le traitement de l’artériosclérose et de la goutte |
|
communication entre deux cavités de l’organisme |
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1) qui provoque l’apparition des caractères sexuels masculins – 2) hormone sexuelle mâle |
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anémie due à une insuffisance cellulaire de la moëlle osseuse (idem anémie aplastique) |
|
anémie due à une insuffisance cellulaire de la moëlle osseuse (idem anémie anaplasique) |
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forme d’anémie due à une disparition des globules rouges |
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absence ou disparition de l’allergie |
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suppression de la sensibilité |
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substance qui provoque une anesthésie |
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dilatation d’une artère due à la pression du sang (sur une paroi moins résistante) |
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inflammation des vaisseaux sanguins ou lymphatiques |
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douleur oppressante, liée à une obstruction partielle des artères coronaires, et qui peut se manifester dans la poitrine, le bras gauche, la mâchoire |
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relatif à l’angine |
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maladie qui se manifeste par une déglution difficile et douloureuse, apparition de ganglions sous-maxilliaires, brыlure et picotement des amygdales, fièvre |
|
inflammation des voies biliaires |
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manifestation allergique caractérisée par un gonflement du visage (angio-oedème) |
|
manifestation allergique caractérisée par un gonflement du visage (oedème) |
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anxiété, angoisse |
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qui ne contient pas d’eau |
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concernant (ou comportant) un ion à charge éléctrique négative |
|
plante qui favorise la digestion |
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inflammation des annexes de l’utérus |
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qui concerne l’anus et les organes génitaux externes |
|
qui concerne l’anus et le rectum |
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perte d’appétit |
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perte de l’odorat |
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inégalité de diamètre des deux pupilles |
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qui n’est pas accompagné d’ovulation |
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suppression de l’apport d’oxygène au niveau des cellules et des tissus |
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muscle dont l’action s’oppose à celle d’un autre |
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substances destinés à lutter contre la douleur, en agissant sur le système nerveux |
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affection guérie ou non qu’une personne a déjà eu dans son existence |
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tout fait qui (pour un individu donné) précède son état actuel |
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se rapportant à des faits survenus à partir d’un moment donné |
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vermifuge |
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1) substance qui bloque la sécrétion des glandes gastriques ou bieeutralise l’acidité des sécrétions gastriques 2) contre l’acidité |
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substance qui empêche les plaquettes de s’agglutiner et de former des caillots (exemple : l’aspirine) |
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propre à l’allergie |
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contre l’angine |
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qui combat l’irrégularité du rythme cardiaque |
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substance qui lutte contre la fatigue |
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qui combat l’asthme |
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analyse permettant de déterminer l’action des antibiotiques sur des bactéries |
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traitement par les antibiotiques |
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antibiotique |
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groupe de médicaments utilisés pour bloquer etc. |
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(médicament) contre les convulsions |
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substance spécifique et défensive, de nature protéique, engendrée dans l’organisme par l’introduction d’un antigène, avec lequel elle se combine pour eeutraliser l’effet toxique |
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qui diminue la sécrétion urinaire |
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contre les effets de la dopamine |
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contrepoison |
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substance destinée à lutter contre les vomissements |
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antivomitif |
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qui combat le suintement d’un liquide organique (à travers les parois de son réservoir naturel) |
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qui empêche la dégradation et la dissolution de la fibrine |
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substance capable de détruire les champignons microscopiques, notamment présents sur la peau et les muqueuses |
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1) qui détruit les champignons – 2) qui empêche le développelent des – |
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substance qui peut engendrer des anticorps |
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substance qui s’oppose aux effets de l’histamine |
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antihistaminique antiallergique, dont certaines variétés sont des sédatifs |
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antihistaminique antiulcéreux gastrique |
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antihypertenseur qui agit sur les centres cérébraux de régulation |
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qui réduit l’augmentation de la tension |
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qui combat l’infection |
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famille de substances anti-inflammatoires non dérivés de la cortisone ( stéroïde), comprenant l’aspirine |
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qui combat l’inflammation |
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qui détruit les micro-organismes |
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qui empêche la division des cellules |
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1) qui détruit les champignons microscopiques – 2) qui empêche le développement des- |
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anticancéreux |
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substance qui s’oppose à la formation d’oedèmes |
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qui combat l’inflammation |
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qui empêche la prolifération, la multiplication |
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qui combat les démangeaisons |
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médicament utilisé dans le traitement des pyschoses |
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substance qui fait baisser la fièvre |
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qui combat la fièvre, fébrifuge |
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(produit) détruisant les germes |
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désinfectant, antiseptique |
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contre les spasmes, les convulsions |
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contre la thrombose |
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substance qui s’oppose à la formation ou à l’action des hormones thyroïdiennes |
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substance qui neutralise une toxine |
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qui combat une tumeur |
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qui combat la toux |
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substance capable de lutter contre les virus |
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qui combat les virus |
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arrêt de la production d’urine par les reins, ou présence d’un obstacle entre le rein et la vessie |
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orifice pratiqueé sur l’intestin permettant une dérivation des matières |
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orifice du rectum qui donne passage aux matières fécales |
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substance tranquillisante |
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contre les angoisses |
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apathie/indifférence affective |
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perte totale ou partielle de la fonction de la parole |
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affection avec apparition de vésicules arrondies et transparentes localisées à la bouche ou à la vulve, qui laissent une petite plaie souvent douloureuse, parfois avec du pus |
|
destruction de la moelle osseuse, qui ne peut plus fabriquer les globules et les plaquettes du sang |
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croissance (incomplète ou insuffisante) d’un tissu ou d’un organe |
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suspension plus ou moins prolongée de la respiration |
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molécule protéique détruite par la chaleur |
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maladie caractérisée par une douleur brutale et violente siégeant à l’abdomen au dessus de l’aine droite et s’accompagnant de nausées et vomissements, troubles digestifs et fièvre |
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provoquant l’irrégularité du rythme cardiaque |
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examen radiologique des artères |
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qui se rapporte à une petite artère |
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etat pathologique lié à un épaississement de la tunique interne et un durcissement progressif des artères |
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qui concerne à la fois les artères et les veines |
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maladie des artères, due le plus souvent à l’athérosclérose |
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douleur articulaire |
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affection articulaire d’origine inflammatoire |
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maladie des articulations |
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usure du cartilage, très douloureuse |
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dégénérescence des surfaces articulaires, surtout au cou, à la hanche, au genou, aux mains et au pied, avec douleurs vives dans les articulations atteintes et déformation visible de ces articulations |
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inflammation chronique des articulations |
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légume dont tige et feuille ont une action contre des troubles hépatiques, reinaux, circulatoires |
|
des articulations |
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irrégularité du rythme cardiaque |
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trouble des battements du coeur : 1) tachycardie ( battements trop rapides), 2) bradycardie ( battements trop lents) |
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accumulation de liquide dans le péritoine |
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liquide parfois abondant, présent dans la cavité abdominale lors de certaines maladies |
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1) ence de micro-organismes dans un milieu déterminé – 2) – création de cette absence |
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légume très diurétique |
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aider, être présent |
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fatigue générale sans maladie précise décelable |
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qui resserre les tissus |
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sans symptômes |
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mauvaise coordination des mouvements |
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maladie artérielle due à des athéromes étendus |
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plaque jaunâtre, déposée sur la paroi d’une artère, essentiellement constituée de cholestérol qui peut se calcifier (athérosclérose) ou se détacher et obstruer un vaisseau (embolie) |
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vieillissement et rétrécissement des artères, dus à des dépôts de cholestérol et de calcium |
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trouble du système nerveux (caractérisé par des mouvements involontaires, lents, des extremités) |
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diminution des contractions de l’intestin et du transit |
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perte complète du tonus musculaire |
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relatif à l’atopie |
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qui n’est pas toxique |
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qui a rapport aux oreillettes et aux ventricules |
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oreillette du coeur |
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défaut de nutririon d’un organe ou d’un tissu, qui se manifeste par une diminution de son poids ou de son volume |
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substance extraite de la belladone |
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qui diffère du type normal |
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signe avant-coureur d’une attaque, d’une crise d’épilepsie |
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qui a rapport aux oreillettes et aux auricules du coeur |
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se dit de maladies où l’organisme produit des anticorps nuisibles à ses propres tissus |
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1) I. V. G. – 2) fausse couche |
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absence de spermatozoïdes dans le sperme |
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quantité d’azote du sang |
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agent de la coqueluche |
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microbe du groupe des bactéries en bâtonnet |
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(substance) qui détruit les bactéries |
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présence de bactéries dans la circulation sanguine |
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qui se rapporte à la bactériologie |
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qui empêche la multiplication des micro-organismes |
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type de bactérie (s) |
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mode d’utilisation d’un médicament, laissé au contact de lésions de la bouche ou des gencives, puis recraché |
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inflammation de la muqueuse du gland de la verge |
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immersion du corps humain dans un milieu d’eau douce chaude ou froide ou encore son exposition aux rayons solaires, au grand air ou enfin à la vapeur |
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famille de substances sédatives (comme le phénobarbital) ayant notamment un effet anticonvulsivant et tranquillisant |
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plante qui apaise migraines, aérophagie, insomnies, flatulences |
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plante riche en substances atropiniques |
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non malin, sans gravité excessive |
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substances utilisées en cardiologie, pour bloquer l’action de l’adrénaline et d’autres hormones ( action sympatholytique ou adrénolytique), notamment pour soigner l’angine de poitrine, la tachycardie, l’hypertension artérielle |
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médicament utilisé dans le traitement de l’hypertension |
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famille d’antibiotiques, comprenant pénicillines et céphalosporines |
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qui a le même effet qu’un bêtabloquant |
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qui a deux côtés/se rapporte à – |
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qui se rapporte à la bile |
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qui se rapporte à la biochimie |
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dégradation de certaines substances par des organismes vivants |
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efficacité biologique d’un produit pour l’organe cible |
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disposant de la même efficacité |
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prélèvement d’un fragment de tissu sur une personne vivante, en vue d’un examen |
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formation par les organismes vivants de molécules chimiques |
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concernant deux courants monophasés |
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gargouillement |
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masse filamenteuse blanchâtre de tissu gangréné, au centre d’un furoncle |
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lenteur anormale des mouvements |
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respiration anormalement lente |
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dilatation ( pathologique) des bronches |
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chacun des deux conduits cartilagineux qui vont de la trachée artère aux poumons |
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ramification des bronches |
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forme de bronchite, touchant surtout les nourrissons, due à un virus qui enflamme les bronchioles |
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qui se rapporte aux bronches |
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inflammation de la muqueuse des bronches |
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maladie des bronches, souvent due au tabac, avec toux, gêne respiratoire |
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rétrécissement des bronches |
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dilatation des bronches |
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contraction spasmodique des bronches |
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qui se rapporte à la bouche |
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se rapportant à la bouche et au pharynx |
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qui se rapporte à un bulbe |
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qui se rapporte à une ampoule, une cloque |
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inflammation des bourses séreuses des articulations |
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maigreur extrême |
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os du tarse qui forme le talon |
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taux de calcium dans le sang |
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1) formation des os – 2) durcissement d’une artère, d’une articulation |
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taux de calcium dans l’urine |
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concrétion pierreuse formée par des matières normalement dissoutes dans l’organisme |
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canal qui évacue les sécrétions oculaires vers le nez |
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prolifération anormale, maligne, des cellules |
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qui peut provoquer un cancer |
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infection causée par un champignon (candida) |
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plante aphrodisiaque, utilisée contre rhume et toux |
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tube creux que l’on adapte notamment à l’extrémité d’une seringue |
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vitalité |
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1) qui se rapporte aux cheveux, qui se rapporte à la capillarité – 2) vaisseau sanguin très fin, petite veine |
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qui a trait au coeur |
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augmentation du volume du coeur |
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maladie du muscle cardiaque |
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cardiomyopathie dans laquelle l’épaississement du muscle cardiaque gêne l’écoulement du sang |
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maladie de coeur |
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qui se rapporte au coeur et aux poumons |
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qui se rapporte au coeur et à la fonction respiratoire des poumons |
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qui agit davantage sur le coeur que sur d’autres tissus |
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(médicament) qui augmente la tonicité du muscle cardiaque |
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qui exerce une action toxique sur le coeur |
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qui se rapporte au coeur et aux vaisseaux sanguins |
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carie (dentaire) |
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légume utilisé pour la vue, le teint, la bonne humeur (effet sur les glandes endocrines), la vessie |
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lame fibreuse placée dans l’épaisseur du bord libre de la paupière et qui la maintient tendue |
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suppression des glandes génitales (homme / femme), stérilisation |
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phénomènes de dégradation du métabolisme |
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accélérer une réaction chimique sous l’effet d’une substance |
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traitement local par application d’une pâte sur la peau |
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cataplasme par application d’une pâte qui comporte de la graine de moutarde |
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1) opacité du cristallin (= congénital) – 2) opacification du cristallin (= sénile), due au vieillissement, à un accident, à une maladie, ou à l’utilisation de certaines substances (corticoïdes) |
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affection responsable d’une sensation d’oreille bouchée par obstruction de la trompe d’Eustache |
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inflammation des voies respiratoires, accompagnée de sécrétions abondantes |
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fin tuyau souple destiné à être placé en permanence dans une veine pour réaliser des injections ou perfusions |
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introduction d’un cathéter dans l’organisme |
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tige creuse ou pleine |
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qui se rapporte à la partie terminale d’un organe |
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qui concerne la cause |
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(substance) qui a une action corrosive sur les tissus |
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partie creuse d’un organe, excavation d’un organe |
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inflammation, ou gonflement, du tissu conjonctif |
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douleur continue du crâne, s’aggravant par accès, différente de la migraine ( pas d’état nauséeux) |
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famille d’antibiotiques voisins de la pénicilline |
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qui se rapporte au cervelet |
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qui se rapporte au cerveau |
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relatif au cerveau et à la moelle épinière |
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relatif aux vaisseaux sanguins du cerveau |
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plante utile pour le foie et l’estomac, et contre la cellulite |
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fruit aux vertus diurétiques |
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cérumen (matière onctueuse et jaune sécrétée dans le conduit de l’oreille externe), bouchon de cire |
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qui se rapporte au cou, à la nuque / -au col d’un organe |
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excès d’acidité dans le sang |
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substance qui se lie à une autre substance présente dans une solution, et qui la rend insoluble |
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utilisation d’un chélateur |
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cicatrice volumineuse et inesthétique, ou bourrelet de la peau au niveau de la cicatrice, survenant de façon imprévisible notamment après une opération chirurgicale |
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(organe ou région du corps) sensible aux excitants chimiques |
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relatif à la chimiothérapie |
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traitement par des substances chimiques, notamment du cancer |
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masque de grossesse |
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substance qui facilite l’évacuation de la bile de la vésicule biliaire vers l’intestin |
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radiographie du foie |
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inflammation de la vésicule biliaire |
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présence de calculs |
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substance qui stimule la sécrétion de bile par le foie |
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arrêt de l’écoulement de la bile |
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substance grasse (stérol) qui se trouve dans les cellules du sang et de la bile |
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matière azotée, apparentée à la vitamine B, dont les dérivés jouent un rôle dans le fonctionnement du système parasympathique |
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maladie des articulations ressemblant à la goutte, due à des dépôts de phosphate de calcium (et non pas d’acide urique) dans le cartilage |
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maladie neurologique avec des contractions et des mouvements musculaires anormaux, aussi appelée “danse de Saint-Guy” |
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légume utilisé dans divers traitements diététiques |
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relatif au (x) chromosome (s) |
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qui dure longtemps, évolue lentement |
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processus par lequel une plaie se cicatrise |
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relatif au mouvement |
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circulation provisoirement dérivée hors du corps |
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circulation (sanguine) |
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maladie du foie, avec des granulations d’un jaune roux, d’origine graisseuse, pigmentaire, ou alcoolique |
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fruit bactéricide utilisable contre les maux de gorge |
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coefficient d’épuration qui correspond à l’aptitude à éliminer |
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habituel, courant, traditionnel |
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le fait de boiter |
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basé sur l’observation (du malade) |
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relatif au clitoris |
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petit organe érectile de la vulve |
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malformation congénitale réalisant une cavité commune dans laquelle s’ouvrent le système uro-génital et la portion terminale du tube digestif. |
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caractérisé par des convulsions dues à une exagératioin des réflexes |
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plante aphrodisiaque |
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hémorragie faisant suite à la constitution de nombreux caillots dans les vaisseaux, à la suite d’une opération chirurgicale ou de certaines maladies |
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fait de coaguler, de transformer une substance organique liquide en une masse solide |
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transformer une substance organique liquide en une masse solide |
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qui se rapporte au limaçon osseux de l’oreille interne |
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molécule non protéique intervenant directement dans la réaction sur laquelle agit l’enzyme |
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maladie de coeur provoquée par une enbolie pulmonaire |
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qui concerne la connaissance |
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fruit utilisé contre les diarrhées des nourrissons et les vomissements |
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rapport sexuel |
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col (de l’utérus) |
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le colibacille est une bactérie normalement présente dans le tube digestif, qui peut devenir cause d’une infection |
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côlite dont l’origine est un dérèglement de l’intestin |
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protéine fibreuse qui assure la cohésion de tissus vivants |
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1) protéine présente dans le tissu conjonctif – 2) qui se rapporte au collagène |
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maladie grave avec chute brutale de la tension artérielle en cas d’insuffisance cardiaque |
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1) état de choc – 2) affaissement d’un organe creux, notamment affaissement des parois d’un vaisseau sanguin en cas de chute de la pression artérielle |
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relatif à, de la nature d’un colloïde |
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médicament qui agit par contact avec l’arrière-gorge et les parois internes de la bouche |
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préparation liquide (destinée au traitement des affections oculaires) |
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affection du côlon |
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relatif au côlon et au rectum |
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torpeur persistante |
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perte de connaissance prolongée |
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qui a rapport au coma, est dans le coma |
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points noirs sur la peau, microkystes |
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(organisme) qui partage la nourriture de son hôte, sans préjudice pour celui-ci |
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commotion (cérébrale) |
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pouvant être administrés en même temps, pouvantêtre transfusé, -greffé |
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modification tendant à rétablir un équilibre physiologique, psychologique |
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substance composée de plusieurs protéines, se fixant sur le complexe antigène-anticorps |
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association de plusieurs remèdes homéopathiques, dont la dilution va en général de 3 CH à 6 CH |
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phénomènes morbides nouveaux apparaissant au cours d’une maladie |
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1) quantité proportionnelle (pharm.) – 2) concentration (psych.) |
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fécondation |
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simultané |
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solide |
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condition physique |
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transmission, propagation |
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tumeur bénigne de la peau ou des muqueuses, due à un virus transmis par voie sexuelle |
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espèce de verrue (sur la muqueuse génitale ou anale) |
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confusion mentale |
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présent à la naissance |
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afflux de sang dans une partie du corps |
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muqueuse transparente qui recouvre la paroi interne des paupières et la partie antérieure de l’oeil |
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inflammation de la conjonctive : rougeur des yeux avec dilatation de petits vaisseaux sanguins et écoulement liquide brыlant ou prurulent |
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qui participe à la même fonction, a lieu en même temps |
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maladies rares affectant le collagène : lupus érythrémateux, périartérite noueuse, sclérodermie, dermatomyosite |
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sauvegarder, préserver |
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contraire : diarrhée |
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chacun des corps simples qui forment un corps composé |
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relatif à la constitution physique |
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contagion/pollution |
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traitement de l’insuffisance veineuse ou lymphatique, avec un bas élastique qui maintient un membre pour empêcher le relâchement des tissus et la formation d’oedèmes |
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qui s’oppose à la conception : pilules, stérilets, spermicides, diaphragme, préservatifs |
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processus qui permet l’infécondité volontaire |
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possibilité de se contracter |
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contraction prolongée |
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circonstance qui empêche d’appliquer un traitement |
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bleu, ecchymose |
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période de transition entre la fin d’une maladie et la guérison |
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contractions involontaires et violentes de muscles (spasme), dont l’origine se situe dans le cerveau (lésions, fièvres, etc.) |
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coordination des mouvements |
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maladie infectieuse infantile |
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tunique antérieure transparente centrale de l’oeil, qui recouvre iris et pupille |
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1) disposé en couronne – 2) vaisseau sanguin |
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substances toxiques acides, parmi lesquelles l’acétone, dont l’accumulation dans le sang provoque l’acidocétose |
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périphérie de la glande surrénale dont les hormones sont des régulateurs du métabolisme |
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partie externe d’un organe |
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qui se rapporte au cortex : la substance corticale du cerveau est une substance externe et grise qui enveloppe la substance blanche |
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hormone sécrétée par les glandes surrénales |
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traitement par des corticoïde ou par la cortisone |
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hormone du cortex surrénal, utilisée en thérapeutique |
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rhume de cerveau |
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propre aux soins de beauté |
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maladie de la hanche |
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contraction de courte durée, involontaire et douloureuse, de certains muscles lisses ou striés |
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du crâne |
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teneur du sang en créatine |
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substance du sang dont le taux s’élève anormalement en cas d’insuffisance rénale |
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légume utilisé comme antidote de la nicotine pour les fumeurs |
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petite plaie superficielle et douloureuse, de couleur rouge-vif, la plupart du tem |